Forum catholique l'Imitation de Jésus-Christ

Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel  Bannie11Bienvenue sur le Forum catholique
l'Imitation de Jésus-Christ!

Ce forum est un lieu d'échanges dédié à l'approfondissement de la foi catholique, afin de toujours mieux connaître, aimer et servir Jésus-Christ.

On peut y partager des témoignages personnels, proposer des méditations, se questionner sur la Bible et les différents enseignements de l'Église catholique, demander et apporter de l'aide dans le cheminement de l'âme vers Dieu, etc.

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Forum catholique l'Imitation de Jésus-Christ

Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel  Bannie11Bienvenue sur le Forum catholique
l'Imitation de Jésus-Christ!

Ce forum est un lieu d'échanges dédié à l'approfondissement de la foi catholique, afin de toujours mieux connaître, aimer et servir Jésus-Christ.

On peut y partager des témoignages personnels, proposer des méditations, se questionner sur la Bible et les différents enseignements de l'Église catholique, demander et apporter de l'aide dans le cheminement de l'âme vers Dieu, etc.

Forum d'échanges visant à approfondir la foi catholique, afin de toujours mieux connaître, aimer et servir Jésus-Christ


2 participants
  • Poster un nouveau sujet
  • Répondre au sujet

Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel

avatar
M8735


Féminin Messages : 4043
Date d'inscription : 04/02/2016

Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel  Empty Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel

Message par M8735 Jeu 26 Sep - 8:49

TEMOIGNAGE DE CANDACE (d'après soeur Emmanuel) 

Je m'appelle Candace Evans, j'ai 43 ans et j'habite le New Hampshire (Etats-Unis) avec mon mari et mon fils de neuf ans. Mes parents, tous deux décédés, étaient juifs. Ma mère était athée. Nous ne parlions jamais de religion à la maison. Ainsi je n'ai reçu ni formation ni enseignement spirituel dans mon enfance, ni plus tard à l'âge adulte.


En 1977, une biopsie révéla que j'avais une maladie chronique du foie. Dans cette maladie incurable, les fonctions vitales se détériorent à mesure que le foie, de plus en plus faible, devient incapable de filtrer le sang. 

Durant des années, la maladie progressa lentement jusqu'au printemps 1993 où il m'arriva beaucoup de choses - aucune vraiment positive! 




Je travaillais de nuit avec des adultes handicapés. Un soir à mon travail, un homme brisa son fauteuil roulant sur mon dos. Cela me laissa complètement handicapée. Je ne pouvais plus bouger sans souffrir énormément, surtout au niveau du dos et des jambes.




 C'est aussi à cette époque-là que je découvris une grosseur dans mon sein. Le médecin consulté pratiqua une biopsie et prescrivit l'ablation immédiate du sein. I1 fixa la date de l'opération, mais les examens sanguins préopératoires révélèrent un taux d'enzymes trop élevé dans le foie et il me dit qu'il ne pouvait pas opérer, que je ne pourrais pas supporter l'opération. 

Je ne pus bientôt plus prendre aucune nourriture solide, ne pouvant la digérer. J'étais très faible et respirais à grand-peine. Je ne pouvais sortir de chez moi plus d'une heure, craignant de ne pas pouvoir rentrer. Ma peau perdit toute son élasticité et prit une couleur jaune grisâtre. Puis je perdis la vue et la lecture me devint impossible.





 Les médecins me firent passer beaucoup d'examens. Au vu des résultats, ils dirent qu'ils ne pouvaient plus rien. Je rentrai alors à la maison et ne pouvais guère que regarder la télévision. 




Un jour, un peu avant Pâques 1994, il y eut une émission TV sur Medjugorje. Au début je n'y prêtais guère attention, car il s'agissait de religion et je n'y connaissais rien.
 Cela parlait de l'Église catholique, de l'ex-Yougoslavie et d'un lieu appelé Medjugorje. Je sentis le besoin urgent d'en savoir plus. 




