Bienvenue sur le Forum catholique
par J15753 Mer 17 Juil - 14:11Avant de commencer je préviens :
Il n’est pas question ici de prétendre une vérité absolue mais d’exprimer notre subjectivité et d’essayer de voir si l’on peut faire quelque chose de cohérent avec un maximum de « témoignages ». Ainsi même si nos vision d’une même chose sont radicalement opposés ce n’est pas à prendre comme une erreur mais comme un nouveau terrain à explorer (vive la curiosité !). Je vous invite à donner votre vision personnelle de la haine et pourquoi pas d’utiliser quelques exemples tirés de votre vécu.
Bien que la haine soit souvent considérée comme une chose péjorative il n’est pas question ici de faire un lynchage.
La haine n’est pas la colère. La colère est passagère, tout au plus dure t-elle un jour. La colère est violente, elle s’applique souvent dans l’instant.
Cependant la colère est utile. En effet piquer une grosse crise peut soulager (bon, une fois toutes les deux semaines maximum sinon ça perd son efficacité), permettre de se débarrasser d’un poids en étant (trop ?) franc ou tout simplement elle peut être salvatrice en cas de nécessité d’un effort important bien que dans ce type de situation le corps prendra un coup de barre conséquent en guise de recul.
La haine c’est autre chose. Elle dure longtemps (un semaine minimum à toute une vie) mais surtout elle est passive. La haine peut être choisie ou venir naturellement. La haine naturelle étant celle durant le plus longtemps et la plus « puissante » des deux car se gravant dans les réflexes. En général la haine arrive lorsque l’on cumule tout un tas de colères sans les exprimer. L’on se dit que l’on devrait laisser du gaz s’échapper de la cocotte mais rien n’est fait. Le couvercle peut finir par sauter ou la cocotte finir par exploser mais une chose est sûre : plus ça saute tard plus ça fait de dégâts. Et c’est logique car avec le temps la haine peut accumuler d’avantage de colère sans compter qu’elle peut aussi s’auto-alimenter (par exemple il suffit de penser à quelque chose nous mettant en colère). À noter que quand la cocotte explose elle peut être la seule à subir des dommages. Les manifestations physiques les plus courantes sont la tentative de suicide ou la production abondante de larmes. Quand une haine vient en fait d’une tristesse ça pique d’avantage que quand c’est une haine simple.
Colère tristesse et peur peuvent avoir la même origine et la haine peut être produite par les trois sentiments ce qui me fait souvent penser que malgré quelques différences au final ces trois sentiments n’en font qu’un.
Mais la haine ce n’est pas qu’une histoire de pétage de plomb. Elle peut être dirigée contre soit ou contre d’autre mais quelque soit sa cible l’objectif n’est pas de lui faire des bisous. On veut voir la cible de sa haine souffrir ou disparaître. Cible à ne pas confondre avec la source. La source de notre colère est souvent externe mais la source de notre haine c’est nous-mêmes.
La haine peut se manifester de différentes manières :
- colère constante
- désintérêt total pour autre chose que le domaine cible de la haine
- forte irritabilité
- renforcement de l’agressivité
- baisse significative de l’empathie/ de la pitié
- renforcement de l’égocentrisme (pas systématique mais pas rare non plus)
- sensation de puissance
- satisfaction démesurée à la destruction d’une cible de la haine/à sa souffrance
- sadisme
- isolement
- envie de destruction de la cible de sa haine (facile à obtenir quand nous somme notre propre cible)
- se mettre aux sacrifices humains (bon j’avoue celui-là c’est pour le troll ^^)
La haine peut être très appréciable mais elle a sur le long terme elle finit par ronger de l’intérieur. Et ce n’est pas qu’une façon de parler :
- augmentation des troubles gastriques
- baisse du temps de sommeil
- augmentation de la fatigue (forcément quand on carbure constamment à la colère...)
- sensation de mal-être quand on n’est pas stimulé par la cible de sa haine
Le corps prend cher. La colère est comme le sport mais les effets sont plus accentués et votre corps que vous habituez avec va en demander constamment.
En fait d’après certains le corps demande l’émotion avec laquelle il est le plus nourri. Quand c’est avec une colère haineuse qu’on l’alimente il faut savoir l’encaisser.
Si il y a des joueurs de pokémon ici ce que je vais vous dire va peut-être plus vous parler. Une colère c’est un boutefeux et la haine c’est l’utilisation d’un life-orb. Si vous pouvez sweep avec un dieu comme méga-Rayquaza pas de problème mais si vous l’utilisez avec une version de chansey n’ayant pas accès à soft-boiled ça va piquer sévère.
La haine peut être utile mais il faut savoir s’en débarrasser car passé un certain cap elle est plus nocive qu’autre chose.
Après il se peut aussi que la haine soit un amour qu’on ne veut pas admettre et dans ce cas il y a tout intérêt à faire exploser la cocotte pour le bien-être de celui qui hait.
C’est tout pour moi, n’hésitez pas à donner votre propre vision de la haine et/ou parler d’expériences vécues ayant un lien direct.
