Bienvenue sur le Forum catholique
par OK ! mais tes poèmes sont beaux et dévoilent quoique que tu penses le fond de ton être , de ton âme
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Carmila
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Votre frère Yohann
Maud
J15753
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Petits poèmes
Maud
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Saint intercesseur : Sainte Vierge Marie , Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face , Sainte Thérèse d' Avila
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* "J'ai compris que " Marie " veillait sur moi , que j'étais Son enfant .
Aussi , je ne pouvais que lui donner le nom de " Maman " , car il me semblait encore plus tendre que celui de " Mère " *
Ste Thérèse de l' Enfant Jésus et de la Sainte Face
J15753
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Date d'inscription : 18/02/2019
Tout défile devant ses yeux
Il descend de plusieurs lieux
La pluie tombe à l’envers
Bien vite se rapproche la mer
Il ne va plus revoir son paternel
Même s’il est éternel
Privé de ses frères
Banni par son père
Il n’est plus que peine
Bientôt devenue haine
Si dorénavant les humains
Il doit vénérer
Alors il n’en restera rien
Dire qu’on l’a condamné
Contre son frère combattre
Ce sera rapide
Il se laissera abattre
Ainsi aucun liquide
De son cadet ne sortira
Lui seul périra
Père pourquoi ?
Plus explicite celui-ci mais toujours du point de vue opposé.
J’aurais peut-être dû demander à faire réexaminer ma copie de bac français.
Il descend de plusieurs lieux
La pluie tombe à l’envers
Bien vite se rapproche la mer
Il ne va plus revoir son paternel
Même s’il est éternel
Privé de ses frères
Banni par son père
Il n’est plus que peine
Bientôt devenue haine
Si dorénavant les humains
Il doit vénérer
Alors il n’en restera rien
Dire qu’on l’a condamné
Contre son frère combattre
Ce sera rapide
Il se laissera abattre
Ainsi aucun liquide
De son cadet ne sortira
Lui seul périra
Père pourquoi ?
Plus explicite celui-ci mais toujours du point de vue opposé.
J’aurais peut-être dû demander à faire réexaminer ma copie de bac français.
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Un moine hein ?
On va bien voir
Tu vas en manger du noir
Et si on jouait avec ton engin ?
Bien que tu sois fertile
Tu ne peux pas avoir d’enfant par
Amour à cause des règles futiles
Que tu t’es imposé à l’instar
De nombre de tes ancêtres.
Tu peux céder à tes pulsions
Avec lui tu pourrais être
La Terre est lieu d’excitation
De vie de douleur de joie
De jeu de vengeance
De succès et de chance
Mais certainement pas de loi
À quoi bon être ici
Si c’est pour que ta liberté
Tout comme ta puberté
Soit bridé comme au paradis ?
Narcissique il veut des fans
Ton prophète, et bête comme un âne
Tu le vénères pour ne l’énerver
Déterminé ? Je m’en vais
Mais bientôt reviendrai
Et te briserai
On va bien voir
Tu vas en manger du noir
Et si on jouait avec ton engin ?
Bien que tu sois fertile
Tu ne peux pas avoir d’enfant par
Amour à cause des règles futiles
Que tu t’es imposé à l’instar
De nombre de tes ancêtres.
Tu peux céder à tes pulsions
Avec lui tu pourrais être
La Terre est lieu d’excitation
De vie de douleur de joie
De jeu de vengeance
De succès et de chance
Mais certainement pas de loi
À quoi bon être ici
Si c’est pour que ta liberté
Tout comme ta puberté
Soit bridé comme au paradis ?
Narcissique il veut des fans
Ton prophète, et bête comme un âne
Tu le vénères pour ne l’énerver
Déterminé ? Je m’en vais
Mais bientôt reviendrai
Et te briserai
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Un rouleau est sorti
L’enseignante s’assit
Devant elle un petit
Comme en ses souvenirs
Elle ouvre le manuscrit
Et laisse le petit venir
Poser son doigt sous les écrits
Avant de commencer
Les deux se regardent avec affection
Ils peuvent se lancer
En toute application
Elle lui apprend doucement
Il retient patiemment
Ensemble ils se délecte
De l’amour qu’ils détectent
Il accroît son savoir
Et elle son pouvoir
D’elle il est sorti
Mais toujours unis
Rien qu’une leçon
Mais même la totalité
De toutes les rançons
Ne pourrais la payer
Amoureusement leur
Regard, à fin de l’heure
En exprime le prix
Elle chatouille, il rit
Cette complicité
Faut plus qu’on ne pourrait donner.
Retour sur du plus classique.
P.S : pourquoi mon dernier vers est toujours séparé du reste ?
L’enseignante s’assit
Devant elle un petit
Comme en ses souvenirs
Elle ouvre le manuscrit
Et laisse le petit venir
Poser son doigt sous les écrits
Avant de commencer
Les deux se regardent avec affection
Ils peuvent se lancer
En toute application
Elle lui apprend doucement
Il retient patiemment
Ensemble ils se délecte
De l’amour qu’ils détectent
Il accroît son savoir
Et elle son pouvoir
D’elle il est sorti
Mais toujours unis
Rien qu’une leçon
Mais même la totalité
De toutes les rançons
Ne pourrais la payer
Amoureusement leur
Regard, à fin de l’heure
En exprime le prix
Elle chatouille, il rit
Cette complicité
Faut plus qu’on ne pourrait donner.
Retour sur du plus classique.
P.S : pourquoi mon dernier vers est toujours séparé du reste ?
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Dans ses bras il se réveille
Dans ses bras ils se regardent
Dans ses bras elle le garde
Dans ses bras sur lui elle veille
Aucun danger dans ses bras
Que lumière dans ses bras
Que de chaleur dans ses bras
Ô délicieux met dans ses bras
Elle sait déjà il les quittera
Elle sait déjà sa forte douleur
Elle sait déjà ce qu’il subira
Elle sait déjà son futur malheur
Illisible est le chemin
Mais bien trop claire est la fin
Dans ses bras rien ne craint
Dans ses bras elle berce
Dans ses bras cet écrin
Dans ses bras une averse
Chut il s’est endormi
Un petit baisé bien placé
Cette maman attristée
Et ce bébé contre elle blotti
Pourquoi donc cette destinée ?
Dans ses bras ils se regardent
Dans ses bras elle le garde
Dans ses bras sur lui elle veille
Aucun danger dans ses bras
Que lumière dans ses bras
Que de chaleur dans ses bras
Ô délicieux met dans ses bras
Elle sait déjà il les quittera
Elle sait déjà sa forte douleur
Elle sait déjà ce qu’il subira
Elle sait déjà son futur malheur
Illisible est le chemin
Mais bien trop claire est la fin
Dans ses bras rien ne craint
Dans ses bras elle berce
Dans ses bras cet écrin
Dans ses bras une averse
Chut il s’est endormi
Un petit baisé bien placé
Cette maman attristée
Et ce bébé contre elle blotti
Pourquoi donc cette destinée ?
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
C’est le jour.
Tout lui semble poisseux.
Tout sur la table est moisi, avarié.
Tout sur les murs montre des signes de faiblesse.
C’est le jour.
Adieux souvenirs heureux.
Adieux observations sublimes et variées.
Adieux, tous les objets semblent d’une grande vieillesse.
C’est le jour.