Après avoir étudié sans succès les cartes géographiques de mon fils, je trouvai dans un numéro du National Geographic la photo d'une colline couverte de croix et la légende indiquait: Medjugorje. 
J'étais ravie! J'avais trouvé! Quand mon mari rentra à la maison, je lui annonçai qu'il me fallait y aller. Il me prit pour une folle! 




Je téléphonai à une paroisse catholique pour voir s'ils connaissaient cet endroit. On me répondit oui et on m'annonça que quelqu'un allait me rappeler. Quelques jours plus tard, une dame me téléphona et me dit qu'elle organisait des pèlerinages à Medjugorje. Je ne savais même pas ce qu'était un pèlerinage, mais elle me dit qu'elle partait bientôt; je lui dis donc que je voulais partir aussi. Voilà.

Le 28 mai 1994 je partais pour Medjugorje. Le lendemain nous étions dans l'église St-Jacques de Medjugorje, la toute première église dans laquelle j'entrais.





 Je ne connaissais rien des habitudes religieuses, alors je fis comme tout le monde. Je vis les gens se lever pour aller recevoir la communion, et j' expérimentai une grande consolation en présence du Saint Sacrement, sans toutefois savoir de quoi il s'agissait. 




J'eus l'impression d'être enveloppée d'un manteau de paix et je me sentis complètement immergée dans cette paix merveilleuse, que je n'avais jamais ressentie auparavant. C'était tellement beau! 




Quelques jours plus tard, nous sommes allés chez le Père Jozo. L'écouter parler de la Vierge avec tant d'amour et de ferveur était la chose la plus belle du monde.
 Il donna à chacun un chapelet et une magnifique image de Marie. Puis tout le monde se dirigea vers l'avant de l'église.
 A cause de la paix qui m'avait enveloppée pendant la messe à St-Jacques, je suivis le mouvement. Je vis que les prêtres priaient sur les gens et que certains tombaient par terre. 
Puis le Père Jozo pria sur moi et je tombai moi aussi. C'était si doux, si bon, je ressentais une telle sécurité, c'était comme si j'étais tombée dans les bras d'une mère extrêmement aimante. 




Je ne me souviens guère du reste de la journée, mais le lendemain, dès mon réveil, je remarquai que la grosseur de mon foie (masse de graisse et de tissus cicatrisés) avait disparu! Ma peau était normale! Je ne ressentais plus aucune faiblesse, aucune douleur: j'allais bien. 

Rentrée chez moi, mon mari vit tout de suite la différence et en fut très heureux. Par la suite, je ne voulais plus que prier et découvrir Jésus. 





J'étudiais énormément à son sujet. 
L'année suivante, au cours de la Veillée Pascale, mon mari, mon fils et moi-même reçûmes le baptême et la confirmation dans l'Eglise catholique.




 Mon fils a encore sa maman, mon mari a encore son épouse et nous avons tous les trois une grande foi.
 Mon mari, mon fils et moi-même sommes pleins de gratitude. J'essaie de vivre les messages de la Gospa de Medjugorje.
 Je lui suis tellement reconnaissante de nous inviter à prier, à jeûner, à lire la Bible, à recevoir le sacrement de la Réconciliation et l'Eucharistie.
 Nous aimerions tous savoir comment vivre mieux et la Vierge nous donne les réponses.
 Elle nous invite au Ciel !




MaranathaGloire à toi Seigneu




http://apotres.amour.free.fr/page5/temoignages.htm


Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel  6d550610
Anayel
Anayel
Modératrice


Féminin Messages : 2871
Date d'inscription : 22/01/2016

Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel  Empty Re: Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel

Message par Anayel Jeu 26 Sep - 21:18

Amen Gloire à toi Seigneu
avatar
M8735


Féminin Messages : 4043
Date d'inscription : 04/02/2016

Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel  Empty Re: Témoignages de Medjugorje d’après soeur Emmanuel

Message par M8735 Ven 27 Sep - 8:49

GUERISON DE COLLEEN 


Gail Boos raconte (recueilli par Sr Emmanuel 1/01/2004) : 

Colleen souffrait d'une tumeur inopérable au cerveau, qui affectait l'hypophyse, toutes les grandes et les petites fonctions motrices; elle était rachitique, sa thyroïde était réduite à la taille d'un raisin, elle souffrait de sclérose en plaques, de lupus, de fibromyalgie et de neuf autres maladies mortelles douloureuses. 



