Bonjour,
certains vont trouver que je rabâche.
Tant pis, je me lance :
ma situation par rapport à ma famille d'origine est anormale. Je souhaite confesser des choses que je regrette d'avoir dites ou publiées lorsque j'étais jeune et égarée, (et surtout non croyante).
Mais je me demande toujours ce qu'il faut penser de la suite des événements.
A 27 ans j'ai écrit/publié sous un pseudo en langue étrangère dans le pays où je vivais une pièce relatant le parcours d'une jeune fille abusée sexuellement par ses parents. Je l'ai faite lire en VF aux miens.
J'ai écrit à deux cousines et à mon frère en évoquant, sans entrer dans le détail, des "abus" sexuels de la part de nos parents. Aucun de mes correspondants ne m'a répondu, ils en ont référé à ma mère qui s'est emparée de cette affaire et l'a faite savoir à toute la parentèle en proclamant que j'accusais mon père de viol. Quand j'ai pris mon indépendance financière elle a fait traduire une lettre pour mon logeur où elle me décrit comme une grave malade mentale en lui demandant de me surveiller et de s'adresser à elle si je n'étais plus en mesure de payer mon loyer ( ce qui ne s'est jamais produit) , de lui faire savoir où je vais si je déménage.
Il ne s'agit pas seulement de ces actes abusifs dans l'enfance( relevant pour certain du paragraphe 227 _25 du code pénal, les atteintes sexuelles) que j'ai subis mais surtout d'un ensemble de relations bizarres, d'un climat malsain, irrespectueux, d'une "double vie" de mes parents, toujours très empressés auprès de la parentèle conservatrice catholique ( beaux-frères/soeurs, nièces et neveux...) et des nombreux amis mais dont le comportement change radicalement quand ils sont seuls avec nous. Devant les autres ils semblent sympas, ouverts, en accord apparent avec eux et à l'intérieur, tout comme dans leur militantisme pro gay et planning familial, avec nous ils se 'lachaient" et commettaient ces atteintes ou bien étaient complices par exemple de ce que faisait un oncle pédophile avec mon frère.
En faits je regrette d'avoir parlé et écrit cette pièce.
Non que ce que j'y ai dit soit inexact mais cela a crée bien des conflits et il y a eu ultérieurement des règlements de compte de la part de mes parents qui m'ont amenée par prudence à prendre des distances avec eux.
Ce qui soulève bien des questions par rapport aux Commandements et à la confession.
Ma mère n'a eu de cesse, tout en campant sur ses positions et en affirmant qu'elle ne changerait pas, de vouloir un contact avec ses petites-filles. Je pense que cette année elle est parvenue à ses fins par les portables à mon insu.
Il y a une contradiction apparente entre mes convictions proches de la tradition et mon attitude envers mes parents. Ne ne peux pas, sachant le danger que cela représente pour toute ma famille ( celle que j'ai fondée) reprendre avec eux d'autres contacts que par lettre, d'autre part ils ne tiennent pas leurs promesses et sont sournois, je ne peux plus leur faire confiance. Comment donc "HONORER SES PERE ET MERE" dans un pareil cas ?
Je sais que ma mère avait pour intention de monter mes enfants contre moi et de les "libérer" de l'éducation que je veux leur donner ( imposer sa vision "gay frendly" par exemple, comme cela a été le cas quand on allait les voir)
Ma mère avait noué aussi une coalition avec mon époux , m'isolant dans mon couple. IL a accepté sans broncher que je prenne mes distances mais il me l'a toujours reproché à demi-mots, me culpabilisant ( "tu as agi par orgueil").
Je voudrais aller voir un prêtre pour parler de cela et je ne sais par où commencer. J'ai peur d'être mal comprise . Je ne sais pas situer exactement mes torts. Ce qui est certains est que depuis mon mariage et ma prise de distance, je n'ai plus jamais ébruité quoi que ce soit et me suis gardée d'en parler aux très nombreux membres de la parentèle que ma mère a envoyé "me parler" ( après les avoir convaincus avbec sa vision tronquée des faits)
Ni ce que je dois confesser, à quel endroit j'ai péché.
J'ai eu des torts dans cette affaire, le fait de l'ébruiter par exemple, la colère envers mes parents. Je ne suis plus en contact avec mon frère qui est militant gay friendly ( j'étais dans la Manif pour tous).
Honorer pere et mere, se réconcilier avec son frère...tout cela je le sais pour l'avoir déjà essayer, m'attirerait bien des ennuis et des souffrances.
certains vont trouver que je rabâche.