L’enfant jamais morveux.
L’enfant toujours existe dans son regard inquiet.
L’enfant qui jamais ne finit de lui rendre sa maternelle tendresse.
C’est le jour.
Douleur, intense creux
Douleur déchirante vif le cœur se voit sacrifié, supplicié
Douleur nécessaire mais ô combien dure chez la porteuse de la divine grossesse.
C’est le jour, il faut le laisser partir
La maman scrute abondamment l’enfant.
Avec autorité il la calme prenant
Par le bras la maîtresse, douce enseignante
Divinement élue, l’humble servante
Doit cette fois-ci au monde donner
Son enfant qu’il ne lui rendra jamais.
Je ne vais plus en poster pendant une petite semaine minimum.
À la place je donnerai les titre et apporterai quelques corrections.
Tout lui semble poisseux.
Tout sur la table est moisi, avarié.
Tout sur les murs montre des signes de faiblesse.
C’est le jour.
Adieux souvenirs heureux.
Adieux observations sublimes et variées.
Adieux, tous les objets semblent d’une grande vieillesse.
C’est le jour.
L’enfant jamais morveux.
L’enfant toujours existe dans son regard inquiet.
L’enfant qui jamais ne finit de lui rendre sa maternelle tendresse.
C’est le jour.
Douleur, intense creux
Douleur déchirante vif le cœur se voit sacrifié, supplicié
Douleur nécessaire mais ô combien dure chez la porteuse de la divine grossesse.
C’est le jour, il faut le laisser partir
La maman scrute abondamment l’enfant.
Avec autorité il la calme prenant
Par le bras la maîtresse, douce enseignante
Divinement élue, l’humble servante
Doit cette fois-ci au monde donner
Son enfant qu’il ne lui rendra jamais.
Je ne vais plus en poster pendant une petite semaine minimum.
À la place je donnerai les titre et apporterai quelques corrections.
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Titre des poèmes
Tu possèdes tant
(Quand t’as des tourments t’as une Maman
Quand tu tombe au plus bas t’as un Papa)
Sauvé !
(Une douce chaleur puis la lumière
Tout n’est plus que blanc)
Moyen
(Sublimes ils sont
Tout petit je suis)
7
(Il leur montre affection mais
Ils se retrouvent plus tard)
Chut chut
(Chut chut suis moi,
chut chut tiens ma main)
Tendresse
(Non, ne me fuis pas
Peu m’importent tes taches)
Là
(Elle est là.
Il ne sait pas si elle se sait découverte.)
Le souffle
(Tous sont attristés sauf elle
Son éclat déteint petit à petit)
Rage
(Non ! Pourquoi ?!
Laisse moi !)
La chute
(Tout défile devant ses yeux
Il descend de plusieurs lieux)
La tentation
(Un moine hein ?
On va bien voir)
Le cours
(Un rouleau est sorti
L’enseignante s’assit)
Vision du futur
(Dans ses bras il se réveille
Dans ses bras ils se regardent)
Inri
(C’est le jour.
Tout lui semble poisseux.)
Tu possèdes tant
(Quand t’as des tourments t’as une Maman
Quand tu tombe au plus bas t’as un Papa)
Sauvé !
(Une douce chaleur puis la lumière
Tout n’est plus que blanc)
Moyen
(Sublimes ils sont
Tout petit je suis)
7
(Il leur montre affection mais
Ils se retrouvent plus tard)
Chut chut
(Chut chut suis moi,
chut chut tiens ma main)
Tendresse
(Non, ne me fuis pas
Peu m’importent tes taches)
Là
(Elle est là.
Il ne sait pas si elle se sait découverte.)
Le souffle
(Tous sont attristés sauf elle
Son éclat déteint petit à petit)
Rage
(Non ! Pourquoi ?!
Laisse moi !)
La chute
(Tout défile devant ses yeux
Il descend de plusieurs lieux)
La tentation
(Un moine hein ?
On va bien voir)
Le cours
(Un rouleau est sorti
L’enseignante s’assit)
Vision du futur
(Dans ses bras il se réveille
Dans ses bras ils se regardent)
Inri
(C’est le jour.
Tout lui semble poisseux.)
Invité- Invité
Bonjour Jean-Michel,
Vos poèmes sont énigmatiques.
Mon impression est que vous cherchez à travers eux à vous dévoiler partiellement.
Le lecteur doit deviner.
Je crois peut-être y deviner certaines choses.
En tout cas, je ressens beaucoup de souffrance dans votre écriture.
Je vois une disharmonie en vous et dans votre recherche spirituelle,
si seulement vous écoutiez Jésus qui vous dit : "Veux tu guérir ?".
Oh oui, s'il vous plait, écoutez le !
M+
Vos poèmes sont énigmatiques.
Mon impression est que vous cherchez à travers eux à vous dévoiler partiellement.
Le lecteur doit deviner.
Je crois peut-être y deviner certaines choses.
En tout cas, je ressens beaucoup de souffrance dans votre écriture.
Je vois une disharmonie en vous et dans votre recherche spirituelle,
si seulement vous écoutiez Jésus qui vous dit : "Veux tu guérir ?".
Oh oui, s'il vous plait, écoutez le !
M+
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Bonsoir Michel Garicoïts.
Pas tant que ça, je les trouve plutôt accessibles. Il n’y a pas de « vrai » implicite.
Non, il n’y a que dans « 7 » que je m’identifie et encore ça pourrait être un tas d’autres personnes donc...
Dites toujours.
En quoi ?
Vous avez des talents de télépathe ?
D’autres membres ici sont aussi en tort mais vous n’êtes pas mon psy.
Oui ce que j’écris n’est pas toujours jojo, et alors ? Je préfère le drame au reste, chacun ses goûts littéraires.
Vos poèmes sont énigmatiques.
Pas tant que ça, je les trouve plutôt accessibles. Il n’y a pas de « vrai » implicite.
Mon impression est que vous cherchez à travers eux à vous dévoiler partiellement.
Non, il n’y a que dans « 7 » que je m’identifie et encore ça pourrait être un tas d’autres personnes donc...
Je crois peut-être y deviner certaines choses.
Dites toujours.
En tout cas, je ressens beaucoup de souffrance dans votre écriture.
Je vois une disharmonie en vous et dans votre recherche spirituelle,
En quoi ?
si seulement vous écoutiez Jésus qui vous dit : "Veux tu guérir ?".
Oh oui, s'il vous plait, écoutez le !
Vous avez des talents de télépathe ?
D’autres membres ici sont aussi en tort mais vous n’êtes pas mon psy.
Oui ce que j’écris n’est pas toujours jojo, et alors ? Je préfère le drame au reste, chacun ses goûts littéraires.
sofoyal- Messages : 1953
Date d'inscription : 22/01/2016
Localisation : gironde
Idéal : Chrétien
Saint intercesseur : Jésus
...Tention le hérisson @Michel Garicoïts! 
_________________
Sofoyal
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Corrections :
« Vient mon enfant » dans « tendresse »
« Sauve-moi ! » dans « Rage »
« Et te briserai » dans « La tentation »
« Et ce bébé contre elle blotti » dans «Vision du futur »
« Son enfant qu’il ne lui rendra jamais. » dans « Inri »
sont tous des vers normalement rattaché à la strophe les précédent.
