Vidéo : Le Pape François ne laisse personne embrasser sa bague ! Surprenant !

Une vidéo diffusée hier par une chaîne de nouvelles italienne montre le chef de l’Église catholique empêcher à répétition des fidèles d’embrasser son alliance papale.

En effet, plusieurs médias à travers le monde relaient ces images loufoques du Pape, qui fait tout en son possible pour que les fidèles qui se prosternent devant lui n’arrivent pas à poser les lèvres sur son anneau papal.

Les images en question auraient été prises hier matin par la chaîne TGCOM24, après une messe à la Sainte Maison de Lorette, la maison où serait née la Vierge Marie.
 
Ce sanctuaire aurait été démonté à Nazareth en 1291 et ré-assemblé à Loreto, en Italie, en 1294.

Le Pape, comme le veut la coutume, aurait pris le temps de bénir les fervents chrétiens ayant assisté à la cérémonie.

Mais pour une raison que tous ignorent, il n’avait visiblement pas le goût que ses ouailles ne touchent de leur bouche son anneau.

Voyez vous-mêmes :

« Selon un proche collaborateur du pape, «Parfois, il aime ça,
parfois pas. C’est vraiment aussi simple que ça.
Eh bien, ce jour-là, le pape François a dit aux gens, avant
de le rencontrer, qu'ils ne devaient pas se mettre à genoux
ni embrasser sa bague.
De toute évidence, cela n’a pas très bien fonctionné. »

Source : https://beat102103.com/life/popes-ring/

Le 1er mars 2016, une trentaine de - cathos de gauche – accompagnés
par deux journalistes, sont reçus par le pape, en dehors de tout
protocole. Souvenirs d’un grand moment.

François arrive quelques minutes plus tard. Il nous salue en nous serrant la main. Fallait-il s’agenouiller, lui baiser l’anneau et le gratifier d’un « Votre sainteté » ? Même pas le temps d’y réfléchir, il a déjà dit « bonjour » à chacun. Et je crois que tout le monde lui a répondu sur le même ton. (...)

Ce qui est remarquable, c’est sa capacité à nous mettre immédiatement à l’aise. Simple, souriant, détendu, plein d’humour, François dégage, en même temps (comme aurait dit Emmanuel Macron), une très grande force. (...)

Nous resterons quand même une heure trente. Soit trois fois plus que la durée moyenne d’un entretien accordé aux chefs d’État…

Et ça donne soif. À la fin de notre conversation, le pape s’aperçoit que nous avons, comme lui, la gorge sèche. Il se lève et va, lui-même, nous chercher de l’eau. Puis il reçoit avec bonne humeur les petits cadeaux que nous lui avons apportés. Bruno Nestor Azerot, député de la Martinique, est venu avec une bonne bouteille de rhum que le pape… goûtera, c’est promis, après le carême.

Il est temps de nous séparer. Quand il prend congé, il nous offre à chacun un chapelet, et bénit notre groupe à la demande de l’un d’entre nous… tout en s’excusant auprès de ceux qui pourraient se sentir heurtés dans leur laïcité.

Il nous serre encore une fois la main et s’excuserait presque de nous quitter pour un autre rendez-vous. Une fois François parti, une émotion collective nous parcourt. Nous avons vécu, tout simplement, un très grand moment.

Source : https://www.ouest-france.fr/…/data/27959/reader/reader.html…