La Clinique Mayo (première clinique de recherche aux Etats-Unis pour les cancers du cerveau eues traumatismes de la moelle épinière) rappelait souvent à Colleen que, même si elle n'avait pas eu de cancer au cerveau, le simple fait d'être en vie était un miracle. Malgré sa souffrance, Colleen souhaita devenir bénévole dans notre Association, "St Clare Helper of the Poor". Elle devint l'un de nos meilleurs collecteurs de fonds pour les réfugiés et les démunis de Bosnie, en utilisant simplement le téléphone lorsque sa voix le lui permettait. 

Dans les derniers stades du cancer, les souffrances de Colleen étaient devenues extrêmes au point que la prière était son ultime recours. Elle ne pouvait plus monter l'escalier qui menait à sa chambre ou à son oratoire ni se rendre à sa salle de bain sans assistance; le simple fait de toucher sa peau lui causait une douleur inimaginable. John, le mari de Colleen, continuait à travailler tandis que leur fils de 21 ans restait à la maison pour prendre soin de Colleen. 



Un jour, je lui ai parlé de nos nombreux pèlerinages à Medjugorje. Colleen eut envie d'y aller mais elle savait bien qu'elle ne pourrait s'y rendre physiquement. De plus, à cause des nombreuses factures médicales qui arrivaient de la Clinique Mayo, sa famille n'en avait pas les moyens. Pourtant, Colleen nous dit: « Je ne veux pas y aller pour guérir, je veux seulement y aller pour faire l'expérience de la Vierge Marie et de ce lieu saint.» Cela se passait en avril. 

En août, Colleen nous appela: « John et moi prions pour faire ce pèlerinage.» 
Je lui répondis: « Dans ta condition, ce n'est que par la grâce de Dieu que tu pourrais te rendre en Europe.» 


« Non, Gail, dit-elle, nous avons prié de tout notre coeur et j'ai dit au Seigneur, "Seigneur, si tu veux vraiment que j'y aille, j'ai besoin d'une confirmation. Demande au Père Agniello de m'appeler demain et je saurai que je dois y aller. " 


Le lendemain, le Père Agniello m'appela et me dit: "Colleen, je ne sais pas pourquoi, mais je suis censé t'appeler ce matin." »


C'est ainsi qu'elle sut que John et elle devaient aller à Medjugorje. C'était la confirmation. 
Nous n'étions qu'à quelques semaines du voyage organisé pour Medjugorje.


John paya les billets et nous devions nous rencontrer à Chicago. Je dis à John qu'il était très important de prendre une seconde assurance pour Colleen au cas où son état s'aggraverait à Medjugorje et qu'elle viendrait à mourir, car le coût du rapatriement pourrait atteindre un million de dollars. 


Alors qu'ils embarquaient dans l'avion, Colleen et John furent placés par miracle en classe affaires. Colleen recevait un médicament toutes les 2 heures pour contrôler sa douleur. A l'aéroport de Split, John et Jack soulevèrent ses pieds, un à la fois, pour l'amener pas à pas jusqu'au bus. 



Malgré toute sa souffrance, elle était joyeuse, souriait toujours et louait le Seigneur d'être parvenue aussi loin.
 Le lendemain matin, pendant que Vicka parlait, Colleen fut amenée dans son fauteuil roulant le plus près possible de Vicka pour pouvoir mieux l'apercevoir. Mais tous les gens qui étaient autour d'elle la poussaient et s'appuyaient sur elle, les mères amenaient leurs enfants et les passaient par-dessus sa tête.
 Je pensais alors: «J'ai fait une terrible erreur en l'amenant ici. Seigneur, pardonne-moi, je t'en prie. C'est trop éprouvant pour elle!» 