« Cette complicité
Faut plus qu’on ne pourrait donner. »
sont collés l’un à l’autre. C’est Vaut d’ailleurs et non Faut.
Je ne sais pas pourquoi quand je les ai mis en ligne la mise en page a changé.
J’en profite pour rajouter que « La chute » est bien séparé en 5 quatrains.
« Et sont souffle continue » dans « Le souffle » c’est évidemment son et non sont.
« Vient mon enfant » dans « tendresse »
« Sauve-moi ! » dans « Rage »
« Et te briserai » dans « La tentation »
« Et ce bébé contre elle blotti » dans «Vision du futur »
« Son enfant qu’il ne lui rendra jamais. » dans « Inri »
sont tous des vers normalement rattaché à la strophe les précédent.
« Cette complicité
Faut plus qu’on ne pourrait donner. »
sont collés l’un à l’autre. C’est Vaut d’ailleurs et non Faut.
Je ne sais pas pourquoi quand je les ai mis en ligne la mise en page a changé.
J’en profite pour rajouter que « La chute » est bien séparé en 5 quatrains.
« Et sont souffle continue » dans « Le souffle » c’est évidemment son et non sont.
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
La guide
Ô que c’est bon !
Cette sensation
Maman de ton
Enfant passion
Je suis proche.
Que de plaisir
À découvrir
Une poche
De son amour,
À découvrir
Tout son parcours.
Mère mienne,
Mère de tous.
Frère sans haine,
Frère de tous.
Avec toi, toi à
Moi, tu es là.
Et moi pour toi
En toute foi
Je te prends la
Main, tu me conduis
Au paradis.
Le premier avec un continuité totale au niveau des syllabes.
J’espère qu’il plaira plus que le précédent.
(Je préviens tout de suite au cas où, il est d’un bloc.)
Ô que c’est bon !
Cette sensation
Maman de ton
Enfant passion
Je suis proche.
Que de plaisir
À découvrir
Une poche
De son amour,
À découvrir
Tout son parcours.
Mère mienne,
Mère de tous.
Frère sans haine,
Frère de tous.
Avec toi, toi à
Moi, tu es là.
Et moi pour toi
En toute foi
Je te prends la
Main, tu me conduis
Au paradis.
Le premier avec un continuité totale au niveau des syllabes.
J’espère qu’il plaira plus que le précédent.
(Je préviens tout de suite au cas où, il est d’un bloc.)
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Le manteau
Il fait tout chaud
Il ne distingue la draperie
Venant de tout là-haut
Ça n’a rien d’une fumisteries
Bien portant elle le rend
Dans le ciel bien réel
C’est un cadeau D’Elle
Le prenant dans ses rang
Caché des mauvais son
Protégé des démons
Sur Terre tout spirituel
Mais bien matériel dans le Ciel
Couvert de lui, rapproché D’Elle
Lui serviteur mais Elle fidèle
Qui le réchauffe et le rassure
Dans cette cachette bien sûre
Il veut la remercier
Comme tous les autres
Réfugiés ici être
Par don Elle l’a gracié
Au cas où « Par don Elle l’a gracié » et bien dans la dernière strophe.
Petite note : j’utilise systématiquement le masculin mais pour les personnages non précis rien n’empêche qu’ils soient féminins, simplement les mots « enfant » « humains » etc ont une consonance majoritairement masculine.
Dsl, si le neutre existait en français je l’aurais utilisé.
Il fait tout chaud
Il ne distingue la draperie
Venant de tout là-haut
Ça n’a rien d’une fumisteries
Bien portant elle le rend
Dans le ciel bien réel
C’est un cadeau D’Elle
Le prenant dans ses rang
Caché des mauvais son
Protégé des démons
Sur Terre tout spirituel
Mais bien matériel dans le Ciel
Couvert de lui, rapproché D’Elle
Lui serviteur mais Elle fidèle
Qui le réchauffe et le rassure
Dans cette cachette bien sûre
Il veut la remercier
Comme tous les autres
Réfugiés ici être
Par don Elle l’a gracié
Au cas où « Par don Elle l’a gracié » et bien dans la dernière strophe.
Petite note : j’utilise systématiquement le masculin mais pour les personnages non précis rien n’empêche qu’ils soient féminins, simplement les mots « enfant » « humains » etc ont une consonance majoritairement masculine.
Dsl, si le neutre existait en français je l’aurais utilisé.
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Il est timide à la porte d’entrée
Seul son regard par sa tête dépasse
Une petite main le seuil surpasse
De loin il regarde son bien aimé
Tout de blanc vêtu
Il part du visu
Maintenant le cœur
S’affole par douleur
Soulagement il réapparaît
Il attend les derniers s’en aller
Pour discrètement s’en approcher
La porte fermée est guettée
Il est à lui
C’est le moment
Il lui dit oui
Pour un instant
Des bras forts le prennent
Ce prêtre là a
Pour lui un petit
Que fortement il
[étreint]
Les deux s’aiment
En un seul cœur
L’un à ses trente
L’autre ses quatre
Sur les doux genoux
Vit ce mystère
Mystère d’amour
Le mystère toujours
« Le mystère toujours » est collé à la dernière strophe.
Seul son regard par sa tête dépasse
Une petite main le seuil surpasse
De loin il regarde son bien aimé
Tout de blanc vêtu
Il part du visu
Maintenant le cœur
S’affole par douleur
Soulagement il réapparaît
Il attend les derniers s’en aller
Pour discrètement s’en approcher
La porte fermée est guettée
Il est à lui
C’est le moment
Il lui dit oui
Pour un instant
Des bras forts le prennent
Ce prêtre là a
Pour lui un petit
Que fortement il
[étreint]
Les deux s’aiment
En un seul cœur
L’un à ses trente
L’autre ses quatre
Sur les doux genoux
Vit ce mystère
Mystère d’amour
Le mystère toujours
« Le mystère toujours » est collé à la dernière strophe.
J15753- Messages : 437
Date d'inscription : 18/02/2019
Les intéressés se reconnaîtront. Évidemment le dernier verset est collé au précédent vous connaissez la chanson.
Des réponses il voulait
Car des questions il avait
Par une image venu
Il aura suffit de cette vue
Des désaccords parfois
Un peu couillon des fois
Se heurtent les consciences
Ah ! Que d’impatiences !
Mais de loin un lien
De l’espace survient
Pas d’extraterrestre
Non, bien plus terrestre
Elle, puis Lui mais
Surtout la Dame de Mai
De certains conflits
Naissent petit à petit
De mots gentils (J’avais pas d’idée pour la rime)
Bien que de l’autre côté de l’Atlantique
Tout cela est bien authentique
Là où un terrain fertile
Était dans les plantes une araignée file
Magnifique araignée
Les plantes elle a rapprochées
Les amitiés tout cela dépasse
De choses inconnues font face
Des nouveaux membres poussent
Des ailes mais pas encore très douces
Des réponses il voulait
Bien plus il a trouvé
Petite note : les ailes ne sont pas marque d’orgueil mais bien des métaphores. À vous des trouver de quoi.
Des réponses il voulait
Car des questions il avait
Par une image venu
Il aura suffit de cette vue
Des désaccords parfois
Un peu couillon des fois
Se heurtent les consciences
Ah ! Que d’impatiences !
