par Invité Dim 15 Sep - 9:55
Il y a la surface de nous-mêmes où s'enflamment facilement des petits feux follets dans les paroles, les chants et les danses...
Et ces choses ne nous nourrissent pas vraiment et finissent par nous fatiguer...
Puis il y a la vérité de notre prière face au Seigneur, nos "je vous salue Marie" répétés inlassablement par amour et qui descendent dans notre coeur en profondeur facilitant notre examen de conscience, la confession de nos péchés avec le regret de les avoir commis...
Puis c'est le désir si fort en nos coeurs d'aller à la messe pour écouter l'évangile et pour contempler le renouvellement de sa passion sur l'autel par les mains du prêtre...
Main du prêtre de laquelle nous recevons la sainte communion : Divine présence du Seigneur dans son corps, dans son sang, dans son âme...
Divine Eucharistie où nous avons tout : Force, douceur, humilité, consolation, guérison, compréhension...
Tout ce que nous cherchions jadis dans des fêtes est là dans le silence de notre coeur : Dieu en trois personnes est là et se donne en nourriture.
Que faisons nous de lui ? comment allons-nous l'aimer en retour ?
M+