Bonjour,
je souhaite ouvrir un fil sur l'exemple donné par Marie à toutes les femmes.
Ceci parce que j'observe dans la paysage médiatique mais aussi dans mon quotidien et mes relations très très souvent des femmes croyantes et pratiquantes qui correspondent aux normes du monde moderne et font des carrières à cause de cela.
J'en vois d'autres porter la culotte dans leur ménage et mener à la baguette mari, enfants, belle-famille, amis...au risque d'être grossières et de heurter.
J'en vois plein qui ont des rôles de commandement dans les milieux chrétiens et différents mouvements et qui sont aux côté d'hommes timides et effacés.
J'en vois enfin qui n'hésitent pas à avoir des comportements brutaux ( pour la bonne cause, évidemment), à se mettre en vedette, à écraser ou dézinguer subtilement d'autres femmes, à dicter à l'entourage ce qu'il faut penser, à manquer singulièrement d'éducation en montrant clairement qu'elles se pensent supérieures. Même quant on ne leur a rien fait !
Il en est plein qui sont objectivement supérieures.
Mais je vois souvent leur foi et leur dévouement aux paroisse mêlés à des idées et une idéologie "du monde" ( le mythe de la réussite au mérite personnel, la condamnation de ceux qui réussissent moins bien parce que cela "dépend de notre foi et de notre volonté", un certain mépris pour les "filles à problèmes"...).
Cela me renvoie à mes péchés du passé, à ma mauvaise vie.
Je n'ai rien à dire en face de ces femmes qui elles ont un super cv de chrétiennes.
Elles occupent des postes ou des positions très dominantes ( cheffe de famille, chef de quelque chose, modèle à suivre, psychothérapeutes, dame-caté...) et je déplore le manque d'hommes tout aussi carrés et forts à leurs côtés.
Je déplore aussi la perte de vitesse depuis 5 décennies de valeurs féminines telles que la pudeur, le tact, la modestie, l'empathie, le savoir s'effacer, le service aux autres...
Je suis malheureuse de ne pas trouver de vraie amie même dans les milieux cathos et de tomber de plus en plus sur ce modèle de femme "chef" qui décide tout, qui ne vous laissent pas parler, qui critiquent ce que vous faites et pensez.
Je ne suis pas assez "bien" pour elles et elles me l'ont fait souvent sentir (les croyantes et les autres aussi).
Est-ce qu'on peut expliquer cela ?
Marie servait le Seigneur. Parfois j'ai comme une impression que pour certaines de ces femmes, c'est le catholicisme qui est au service de leur égo. Une impression qui ne suffit pas à dire quelque chose de vrai.
Dernièrement il y en a une qui m'a écrabouillée ( devant d'autre personnes dont mon mari) pour une histoire idiote et sans réelle importance.
Ce n'est pas la première fois loin de là.
Je crois qu 'elle s'en fiche.
J'espérais trouver dans les milieux chrétiens un style de femme plus "doux", plus classique. Des femmes avec qui je me sentirais en confiance et pourrais trouver des amies.
Mais je me suis fait trop souvent "échaudée" ce qui me fait reculer devant d'éventuelles nouvelles connaissances, j'hésite à prendre à nouveau un engagement bénévole, à me lier avec d'autres. Dans les jeux de pouvoir, je suis tout le temps la plus faible, la dernière. On me trouve trop seule pour être intéressante et je ne sais pas faire grand'chose.
Je suis bien maladroite dans les relations humaines...
En général j'ai peu d'amis et je les perds assez facilement, bien malgré moi, au profit de ce type de personnalité décideuse et entrepreneuse qui les embarque sans difficulté ( ça m'est arrivé plus d'une fois), les prennent en main et font "le ménage" dans leurs relations.
Quelle dévotion à la Vierge puis-je faire pour qu'Elle me secoure ?
Suivre son exemple, est-ce que cela ne comporte pas des risques ?
Est-ce que ces "supercathos" très affirmées font le mal ou bien est-ce moi qui suis dans de mauvais sentiments et qui devrais regretter de penser cela ?
Je sais que ce n'est pas très chrétien ni très généreux de penser ces choses, mais voilà, c'est un fait, je me suis très souvent vue confrontée à la rivalité féminine, à l'animosité féminine, à des superwomen à qui tout réussit , y compris dans les milieux chrétiens, et qui ont l'air de penser que c'est normal et qu'elles le méritent alors que je sais pour ma part et par rapport à mes expériences et mes rencontres que tous n'ont pas les mêmes cartes ni les mêmes chances et que plein de personnes se retrouvent dans l'exclusion sans l'avoir mérité.