Mais de loin un lien
De l’espace survient
Pas d’extraterrestre
Non, bien plus terrestre
Elle, puis Lui mais
Surtout la Dame de Mai
De certains conflits
Naissent petit à petit
De mots gentils (J’avais pas d’idée pour la rime)
Bien que de l’autre côté de l’Atlantique
Tout cela est bien authentique
Là où un terrain fertile
Était dans les plantes une araignée file
Magnifique araignée
Les plantes elle a rapprochées
Les amitiés tout cela dépasse
De choses inconnues font face
Des nouveaux membres poussent
Des ailes mais pas encore très douces
Des réponses il voulait
Bien plus il a trouvé
Petite note : les ailes ne sont pas marque d’orgueil mais bien des métaphores. À vous des trouver de quoi.
C3451- Messages : 7
Date d'inscription : 09/12/2019
Vous connaissez la chanson concernant les derniers vers de chaque poème.
Il est possible que certains ne comprennent pas Eros du premier coup, une petite analyse devrait cependant suffire à tout en tirer.
Estime
Invisible, mais là
Silencieux, mais attentif
Cohérent, mais souffrant
Malin, mais son instinct...
La glace n’est pas très
Éblouissant reflet
Mais c’est celui qu’il voit
Plongeant dans une voie...
Nuit tous les chats son gris
Et dans cette ruelle
Il se vend sans bon prix
Moins cher qu’une chandelle...
Lui qui vaut un brasier
Éteint son propre feu
Et s’en rend malheureux
Des gens sont arrivés...
Ils ont tous des torches
Tous veulent l’allumer
Enfin le redorer
Lui, voyant, se cache...
Ils veulent son retour
Dans ses plus beaux atours
Le faire illuminer
S’il se laissait attraper
50%
Nuit ou jour, jour ou nuit
Un nouvel astre luit
Le parcours sinistre
Un champion en titre
Comme un gong d’horloge
L’objet le sol percute
Et les bêtes en rut
Avec force déloge
Des guirlandes de feu
Pour cet anniversaire
Dont survivront bien peu
Il n’y a rien à faire
Bien vite la nouvelle
Par la mort se répand
La nuit longue s’étant
S’amoncellent les gravelles
Matin gris
Un bruit sourd, la peur au ventre
C’est l’aube, les soldats se lèvent
Tandis que leurs proches rêvent
Qu’ils s’éloignent de l’épicentre
La première goutte tombant
Pour la gloire des dirigeants
Remplissant leurs verres de vin
Et un pour tous et tous en vain
On nous dit les chefs des mythes
Sortis, aux cerveaux de génies
Avec des hommes sans limite
Aux capacités infinies
L’ennemi lui est un démon
Venu tout détruire, immonde
Pour nous priver de notre monde
Et nous arracher les poumons
Sur le sol une ombre grandit
Une onde secoue la poussière
Humidifiée par une pluie
La goutte est tombée sur la terre
Eros
Il vient chaque fois à l’autel
Offrir une bête sans pareil
Il me regarde en immortel
Comme un protecteur qui veille
Divins physique et intellect
Phare, illuminant mes journées
Mignon mais un peu gringalet
Le voir suffit, je me délecte
À l’arène vers lui je saute
Ici entre lui et l’épée
Plein de sang le sauteur crispé
Meurt dans une dernière note
Regards puis chemins, bras enfin
Se croisent, le baiser acquis
La mort vient prendre cet ami
Achevé, désormais serein
Philo
Qu’est-ce que l’objet en lui même ?
Quelle est l’essence des devoirs ?
Suis-je œil ou observateur ?
Créature ou des sensations ?
Différence action et nature ?
De la conscience à l’inconscience ?
Quelle est notre définition ?
Le pouvoir est capacité ?
Limite croyance savoir ?
Sommes-nous vraiment des vivants ?
Pourquoi cette armée de question ?!
N’y a t-il pas d’alternative ?!
Pourquoi sommes-nous tous enchainés ?!
Cette caverne a-t-elle sortie ?!
Où commence la vérité ?!
Il est possible que certains ne comprennent pas Eros du premier coup, une petite analyse devrait cependant suffire à tout en tirer.
Estime
Invisible, mais là
Silencieux, mais attentif
Cohérent, mais souffrant
Malin, mais son instinct...
La glace n’est pas très
Éblouissant reflet
Mais c’est celui qu’il voit
Plongeant dans une voie...
Nuit tous les chats son gris
Et dans cette ruelle
Il se vend sans bon prix
Moins cher qu’une chandelle...
Lui qui vaut un brasier
Éteint son propre feu
Et s’en rend malheureux
Des gens sont arrivés...
Ils ont tous des torches
Tous veulent l’allumer
Enfin le redorer
Lui, voyant, se cache...
Ils veulent son retour
Dans ses plus beaux atours
Le faire illuminer
S’il se laissait attraper
50%
Nuit ou jour, jour ou nuit
Un nouvel astre luit
Le parcours sinistre
Un champion en titre
Comme un gong d’horloge
L’objet le sol percute
Et les bêtes en rut
Avec force déloge
Des guirlandes de feu
Pour cet anniversaire
Dont survivront bien peu
Il n’y a rien à faire
Bien vite la nouvelle
Par la mort se répand
La nuit longue s’étant
S’amoncellent les gravelles
Matin gris
Un bruit sourd, la peur au ventre
C’est l’aube, les soldats se lèvent
Tandis que leurs proches rêvent
Qu’ils s’éloignent de l’épicentre
La première goutte tombant
Pour la gloire des dirigeants
Remplissant leurs verres de vin
Et un pour tous et tous en vain
On nous dit les chefs des mythes
Sortis, aux cerveaux de génies
Avec des hommes sans limite
Aux capacités infinies
L’ennemi lui est un démon
Venu tout détruire, immonde
Pour nous priver de notre monde
Et nous arracher les poumons
Sur le sol une ombre grandit
Une onde secoue la poussière
Humidifiée par une pluie
La goutte est tombée sur la terre
Eros
Il vient chaque fois à l’autel
Offrir une bête sans pareil
Il me regarde en immortel
Comme un protecteur qui veille
Divins physique et intellect
Phare, illuminant mes journées
Mignon mais un peu gringalet
Le voir suffit, je me délecte
À l’arène vers lui je saute
Ici entre lui et l’épée
Plein de sang le sauteur crispé
Meurt dans une dernière note
Regards puis chemins, bras enfin
Se croisent, le baiser acquis
La mort vient prendre cet ami
Achevé, désormais serein
Philo
Qu’est-ce que l’objet en lui même ?
Quelle est l’essence des devoirs ?
Suis-je œil ou observateur ?
Créature ou des sensations ?
Différence action et nature ?
De la conscience à l’inconscience ?
Quelle est notre définition ?
Le pouvoir est capacité ?
Limite croyance savoir ?
Sommes-nous vraiment des vivants ?
Pourquoi cette armée de question ?!
N’y a t-il pas d’alternative ?!
Pourquoi sommes-nous tous enchainés ?!
Cette caverne a-t-elle sortie ?!
Où commence la vérité ?!
Silène
Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Je suis de retour (pas pour vous jouer un mauvais tour 
).
Bon faut pas rêver je posterai pas toutes les semaines. Par contre c'est ok de poster un poème traitant du véganisme (ici par la reconsidération de ce qu'est est implique actuellement le carnisme) ?