Tant pis, je me lance :
ma situation par rapport à ma famille d'origine est anormale. Je souhaite confesser des choses que je regrette d'avoir dites ou publiées lorsque j'étais jeune et égarée, (et surtout non croyante).
Mais je me demande toujours ce qu'il faut penser de la suite des événements.
A 27 ans j'ai écrit/publié sous un pseudo en langue étrangère dans le pays où je vivais une pièce relatant le parcours d'une jeune fille abusée sexuellement par ses parents. Je l'ai faite lire en VF aux miens.
J'ai écrit à deux cousines et à mon frère en évoquant, sans entrer dans le détail, des "abus" sexuels de la part de nos parents. Aucun de mes correspondants ne m'a répondu, ils en ont référé à ma mère qui s'est emparée de cette affaire et l'a faite savoir à toute la parentèle en proclamant que j'accusais mon père de viol. Quand j'ai pris mon indépendance financière elle a fait traduire une lettre pour mon logeur où elle me décrit comme une grave malade mentale en lui demandant de me surveiller et de s'adresser à elle si je n'étais plus en mesure de payer mon loyer ( ce qui ne s'est jamais produit) , de lui faire savoir où je vais si je déménage.
Il ne s'agit pas seulement de ces actes abusifs dans l'enfance( relevant pour certain du paragraphe 227 _25 du code pénal, les atteintes sexuelles) que j'ai subis mais surtout d'un ensemble de relations bizarres, d'un climat malsain, irrespectueux, d'une "double vie" de mes parents, toujours très empressés auprès de la parentèle conservatrice catholique ( beaux-frères/soeurs, nièces et neveux...) et des nombreux amis mais dont le comportement change radicalement quand ils sont seuls avec nous. Devant les autres ils semblent sympas, ouverts, en accord apparent avec eux et à l'intérieur, tout comme dans leur militantisme pro gay et planning familial, avec nous ils se 'lachaient" et commettaient ces atteintes ou bien étaient complices par exemple de ce que faisait un oncle pédophile avec mon frère.
En faits je regrette d'avoir parlé et écrit cette pièce.
Non que ce que j'y ai dit soit inexact mais cela a crée bien des conflits et il y a eu ultérieurement des règlements de compte de la part de mes parents qui m'ont amenée par prudence à prendre des distances avec eux.
Ce qui soulève bien des questions par rapport aux Commandements et à la confession.
Ma mère n'a eu de cesse, tout en campant sur ses positions et en affirmant qu'elle ne changerait pas, de vouloir un contact avec ses petites-filles. Je pense que cette année elle est parvenue à ses fins par les portables à mon insu.
Il y a une contradiction apparente entre mes convictions proches de la tradition et mon attitude envers mes parents. Ne ne peux pas, sachant le danger que cela représente pour toute ma famille ( celle que j'ai fondée) reprendre avec eux d'autres contacts que par lettre, d'autre part ils ne tiennent pas leurs promesses et sont sournois, je ne peux plus leur faire confiance. Comment donc "HONORER SES PERE ET MERE" dans un pareil cas ?
Je sais que ma mère avait pour intention de monter mes enfants contre moi et de les "libérer" de l'éducation que je veux leur donner ( imposer sa vision "gay frendly" par exemple, comme cela a été le cas quand on allait les voir)
Ma mère avait noué aussi une coalition avec mon époux , m'isolant dans mon couple. IL a accepté sans broncher que je prenne mes distances mais il me l'a toujours reproché à demi-mots, me culpabilisant ( "tu as agi par orgueil").
Je voudrais aller voir un prêtre pour parler de cela et je ne sais par où commencer. J'ai peur d'être mal comprise . Je ne sais pas situer exactement mes torts. Ce qui est certains est que depuis mon mariage et ma prise de distance, je n'ai plus jamais ébruité quoi que ce soit et me suis gardée d'en parler aux très nombreux membres de la parentèle que ma mère a envoyé "me parler" ( après les avoir convaincus avbec sa vision tronquée des faits)
Ni ce que je dois confesser, à quel endroit j'ai péché.
J'ai eu des torts dans cette affaire, le fait de l'ébruiter par exemple, la colère envers mes parents. Je ne suis plus en contact avec mon frère qui est militant gay friendly ( j'étais dans la Manif pour tous).
Honorer pere et mere, se réconcilier avec son frère...tout cela je le sais pour l'avoir déjà essayer, m'attirerait bien des ennuis et des souffrances.