Juste à ce moment-là, sa tête retomba en arrière et je crus qu'elle était morte. Elle m'avait dit qu'elle pouvait mourir à tout moment si l'hypophyse lâchait ou si elle recevait un fort coup sur la tête. Son mari, qui était loin derrière, se fraya un chemin dans la foule, lui releva la tète et lui mit un mélange de morphine et d'un autre médicament sous la langue. Nous attendîmes: elle mit beaucoup de temps à revenir à elle. 

Quand Vicka eut fini de parler, elle se fraya un chemin dans la foule et s'approcha de Colleen. Les premiers mots qu'elle lui adressa en anglais, furent: «Dieu soit loué! Dieu soit loué!». Vicka ouvrit les bras, l'étreignit et l'attira contre sa poitrine, la serrant dans ses bras et l'embrassant, tout en la maintenant. Puis, elle posa sa main gauche sur la tête de Colleen; et au moment où elle allait poser aussi sa main droite, les pèlerins lui tirèrent carrément la main pour y empiler des demandes de prières, des chapelets et des photos. 



Vicka garda longtemps la main sur la tête de Colleen qui n'arrêtait pas de dire: « Ma tête est comme un charbon ardent! Ma tête brûle! J'ai l'impression qu'une spirale me traverse le corps!». Après avoir prié sur Colleen pendant près de 10 minutes, elle se rapprocha d'elle, la serra dans ses bras et l'embrassa à nouveau. Colleen pleurait. 

Puis nous mîmes Colleen dans un taxi et John la poussa dans l'église, devant. Jack et moi restâmes dans le fond. 



Plus tard, Colleen nous confia que, lorsque le prêtre commença à consacrer l'hostie, elle entendit la Vierge Marie lui dire: 
« Ma fille, t'abandonnes-tu à Dieu le Père? T'abandonnes-tu à mon Époux, le Saint Esprit? T'abandonnes-tu à mon Fils Jésus?» Puis: «T'abandonnes-tu maintenant?».
 Et Colleen dit: «Oui, je m'abandonne maintenant, j'abandonne tout pour la gloire du ciel, tout pour la gloire de Dieu.» 
A ce momentlà, elle sentit des fourmillements dans les jambes et sut que quelque chose avait changé.
 A la fin de la messe, elle sut qu'elle était guérie et se leva de son fauteuil roulant. 
J'étais stupéfiée. John était derrière elle et poussait le fauteuil vide! Colleen sortait de l'église sur ses deux pieds! 


Nous allâmes au restaurant Chez Victor et les gens accouraient vers elle. Ils avaient entendu parler de la guérison ou l'avaient vue. Elle rentra à pied à la pension et là, elle s'amusa à pousser son mari dans son fauteuil. 
Le lendemain, elle monta seule la Colline des Apparitions. Puis elle réussit à monter jusqu'à la 6° station du Krizevac. Elle avait même la force de monter jusqu'en haut, mais à la demande d'un prêtre, elle pria au lieu de continuer l'ascension. 

Quand elle revit les médecins qui la soignaient aux Etats-Unis, Colleen passa tous les tests et tous les résultats se révélèrent normaux. 

Désormais, sa thyroïde fonctionne normalement, la tumeur au cerveau a disparu et il n'y a plus aucune trace de maladie dans son corps. 
Mais Colleen et John se demandaient comment expliquer la guérison aux médecins de la Clinique Mayo.
 Lorsqu'elle entra pour son rendez-vous, le médecin recula la chaise de son bureau et dit: «Alors, vous êtes allée à Medjugorje! Vous êtes pour nous la troisième guérison importante qui revient de là-bas!». 
Le problème était résolu, il n'y avait rien à expliquer. 




http://apotres.amour.free.fr/page5/temoignages.htm



Gloire à toi Seigneu 
  • Poster un nouveau sujet
  • Répondre au sujet

La date/heure actuelle est Ven 10 Mai - 6:44