Papa
Nom donné à beaucoup mais pour moi il est pour Toi, Tu es mon papa dans tes bras je me sens bien. J'ai beaucoup écris sur Maman mais peu sur Toi Papa. Tu Lui ressemble tellement pourtant tu es mon doux papa. Plus que mon papa Tu te veux mon époux. Comment pourrais-tu être mon amant ? Portant tu persiste et tente de me séduire. Tu y es presque. Mon papa, je T'aime.
"tu pénètres en moi"
Elle
Lorsque j'appelle à l'aide
Vers Toi sont mes pensées
Pour moi toujours Tu plaides
Ecartant le décès
Ton sourire se ressent
Dans le vent je Te sens
Tes bras pleins de douceur
Je le veux à mon heure
Un mot pour Te décrire :
Amour. Mais pas assez
Pour le mien Te dire
Ou de baisers pour T'embrasser
Toi ma divine Maman
Toi qui rayonne tant
Toi dont le pardon
N'aura jamais de fond
Même si je Te rejette
Tu restes non loin de là
Quand je pleure en éclats
Ta bouée Tu me jettes
Ma Mama, mère du ciel
Je veux Te dire que je T'aime
Ma lumière, mon arc-en-ciel
Maman je T'aime !
(dernière note, peut-on déplacer ce fil dans la catégorie humour détente svp ? c'est plus facile à retrouver que dans discussion libre un peu surchargé)
).Bon faut pas rêver je posterai pas toutes les semaines. Par contre c'est ok de poster un poème traitant du véganisme (ici par la reconsidération de ce qu'est est implique actuellement le carnisme) ?
Papa
Nom donné à beaucoup mais pour moi il est pour Toi, Tu es mon papa dans tes bras je me sens bien. J'ai beaucoup écris sur Maman mais peu sur Toi Papa. Tu Lui ressemble tellement pourtant tu es mon doux papa. Plus que mon papa Tu te veux mon époux. Comment pourrais-tu être mon amant ? Portant tu persiste et tente de me séduire. Tu y es presque. Mon papa, je T'aime.
"tu pénètres en moi"
Elle
Lorsque j'appelle à l'aide
Vers Toi sont mes pensées
Pour moi toujours Tu plaides
Ecartant le décès
Ton sourire se ressent
Dans le vent je Te sens
Tes bras pleins de douceur
Je le veux à mon heure
Un mot pour Te décrire :
Amour. Mais pas assez
Pour le mien Te dire
Ou de baisers pour T'embrasser
Toi ma divine Maman
Toi qui rayonne tant
Toi dont le pardon
N'aura jamais de fond
Même si je Te rejette
Tu restes non loin de là
Quand je pleure en éclats
Ta bouée Tu me jettes
Ma Mama, mère du ciel
Je veux Te dire que je T'aime
Ma lumière, mon arc-en-ciel
Maman je T'aime !
(dernière note, peut-on déplacer ce fil dans la catégorie humour détente svp ? c'est plus facile à retrouver que dans discussion libre un peu surchargé)
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Lui
Il arrive dans mes pleurs
Derrière moi tout de blanc
De son cœur illuminant
Il défait du mal les leurres
Pendant trop longtemps
Je Le haïssais
Je vois maintenant
Il me bénissait
Je voulais Le détruire
Lui et Ses églises
Sans que je réalise
A qui je voulais nuire
Elle m'a conduite jusqu'à Lui
J'entrevis Celui qui luit
Elle me poussa doucement
Et Lui me pris tendrement
Il fallut un long trajet
Remplis de nouveaux rejets
Aujourd'hui j'ai mon cadeau
Des êtres c'est Le plus beau
Quand je tombe de haut
Il vient à la rescousse
Il me prend dans son manteau,
Papa aux lèvres douces.
J'ai 2 semaines de retard mais il est là Papa !
Il arrive dans mes pleurs
Derrière moi tout de blanc
De son cœur illuminant
Il défait du mal les leurres
Pendant trop longtemps
Je Le haïssais
Je vois maintenant
Il me bénissait
Je voulais Le détruire
Lui et Ses églises
Sans que je réalise
A qui je voulais nuire
Elle m'a conduite jusqu'à Lui
J'entrevis Celui qui luit
Elle me poussa doucement
Et Lui me pris tendrement
Il fallut un long trajet
Remplis de nouveaux rejets
Aujourd'hui j'ai mon cadeau
Des êtres c'est Le plus beau
Quand je tombe de haut
Il vient à la rescousse
Il me prend dans son manteau,
Papa aux lèvres douces.
J'ai 2 semaines de retard mais il est là Papa !
Emmanuel- Administrateur
- Messages : 5133
Date d'inscription : 16/01/2016
Tu fais de beaux poèmes, @Silène. 
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Viande
Plaf dans l'assiette
Le rouge coule
On présavoure
Le cadavre
Aux oubliettes
Qui s'écroule
Sans voir le jour
En deux on l'ouvre
Pas de bleu, pas de vert
Que du jaune et du fer
Pas d'enfant, pas de mère
Un mort et la laitière
Naitre manger mourir
Sans autre horizon
Travailler et se nourrir
Sans réalisation
C'est bien la nature
Pondre pendant l'an
Lacter dix durant
Noël pour futur
Rat à aérosol
Souris maquillées
Poulet égorgé
Le rouge sur le sol
merci @Emmanuel
Plaf dans l'assiette
Le rouge coule
On présavoure
Le cadavre
Aux oubliettes
Qui s'écroule
Sans voir le jour
En deux on l'ouvre
Pas de bleu, pas de vert
Que du jaune et du fer
Pas d'enfant, pas de mère
Un mort et la laitière
Naitre manger mourir
Sans autre horizon
Travailler et se nourrir
Sans réalisation
C'est bien la nature
Pondre pendant l'an
Lacter dix durant
Noël pour futur
Rat à aérosol
Souris maquillées
Poulet égorgé
Le rouge sur le sol
merci @Emmanuel
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Un poème écrit pendant ma déprime de l'an dernier.
Le courant
C’est plein de gadoue
Je m’y enfonce
Et ne tiens plus debout
Mais je m’en fous
Le regard passif
Je fonce sur les récifs
J’avance ? Non pas du tout
Je me laisse emporter
Telle une chose inanimée
Il n’y a plus d’accroche
De loin je vois deux proches
Mais ne prends pas leurs mains
Ne saisis pas le frein
Quand le temps se défile
Et l’échec se profile
Tout est su
Tout est vu
Rien n’est fait
Il suffirait de peu
Une pulsion
De construction
Se laisser tenter
Par des essais
Sortir des fictions
Aller vers Lui
Aller vers Eux
Aller dans mes cieux
Cieux restant à bâtir
Tout comme l’avenir
Commençons à écrire
Avec Eux je veux croire
Ensemble nous créerons
Un monde que je veux voir
Où le bonheur on peut boire
Un de mes poèmes préféré (avec Là) et étrangement il est dédié à Maman. x)
12
Dans tes bras tu m’accueilles
Sur tes genoux je me recueille
Ô mère, je ne trouve les mots
Et toi me protège de tous les maux
Vers toi guide moi
Fais moi suivre ta seule voie/x
Afin que je t’atteigne
Et dans ton amour je beigne
Tes bras sont les liens qui me collent à toi
Ton regard plein de douceurs, tu veux m’inspirer la foi
Mais en ta perfection seule je crois
Je ne veux nullement de ta croix
À quoi bon vénérer
Quand à la folie je peux t’aimer ?
