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La question Juive

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saint-michel


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Message par saint-michel Mar 31 Oct - 10:29

La question Juive La_que10

En ces temps si troublés, il est bon de rappeler les vérités de la sainte Église catholique, héritière de la vraie foi (détenue initialement par les fils d’Abraham) réformée depuis l’avènement de Notre-Seigneur Jésus-Christ. La question Juive est celle qui devrait nous interroger depuis la Crucifixion du Fils de l’Homme, Jésus-Christ étant la véritable et unique Pierre Angulaire de l’humanité.


Les réflexions contemporaines sur ce sujet se limitent principalement à deux camps : les pro-israéliens et les antisémites. Ces deux camps ont principalement des vues matérialistes et politiques, les véritables questions spirituelles étant, la plupart du temps, évacuées. Résumons l’antisémitisme en général. Nous n’évoquerons pas les tenants de l’autre partie puisqu’ils ont d’emblée acquis la cause d’Israël sans toutefois se soucier des questions spirituelles véritablement primordiales.
1) Le produit de l’antisémitisme le plus répréhensible fut bien évidemment Adolf Hitler avec sa doctrine nazie. Ce trouble personnage véhicule, par-delà la mort, une idéologie hautement subversive qui divise encore profondément les individus.
2) L’Islam est également vecteur d’un antisémitisme pour des raisons politiques : écarter du devant de la scène les descendants des tenants de la Loi pour que le Messie musulman, l’imam al-Mahdî, puisse se manifester et rétablir l’ordre.
3) Les mouvements d’extrême-gauche sont profondément antisémites pour des raisons comparables. Il s’agit d’une forme d’opposition au sionisme et à l’État d’Israël. Nous n’irons pas plus loin dans ces considérations.



Alors, suite à cette légère introduction, faut-il s’amouracher des juifs ou les maudire ? La question est simple : ni l’un, ni l’autre. La sainte Église catholique est formelle, nous devons prier pour leur conversion : nous argumenterons en ce sens lors de la conclusion de cet essai.
Étudions maintenant ce qui nous intéresse vraiment :

1) L’histoire des Juifs au cours des siècles
2) Leur responsabilité dans la Crucifixion de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
3) Les terribles conséquences engendrées à notre époque par le déicide.
4) Nous conclurons en utilisant les travaux du père Isidoro Da Alatri. 



[size=18]Avant la Crucifixion : La sagesse des Juifs.
Première partie tirée des travaux de l’abbé Fleury,
« les mœurs des Israélites et des chrétiens »[/size]


« Platon étudia plusieurs années en Égypte : et il fait dire à Socrate tant de belles choses, fondées sur les principes qu’enseigne Moïse, que l’on peut le soupçonner d’en avoir eu connaissance. Les Juifs pratiquaient effectivement ce qu’il propose de meilleurdans sa république et dans ses lois ; de vivre chacun de son travail, sans luxe, sans ambition, sans pouvoir se ruiner, ni trop s’enrichir, comptant la justice pour le plus grand de tous les biens, fuyant toute nouveauté et tout changement (note du blog :n’est-ce pas là également la sainte doctrine de l’Église catholique ?). On reconnaît en la personne de Moïse, en David et en Salomon, des exemples de ce sage, qu’il souhaitait pour gouverner un état, et le rendre heureux ; et qu’il osait à peine espérer dans toute la suite des siècles. Il raconte en plusieurs endroits, sans les appuyer d’aucune preuve, certaines traditions dont il respecte l’antiquité, et qui sont manifestement des parcelles de la véritable doctrine, touchant le jugement des hommes après leur mort, et l’état de l’autre vie. Si Platon et les autres Grecs n’avaient pas appris ces grandes vérités immédiatement des Juifs, ils les avaient apprises, au moins des autres Orientaux, qui, étant plus près de la source de genre humain, et ayant des écrits beaucoup plus anciens que les Grecs, avaient bien plus conservé de traditions des premiers hommes, quoique enveloppées de plusieurs fables. » (Première partie, XIX. Retour des Juifs et leur état, sous les Perses, page 161)


« Les mœurs des Romains étaient alors bien plus solides. Ils ne s’appliquaient qu’à l’agriculture, à la jurisprudence, et à la guerre : et laissaient volontiers aux Grecs la gloire de réussir dans les beaux-arts, et dans les sciences curieuses, pour s’attacher à faire des conquêtes, et à gouverner des peuples : faisant, comme dit Virgile, leur capital de la politique. Le sérieux des Juifs allait encore bien au-delà, puisqu’ils faisaient leur étude principale, de la morale et du service de Dieu. Nous en avons un bel exemple dans le livre de l’Ecclésiastique écrit en ce même temps. Cependant, c’était pour cela même, que les Grecs les traitaient d’ignorants, voyant qu’ils ne voulaient savoir que leur loi. Ils les nommaient Barbares ; noms qu’ils donnaient à tous ceux qui n’étaient pas Grecs, et les méprisaient plus que les autres étrangers, à cause de leur religion, qui leur paraissait triste et absurde. Ils voyaient les Juifs s’abstenir de la débauche, non par économie et par politique, mais par principe de conscience : cela leur paraissait trop sévère ; et ils étaient surtout choqués du repos du sabbat, des jeûnes, et de la distinction des viandes.


On les regardait comme les ennemis de tout le genre humain. Ils vivaient séparés de tous les autres, disait un philosophe grec, n’ayant rien de commun avec nous, ni la table, ni les libations, ni les prières, ni les sacrifices. Ils sont plus éloignés de nous que les Susiens, les Bactriens et les Indiens.


Pour lire la suite : https://lafrancechretienne.wordpress.com/2017/10/31/la-question-juive/#more-3651
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