Parce que je ne suis qu'un homme je commets des erreurs, je me trompe, ou je tombe.
je ne suis pas parfait, je connais la douleur. Il m' arrive de pleurer, et d'appeler à l'aide.
Parce que je ne suis qu'un homme, non, je ne sais pas tout, non, je ne peux pas tout.
Parce que je suis un homme , je grandis puis rapetisse, par mon corps en tout cas.
D' abords à 4 pattes, et ensuite sur deux, il m'en faut une troisième pour porter mes vieux jours.
Parce que je suis un homme, je finis par mourir.
La mort fut professeur de mes tendres années, où j'ai vu de mes cœurs allez mordre la poussière. Y' avait un père de cœur, et un frère de cœur. Y avait Pascal, Michel, et puis là dans ma chambre un arrière grand père.
Vous à peine douze ans, vous comprenez pas bien. Les cauchemars prennent vie.
Vous êtes accaparé par l'envie de rejoindre ceux qui viennent à manquer.
Alors qu'à coté ils sourient, ils profitent pleinement, vous vous pleurez tout le temps quand le soir vous êtes seuls. Le jour n'est que façade, que banane simulé là posé sur vos lèvres.
Parce que je suis qu'un homme qui voulait oublier j'en viens à boire un peu, beaucoup, à la folie, j'en viens à crapoter avant de l'avaler cette fumée maudites qui procure compagnon à mes tristes solitudes.
Je crois que l'on ne veut plus d'attache, où qu'on se sent rejeter, encore, et encore, et encore.
On entends des insultes et on pleure les larmes arides qu'il nous reste. On veut crier à l'aide.
Mais on ne trouve pas les mots, on ne veut pas déranger, car toujours on dérange ceux dit de même sang.
On devient un fantôme.
Invisible on observe nos frères de calvaire.
L' enfer est il sur terre?
Qu' on ne vienne pas me dire ce que Dieu à souffert, quand de votre pauvre vie vous ne voyez que l'enfer.
Parce que je ne suis qu'un homme, j'ai même tenter la mort.
Parce que je ne suis qu'un homme j'ai trouve mon âme sœur. Là en sa compagnie, j'ai compléter mon cœur, j'ai compléter ma vie de deux superbe enfant.
Ma vie pleine de douleur mental et puis physique trouver quelque lueur dans leurs yeux magnifiques.
Parce que je ne suis qu'un homme , j' ai put aimer, sourire.
Je me souvient ce jour, d'un profond désespoir, où j'ai appelé de tout mon être qu'il se manifeste, lui, lui qu'on appelle bon Dieu.
Je fut tellement surpris de le voir me répondre, de l'entendre en mon centre.
J'étais hier athée, il est venu me chercher.
Aujourd'hui je n'ai plus que l'amour pour guérir mes blessures. Et chaque jour je vais mieux, oui, chaque jour un peu mieux.
Parfois on se laisse aller, puis on se souvient: Ecoute ton cœur, celui qui aime et qui pardonne.
Parfois on est blessé par le grand accusateur, mais le cœur lui pardonne.
Parce qu'on m'a jugé et qu(on me juge encore, j'en viens à refléter comme le ferais un miroir.
Monsieur tu as fais ci, monsieur qu'avez vous donc fait?
Mais comme vous n'êtes que des hommes, mon cœur vous pardonne.
Parce que nous sommes des hommes, nous faisons des erreurs tous, oui, tous autant que nous sommes.
Alors, plutôt que de ruminer, ressasser, les fautes du passer, pardonnez, et vivez au présent.
Faites de votre passage sur terre un préambule à l'amour.
Faites le peu importe celui qui meurt en face de vous, car tous vers la mort nous allons, et que pour vivre là haut, il faut aimer sans condition....
Nous avons tellement à apprendre de l'autre. Ne perdons pas notre temps dans des ressentiments absurde.
EL
je ne suis pas parfait, je connais la douleur. Il m' arrive de pleurer, et d'appeler à l'aide.
Parce que je ne suis qu'un homme, non, je ne sais pas tout, non, je ne peux pas tout.
Parce que je suis un homme , je grandis puis rapetisse, par mon corps en tout cas.
D' abords à 4 pattes, et ensuite sur deux, il m'en faut une troisième pour porter mes vieux jours.
Parce que je suis un homme, je finis par mourir.
La mort fut professeur de mes tendres années, où j'ai vu de mes cœurs allez mordre la poussière. Y' avait un père de cœur, et un frère de cœur. Y avait Pascal, Michel, et puis là dans ma chambre un arrière grand père.
Vous à peine douze ans, vous comprenez pas bien. Les cauchemars prennent vie.
Vous êtes accaparé par l'envie de rejoindre ceux qui viennent à manquer.
Alors qu'à coté ils sourient, ils profitent pleinement, vous vous pleurez tout le temps quand le soir vous êtes seuls. Le jour n'est que façade, que banane simulé là posé sur vos lèvres.
Parce que je suis qu'un homme qui voulait oublier j'en viens à boire un peu, beaucoup, à la folie, j'en viens à crapoter avant de l'avaler cette fumée maudites qui procure compagnon à mes tristes solitudes.
Je crois que l'on ne veut plus d'attache, où qu'on se sent rejeter, encore, et encore, et encore.
On entends des insultes et on pleure les larmes arides qu'il nous reste. On veut crier à l'aide.
Mais on ne trouve pas les mots, on ne veut pas déranger, car toujours on dérange ceux dit de même sang.
On devient un fantôme.
Invisible on observe nos frères de calvaire.
L' enfer est il sur terre?
Qu' on ne vienne pas me dire ce que Dieu à souffert, quand de votre pauvre vie vous ne voyez que l'enfer.
Parce que je ne suis qu'un homme, j'ai même tenter la mort.
Parce que je ne suis qu'un homme j'ai trouve mon âme sœur. Là en sa compagnie, j'ai compléter mon cœur, j'ai compléter ma vie de deux superbe enfant.
Ma vie pleine de douleur mental et puis physique trouver quelque lueur dans leurs yeux magnifiques.
Parce que je ne suis qu'un homme , j' ai put aimer, sourire.
Je me souvient ce jour, d'un profond désespoir, où j'ai appelé de tout mon être qu'il se manifeste, lui, lui qu'on appelle bon Dieu.
Je fut tellement surpris de le voir me répondre, de l'entendre en mon centre.
J'étais hier athée, il est venu me chercher.
Aujourd'hui je n'ai plus que l'amour pour guérir mes blessures. Et chaque jour je vais mieux, oui, chaque jour un peu mieux.
Parfois on se laisse aller, puis on se souvient: Ecoute ton cœur, celui qui aime et qui pardonne.
Parfois on est blessé par le grand accusateur, mais le cœur lui pardonne.
Parce qu'on m'a jugé et qu(on me juge encore, j'en viens à refléter comme le ferais un miroir.
Monsieur tu as fais ci, monsieur qu'avez vous donc fait?
Mais comme vous n'êtes que des hommes, mon cœur vous pardonne.
Parce que nous sommes des hommes, nous faisons des erreurs tous, oui, tous autant que nous sommes.
Alors, plutôt que de ruminer, ressasser, les fautes du passer, pardonnez, et vivez au présent.
Faites de votre passage sur terre un préambule à l'amour.
Faites le peu importe celui qui meurt en face de vous, car tous vers la mort nous allons, et que pour vivre là haut, il faut aimer sans condition....
Nous avons tellement à apprendre de l'autre. Ne perdons pas notre temps dans des ressentiments absurde.
EL