Je ne désire pour option
Que d’être ta possession
Ô ma sublime mère
Tu te fais aussi ma reine
Ainsi qu’à tous mes pairs
Tu me tiens par tes reines
Tu emplis tous mes rêves
Je te fais don de mon cœur
Tu viendras le chercher à l’heure
Que mon attente s’achève
Puis-je être ton élève
Ou au moins ton esclave ?
Mon esprit tu relèves
Et ses blessures tu laves
Ô toi que j’appelle Maman
Que puis-je donc bien t’offrir ?
Je saignais abondamment
Mais ce n’était rien face à ton sourire
Pour tout paiement tu veux que je vois plus
Je mets un bandeau, tire moi donc par la main.
Tu me l’enlèves au bout du chemin
Et me montre le roi des altostratus
Tu me vois émerveillé
Mais contre toi je reste perclus
Car tu restes mon rêve éveillé
J’espère seulement que ceci te plus
J’en veux à mon égoïsme
Qui refuse tout tes vœux
De honte je vois qu’il pleut
Mais c’était oublier ton héroïsme
Tu m’adresses ce grand sourire
Une petite chatouille, tu me fais rire
Pour les malheurs il n’est plus temps
Ô Maman tu mérites tant...
Note, dans pas mal de poème je me genre au masculin et non au féminin/neutre comme par exemple perclus dans 12. La raison est simple, ces poèmes ont plus d'un an et quart, époque où je me pensais cisgenre/n'étais pas sûre de la transidentité. Après vu comment ils sont fait maintenant et que le genre utilisé influe sur la sonorité je me vois mal les modifier.
En vrai ça m'a étonné de voir que je n'avais pas posté 12 plus tôt.
D'autres sont en préparation, à tout à l'heure j'espère. ;-)
Le courant
C’est plein de gadoue
Je m’y enfonce
Et ne tiens plus debout
Mais je m’en fous
Le regard passif
Je fonce sur les récifs
J’avance ? Non pas du tout
Je me laisse emporter
Telle une chose inanimée
Il n’y a plus d’accroche
De loin je vois deux proches
Mais ne prends pas leurs mains
Ne saisis pas le frein
Quand le temps se défile
Et l’échec se profile
Tout est su
Tout est vu
Rien n’est fait
Il suffirait de peu
Une pulsion
De construction
Se laisser tenter
Par des essais
Sortir des fictions
Aller vers Lui
Aller vers Eux
Aller dans mes cieux
Cieux restant à bâtir
Tout comme l’avenir
Commençons à écrire
Avec Eux je veux croire
Ensemble nous créerons
Un monde que je veux voir
Où le bonheur on peut boire
Un de mes poèmes préféré (avec Là) et étrangement il est dédié à Maman. x)
12
Dans tes bras tu m’accueilles
Sur tes genoux je me recueille
Ô mère, je ne trouve les mots
Et toi me protège de tous les maux
Vers toi guide moi
Fais moi suivre ta seule voie/x
Afin que je t’atteigne
Et dans ton amour je beigne
Tes bras sont les liens qui me collent à toi
Ton regard plein de douceurs, tu veux m’inspirer la foi
Mais en ta perfection seule je crois
Je ne veux nullement de ta croix
À quoi bon vénérer
Quand à la folie je peux t’aimer ?
Je ne désire pour option
Que d’être ta possession
Ô ma sublime mère
Tu te fais aussi ma reine
Ainsi qu’à tous mes pairs
Tu me tiens par tes reines
Tu emplis tous mes rêves
Je te fais don de mon cœur
Tu viendras le chercher à l’heure
Que mon attente s’achève
Puis-je être ton élève
Ou au moins ton esclave ?
Mon esprit tu relèves
Et ses blessures tu laves
Ô toi que j’appelle Maman
Que puis-je donc bien t’offrir ?
Je saignais abondamment
Mais ce n’était rien face à ton sourire
Pour tout paiement tu veux que je vois plus
Je mets un bandeau, tire moi donc par la main.
Tu me l’enlèves au bout du chemin
Et me montre le roi des altostratus
Tu me vois émerveillé
Mais contre toi je reste perclus
Car tu restes mon rêve éveillé
J’espère seulement que ceci te plus
J’en veux à mon égoïsme
Qui refuse tout tes vœux
De honte je vois qu’il pleut
Mais c’était oublier ton héroïsme
Tu m’adresses ce grand sourire
Une petite chatouille, tu me fais rire
Pour les malheurs il n’est plus temps
Ô Maman tu mérites tant...
Note, dans pas mal de poème je me genre au masculin et non au féminin/neutre comme par exemple perclus dans 12. La raison est simple, ces poèmes ont plus d'un an et quart, époque où je me pensais cisgenre/n'étais pas sûre de la transidentité. Après vu comment ils sont fait maintenant et que le genre utilisé influe sur la sonorité je me vois mal les modifier.
En vrai ça m'a étonné de voir que je n'avais pas posté 12 plus tôt.
D'autres sont en préparation, à tout à l'heure j'espère. ;-)
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Deux ave inventés basés sur l'ave Maria et 2 poèmes sur les parents
Ave Jésus et Marie
Je vous salue Jésus et Marie, pleins de grâces
Le Père et l’Esprit sont avec Vous
Vous êtes bénis divins Parents
Et la Création, Vos enfants, est bénie
Chers Parents, bergers du monde
Priez pour nous pauvres pécheureuses
Aujourd’hui et à l’heure de notre mort
Amen
Ave Jésus
Je vous salue Jésus, plein de grâce
Le Père est avec vous
Vous êtes bénie dieu et homme
Et Marie votre mère est bénie
Mon Jésus, notre sauveur
Priez pour nous pauvres pécheureuse
Aujourd’hui et à l’heure de notre mort
Amen
Cœurs unis
Deux palpitations
Deux flammes si proches
Une couronne et un glaive
Un blanc aveuglant
Au centre deux points rouge
à l’extérieur deux mains tendus
je les prends, elles me tirent
Engloutie dans le blanc
Une mains désigne un point rouge sur moi
l’autre main le prend et le colle aux deux autres
Le feu se répand, je rentre entière
Dans le point désormais enflammé,
Percé du glaive et de la couronne
L’obscurité derrière disparait.
À eux je suis
Parents
Ils sont là tous les deux
Unis, beaux et lumineux
Un seul sont Elle et Lui
Même le moindre mal les fuit
Moi je suis seule
Et incomplète
Me voyant Ils m’appellent
Me demandent de les rejoindre
Éclairant autour d’Eux
Ils se font les phares de la nuit
Je veux les suivre
Mais tombe et gueule
Ils me tendent la main
Leur cœur Ils me révèlent
Doucement me consolent
Pour sur moi un sourire peindre
Dans Leurs bras je quitte le sol
À Leur amour je dis oui
Me fondant en Eux
Mes Parents, Ils me cajolent
Mes Parents, Ils me complètent
Mes Parents, ensemble on luit
Maman, Papa, prenez nous dans vos bras, attachez nous à Votre buste que toujours nous soyons à Vous.