N’oubliez pas tout le monde à raison et tout le monde a tort sur ce sujet.
Il n’est pas question ici de prétendre une vérité absolue mais d’exprimer notre subjectivité et d’essayer de voir si l’on peut faire quelque chose de cohérent avec un maximum de « témoignages ». Ainsi même si nos vision d’une même chose sont radicalement opposés ce n’est pas à prendre comme une erreur mais comme un nouveau terrain à explorer (vive la curiosité !). Je vous invite à donner votre vision personnelle de la haine et pourquoi pas d’utiliser quelques exemples tirés de votre vécu.
Bien que la haine soit souvent considérée comme une chose péjorative il n’est pas question ici de faire un lynchage.
La haine n’est pas la colère. La colère est passagère, tout au plus dure t-elle un jour. La colère est violente, elle s’applique souvent dans l’instant.
Cependant la colère est utile. En effet piquer une grosse crise peut soulager (bon, une fois toutes les deux semaines maximum sinon ça perd son efficacité), permettre de se débarrasser d’un poids en étant (trop ?) franc ou tout simplement elle peut être salvatrice en cas de nécessité d’un effort important bien que dans ce type de situation le corps prendra un coup de barre conséquent en guise de recul.
La haine c’est autre chose. Elle dure longtemps (un semaine minimum à toute une vie) mais surtout elle est passive. La haine peut être choisie ou venir naturellement. La haine naturelle étant celle durant le plus longtemps et la plus « puissante » des deux car se gravant dans les réflexes. En général la haine arrive lorsque l’on cumule tout un tas de colères sans les exprimer. L’on se dit que l’on devrait laisser du gaz s’échapper de la cocotte mais rien n’est fait. Le couvercle peut finir par sauter ou la cocotte finir par exploser mais une chose est sûre : plus ça saute tard plus ça fait de dégâts. Et c’est logique car avec le temps la haine peut accumuler d’avantage de colère sans compter qu’elle peut aussi s’auto-alimenter (par exemple il suffit de penser à quelque chose nous mettant en colère). À noter que quand la cocotte explose elle peut être la seule à subir des dommages. Les manifestations physiques les plus courantes sont la tentative de suicide ou la production abondante de larmes. Quand une haine vient en fait d’une tristesse ça pique d’avantage que quand c’est une haine simple.
Colère tristesse et peur peuvent avoir la même origine et la haine peut être produite par les trois sentiments ce qui me fait souvent penser que malgré quelques différences au final ces trois sentiments n’en font qu’un.
Mais la haine ce n’est pas qu’une histoire de pétage de plomb. Elle peut être dirigée contre soit ou contre d’autre mais quelque soit sa cible l’objectif n’est pas de lui faire des bisous. On veut voir la cible de sa haine souffrir ou disparaître. Cible à ne pas confondre avec la source. La source de notre colère est souvent externe mais la source de notre haine c’est nous-mêmes.
La haine peut se manifester de différentes manières :
- colère constante
- désintérêt total pour autre chose que le domaine cible de la haine
- forte irritabilité
- renforcement de l’agressivité
- baisse significative de l’empathie/ de la pitié
- renforcement de l’égocentrisme (pas systématique mais pas rare non plus)
- sensation de puissance
- satisfaction démesurée à la destruction d’une cible de la haine/à sa souffrance
- sadisme
- isolement
- envie de destruction de la cible de sa haine (facile à obtenir quand nous somme notre propre cible)
- se mettre aux sacrifices humains (bon j’avoue celui-là c’est pour le troll ^^)
La haine peut être très appréciable mais elle a sur le long terme elle finit par ronger de l’intérieur. Et ce n’est pas qu’une façon de parler :
- augmentation des troubles gastriques
- baisse du temps de sommeil
- augmentation de la fatigue (forcément quand on carbure constamment à la colère...)
- sensation de mal-être quand on n’est pas stimulé par la cible de sa haine
Le corps prend cher. La colère est comme le sport mais les effets sont plus accentués et votre corps que vous habituez avec va en demander constamment.
En fait d’après certains le corps demande l’émotion avec laquelle il est le plus nourri. Quand c’est avec une colère haineuse qu’on l’alimente il faut savoir l’encaisser.
Si il y a des joueurs de pokémon ici ce que je vais vous dire va peut-être plus vous parler. Une colère c’est un boutefeux et la haine c’est l’utilisation d’un life-orb. Si vous pouvez sweep avec un dieu comme méga-Rayquaza pas de problème mais si vous l’utilisez avec une version de chansey n’ayant pas accès à soft-boiled ça va piquer sévère.
La haine peut être utile mais il faut savoir s’en débarrasser car passé un certain cap elle est plus nocive qu’autre chose.
Après il se peut aussi que la haine soit un amour qu’on ne veut pas admettre et dans ce cas il y a tout intérêt à faire exploser la cocotte pour le bien-être de celui qui hait.
C’est tout pour moi, n’hésitez pas à donner votre propre vision de la haine et/ou parler d’expériences vécues ayant un lien direct.
N’oubliez pas tout le monde à raison et tout le monde a tort sur ce sujet.