Ave Jésus et Marie
Je vous salue Jésus et Marie, pleins de grâces
Le Père et l’Esprit sont avec Vous
Vous êtes bénis divins Parents
Et la Création, Vos enfants, est bénie
Chers Parents, bergers du monde
Priez pour nous pauvres pécheureuses
Aujourd’hui et à l’heure de notre mort
Amen
Ave Jésus
Je vous salue Jésus, plein de grâce
Le Père est avec vous
Vous êtes bénie dieu et homme
Et Marie votre mère est bénie
Mon Jésus, notre sauveur
Priez pour nous pauvres pécheureuse
Aujourd’hui et à l’heure de notre mort
Amen
Cœurs unis
Deux palpitations
Deux flammes si proches
Une couronne et un glaive
Un blanc aveuglant
Au centre deux points rouge
à l’extérieur deux mains tendus
je les prends, elles me tirent
Engloutie dans le blanc
Une mains désigne un point rouge sur moi
l’autre main le prend et le colle aux deux autres
Le feu se répand, je rentre entière
Dans le point désormais enflammé,
Percé du glaive et de la couronne
L’obscurité derrière disparait.
À eux je suis
Parents
Ils sont là tous les deux
Unis, beaux et lumineux
Un seul sont Elle et Lui
Même le moindre mal les fuit
Moi je suis seule
Et incomplète
Me voyant Ils m’appellent
Me demandent de les rejoindre
Éclairant autour d’Eux
Ils se font les phares de la nuit
Je veux les suivre
Mais tombe et gueule
Ils me tendent la main
Leur cœur Ils me révèlent
Doucement me consolent
Pour sur moi un sourire peindre
Dans Leurs bras je quitte le sol
À Leur amour je dis oui
Me fondant en Eux
Mes Parents, Ils me cajolent
Mes Parents, Ils me complètent
Mes Parents, ensemble on luit
Maman, Papa, prenez nous dans vos bras, attachez nous à Votre buste que toujours nous soyons à Vous.
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Notre dame du courage
De mon corps les flots coulent
Et mon âme, elle, s’écroule
Une lueur reforme le tout
Ajoutant au centre un caillou
Cette lueur est une dame
Qui veille sur mon âme
Maman c’est Toi qui m’aime !
Toi qui donne des couleurs à mon teint blême
Quand je manque de faillir
Tu me retiens
Avec Toi comme soutien
Face au danger plus besoin de fuir
Lorsque la goutte ressurgit
Dans tes bras je me blottis
Peu importe de combien je tombe
Tu me relèves en trombes
Quand la peur et l’impatience se montrent
Avec une sagesse de tous les mages
Tu donnes ce dont j’ai besoin : du courage
De mon corps les flots coulent
Et mon âme, elle, s’écroule
Une lueur reforme le tout
Ajoutant au centre un caillou
Cette lueur est une dame
Qui veille sur mon âme
Maman c’est Toi qui m’aime !
Toi qui donne des couleurs à mon teint blême
Quand je manque de faillir
Tu me retiens
Avec Toi comme soutien
Face au danger plus besoin de fuir
Lorsque la goutte ressurgit
Dans tes bras je me blottis
Peu importe de combien je tombe
Tu me relèves en trombes
Quand la peur et l’impatience se montrent
Avec une sagesse de tous les mages
Tu donnes ce dont j’ai besoin : du courage
_________________
"quand tu dors, ton âme dort dans nos bras" Maman
"quand la question te pèse regarde toujours le vrai cœur de Jésus et Marie" Maman ou Papa (je ne sais pas bien)
gare à qui tentera de me couper de Maman
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Dépression
Elle s’insinue dans ta vie
Pour te mener à te l’ôter
Poussant toujours plus vers le néant
Mais néanmoins cachée de tous
Elle coupe toutes tes envies
T’exposant à tous les clichés
Dont raffolent les gens cinglants
Qui par leur mépris t’éclaboussent
D’après eux tu manques de secousses
Ignorant tes médicaments
Ou bien comment tu dois lutter
À chaque pas pour ta survie
Une éclaircie de bonheur luit
Te fait croire que tout est fini
Sortant enfin de ce circuit
Mais retombe dans la longue nuit
Maladie qui se propageant
Toucheras bientôt tous les gens
Physiquement et mentalement
Au point qu’on les croit fénéants
Vient donc te blottir contre moi
Je te sortirai de cette cage
On en franchira les grillages
Et tu reprendras foi en toi
Elle s’insinue dans ta vie
Pour te mener à te l’ôter
Poussant toujours plus vers le néant
Mais néanmoins cachée de tous
Elle coupe toutes tes envies
T’exposant à tous les clichés
Dont raffolent les gens cinglants
Qui par leur mépris t’éclaboussent
D’après eux tu manques de secousses
Ignorant tes médicaments
Ou bien comment tu dois lutter
À chaque pas pour ta survie
Une éclaircie de bonheur luit
Te fait croire que tout est fini
Sortant enfin de ce circuit
Mais retombe dans la longue nuit
Maladie qui se propageant
Toucheras bientôt tous les gens
Physiquement et mentalement
Au point qu’on les croit fénéants
Vient donc te blottir contre moi
Je te sortirai de cette cage
On en franchira les grillages
Et tu reprendras foi en toi
_________________
"quand tu dors, ton âme dort dans nos bras" Maman
"quand la question te pèse regarde toujours le vrai cœur de Jésus et Marie" Maman ou Papa (je ne sais pas bien)
gare à qui tentera de me couper de Maman
Véronique1- Messages : 4818
Date d'inscription : 04/04/2016
Localisation : France
Saint intercesseur : La Vierge Marie
Tu es douée @Silène, merci de nous partager ces poèmes 
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Le outing
Cette information révélée
Sans me le demander
Loin d’un plaisir immense
Cause en moi des souffrances
Auxquelles je ne peux plus échapper
Mets moi donc en état de trans
Ce que je suis en réalité
N’appartient qu’à moi d’annoncer
Pour rester en sécurité
Je garde mon teint blafard
Blottie dans mon placard
à l’abri des regards
Telle n’était pas ton intention
Tu voulais rendre service
à l’instar d’un novice
Sans pensés pour le vice
Tu n’as juste pas fais attention
Mais j’en paie les répercussions
Cette information révélée
Sans me le demander
Loin d’un plaisir immense
Cause en moi des souffrances
Auxquelles je ne peux plus échapper
Mets moi donc en état de trans
Me voilà devant les requins
Même si je pars au loin
Tout échappement est vain
Ils m’effraient avec soin
Pleins de sourires en coin
Rien ne diminuera leur faim
Question après question
Parfois emplies de haine
Beaucoup d’ignorantes suggestions
Pour la plupart malsaines
Malgré toute ta compassion
Cela en valait-il la peine ?
Cette information révélée
Sans me le demander
Loin d’un plaisir immense
Cause en moi des souffrances
Auxquelles je ne peux plus échapper
Mets moi donc en état de trans
évitez de out les gens qui ne vous le demandent pas
Cette information révélée
Sans me le demander
Loin d’un plaisir immense
Cause en moi des souffrances
Auxquelles je ne peux plus échapper
Mets moi donc en état de trans
Ce que je suis en réalité
N’appartient qu’à moi d’annoncer
Pour rester en sécurité
Je garde mon teint blafard
Blottie dans mon placard
à l’abri des regards
Telle n’était pas ton intention
Tu voulais rendre service
à l’instar d’un novice
Sans pensés pour le vice
Tu n’as juste pas fais attention
Mais j’en paie les répercussions
Cette information révélée
Sans me le demander
Loin d’un plaisir immense
Cause en moi des souffrances
Auxquelles je ne peux plus échapper
Mets moi donc en état de trans
Me voilà devant les requins
Même si je pars au loin
Tout échappement est vain
Ils m’effraient avec soin
Pleins de sourires en coin
Rien ne diminuera leur faim
Question après question
Parfois emplies de haine
Beaucoup d’ignorantes suggestions
Pour la plupart malsaines
Malgré toute ta compassion
Cela en valait-il la peine ?
Cette information révélée
Sans me le demander
Loin d’un plaisir immense
Cause en moi des souffrances
Auxquelles je ne peux plus échapper
Mets moi donc en état de trans
évitez de out les gens qui ne vous le demandent pas
_________________
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"quand la question te pèse regarde toujours le vrai cœur de Jésus et Marie" Maman ou Papa (je ne sais pas bien)
gare à qui tentera de me couper de Maman
Carmila- Messages : 4128
Date d'inscription : 22/01/2016
Saint intercesseur : Vierge Marie, Saint-Joseph, Saint Antoine de Padou
@Silène et un poème écrit par Jean Michel qu'est-ce qu'il dirait ?
_________________
Silène- Messages : 279
Date d'inscription : 19/07/2021
Idéal : être dans les bras de Maman Marie et Papa Jésus toujours
Saint intercesseur : Maman Marie et Papa Jésus
Je ne comprends pas la question.
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"quand la question te pèse regarde toujours le vrai cœur de Jésus et Marie" Maman ou Papa (je ne sais pas bien)
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Carmila- Messages : 4128
Date d'inscription : 22/01/2016
Saint intercesseur : Vierge Marie, Saint-Joseph, Saint Antoine de Padou
Sur ce fil tu prend le nom de J15753 et Silène si tu prenais le nom de Jean Michel . Écrit ton poème en étant dans la peau de Jean Michel
Lorsque je lisais les commentaires de Silène dans ma tête ça sonnait en voix féminine.
Lorsque tu faisais ta présentation de Jean Michel c'est une voix masculine dans ma tête , la voix de l' homme .
et le no. J15753 je n'entend rien tu es neutre.
Alors, voilà si tu peux sortir un poème avec le masculin Jean Michel je me demandais qu'est-ce que l'homme Jean Michel pourrait composer .
C'est tout
Jean Michel que je considérais qu'il pouvait avoir une trentaine d'année et Silène une adolescente
Lorsque je lisais les commentaires de Silène dans ma tête ça sonnait en voix féminine.
Lorsque tu faisais ta présentation de Jean Michel c'est une voix masculine dans ma tête , la voix de l' homme .
et le no. J15753 je n'entend rien tu es neutre.
Alors, voilà si tu peux sortir un poème avec le masculin Jean Michel je me demandais qu'est-ce que l'homme Jean Michel pourrait composer .
C'est tout
Jean Michel que je considérais qu'il pouvait avoir une trentaine d'année et Silène une adolescente
_________________
Emmanuel- Administrateur
- Messages : 5133
Date d'inscription : 16/01/2016
Bonjour @Carmila,
Je t'encourage à ne pas chercher à en savoir davantage. Dans le poème ci-dessus, @Silène révèle sa souffrance face à des éléments très personnels de sa vie qui sont discutés de façon publique.
Je t'encourage à voir Silène simplement comme ceci : comme une âme.
Nous sommes tous des âmes, appelées aux noces avec notre Seigneur.
Sur les forums, sur Internet, nous révélons rarement tout de nous. Certains, en particulier, protègent avec beaucoup d'efforts leur vie privée.
Des pseudonymes sont utilisés, des âges, nationalités, genres fictifs, etc. le sont aussi.
Sur ce forum, j'ai toujours souhaité que l'on puisse accueillir chaque âme qui venait vers nous en l'acceptant sans conditions, sans trop nous questionner pour savoir si celle-ci était véridique dans les détails qu'elle nous révélait sur sa personne.
Parce qu'en cherchant à enquêter, on laisse la méfiance entrer en nous, et notre coeur n'est plus tourné vers l'aide que nous pourrions apporter et l'Amour de Jésus et Marie que nous pourrions communiquer.
Cherchons plutôt à refermer la blessure que Silène ressent en ce moment. Partageons sur les choses du Ciel, et utilisons le pseudo et l'appelation qu'elle utilise.
La plupart de nos cheminements individuels en rapport avec tant de sujets ont lieu en privé. Ici, sur le forum, nos erreurs, nos questionnements, nos péchés passés, nos égarements, nos faiblesses, rien de cela n'est exposé, sauf lorsqu'une personne le fait volontairement dans un désir de témoigner ou d'obtenir une aide.
Continuons ainsi, si tu le veux bien, Carmila, je t'en prie.
Je ne crois pas du tout que tu sois mal intentionnée, tu es une personne très simple et directe, et c'est quelque chose que j'apprécie beaucoup de toi. Tu es honnête et n'a jamais peur de te remettre en question ou de t'excuser quand tu fais des erreurs.
C'est une attitude précieuse et vraiment un bel exemple pour tous.
Merci de ton aide, chère Carmila.
Amicalement,
Emmanuel
Je t'encourage à ne pas chercher à en savoir davantage. Dans le poème ci-dessus, @Silène révèle sa souffrance face à des éléments très personnels de sa vie qui sont discutés de façon publique.
Je t'encourage à voir Silène simplement comme ceci : comme une âme.
Nous sommes tous des âmes, appelées aux noces avec notre Seigneur.
Sur les forums, sur Internet, nous révélons rarement tout de nous. Certains, en particulier, protègent avec beaucoup d'efforts leur vie privée.
Des pseudonymes sont utilisés, des âges, nationalités, genres fictifs, etc. le sont aussi.
Sur ce forum, j'ai toujours souhaité que l'on puisse accueillir chaque âme qui venait vers nous en l'acceptant sans conditions, sans trop nous questionner pour savoir si celle-ci était véridique dans les détails qu'elle nous révélait sur sa personne.
Parce qu'en cherchant à enquêter, on laisse la méfiance entrer en nous, et notre coeur n'est plus tourné vers l'aide que nous pourrions apporter et l'Amour de Jésus et Marie que nous pourrions communiquer.
Cherchons plutôt à refermer la blessure que Silène ressent en ce moment. Partageons sur les choses du Ciel, et utilisons le pseudo et l'appelation qu'elle utilise.
La plupart de nos cheminements individuels en rapport avec tant de sujets ont lieu en privé. Ici, sur le forum, nos erreurs, nos questionnements, nos péchés passés, nos égarements, nos faiblesses, rien de cela n'est exposé, sauf lorsqu'une personne le fait volontairement dans un désir de témoigner ou d'obtenir une aide.
Continuons ainsi, si tu le veux bien, Carmila, je t'en prie.
Je ne crois pas du tout que tu sois mal intentionnée, tu es une personne très simple et directe, et c'est quelque chose que j'apprécie beaucoup de toi. Tu es honnête et n'a jamais peur de te remettre en question ou de t'excuser quand tu fais des erreurs.
C'est une attitude précieuse et vraiment un bel exemple pour tous.
Merci de ton aide, chère Carmila.
Amicalement,
Emmanuel