Des personnes que je connais ont eu des parcours très difficiles et semés d'embuches. Il en résulte de leur part une grande réserve. Pour ces personnes, rien n'est jamais "tranché", et quand bien même elles ne seraient pas de votre opinion, elles ont une façon délicate et respectueuse de le dire.
Avec les femmes dont je parle, j'ai au contraire l'impression de ne pas valoir même qu'on se donne de la peine avec moi, qu'elles peuvent se payer le "luxe" de blesser impunément.
Ces nuances leur échappent.
Ma mère est comme cela, très dominante, très carrée et j'en ai énormément souffert, donc j'essaie de louvoyer pour éviter des personnalités qui lui ressemblent, des "fortes femmes", face axquelles je ne peux être qu'une pauvre chose faible qui "se crée" des problèmes et qui est "égocentrée sur ses souffrances" au lieu de s'ouvrir aux autres et d'agir.( je cite une femme qui n'a pas pour moi une folle estime).
je souhaite ouvrir un fil sur l'exemple donné par Marie à toutes les femmes.
Ceci parce que j'observe dans la paysage médiatique mais aussi dans mon quotidien et mes relations très très souvent des femmes croyantes et pratiquantes qui correspondent aux normes du monde moderne et font des carrières à cause de cela.
J'en vois d'autres porter la culotte dans leur ménage et mener à la baguette mari, enfants, belle-famille, amis...au risque d'être grossières et de heurter.
J'en vois plein qui ont des rôles de commandement dans les milieux chrétiens et différents mouvements et qui sont aux côté d'hommes timides et effacés.
J'en vois enfin qui n'hésitent pas à avoir des comportements brutaux ( pour la bonne cause, évidemment), à se mettre en vedette, à écraser ou dézinguer subtilement d'autres femmes, à dicter à l'entourage ce qu'il faut penser, à manquer singulièrement d'éducation en montrant clairement qu'elles se pensent supérieures. Même quant on ne leur a rien fait !
Il en est plein qui sont objectivement supérieures.
Mais je vois souvent leur foi et leur dévouement aux paroisse mêlés à des idées et une idéologie "du monde" ( le mythe de la réussite au mérite personnel, la condamnation de ceux qui réussissent moins bien parce que cela "dépend de notre foi et de notre volonté", un certain mépris pour les "filles à problèmes"...).
Cela me renvoie à mes péchés du passé, à ma mauvaise vie.
Je n'ai rien à dire en face de ces femmes qui elles ont un super cv de chrétiennes.
Elles occupent des postes ou des positions très dominantes ( cheffe de famille, chef de quelque chose, modèle à suivre, psychothérapeutes, dame-caté...) et je déplore le manque d'hommes tout aussi carrés et forts à leurs côtés.
Je déplore aussi la perte de vitesse depuis 5 décennies de valeurs féminines telles que la pudeur, le tact, la modestie, l'empathie, le savoir s'effacer, le service aux autres...
Je suis malheureuse de ne pas trouver de vraie amie même dans les milieux cathos et de tomber de plus en plus sur ce modèle de femme "chef" qui décide tout, qui ne vous laissent pas parler, qui critiquent ce que vous faites et pensez.
Je ne suis pas assez "bien" pour elles et elles me l'ont fait souvent sentir (les croyantes et les autres aussi).
Est-ce qu'on peut expliquer cela ?
Marie servait le Seigneur. Parfois j'ai comme une impression que pour certaines de ces femmes, c'est le catholicisme qui est au service de leur égo. Une impression qui ne suffit pas à dire quelque chose de vrai.
Dernièrement il y en a une qui m'a écrabouillée ( devant d'autre personnes dont mon mari) pour une histoire idiote et sans réelle importance.
Ce n'est pas la première fois loin de là.
Je crois qu 'elle s'en fiche.
J'espérais trouver dans les milieux chrétiens un style de femme plus "doux", plus classique. Des femmes avec qui je me sentirais en confiance et pourrais trouver des amies.
Mais je me suis fait trop souvent "échaudée" ce qui me fait reculer devant d'éventuelles nouvelles connaissances, j'hésite à prendre à nouveau un engagement bénévole, à me lier avec d'autres. Dans les jeux de pouvoir, je suis tout le temps la plus faible, la dernière. On me trouve trop seule pour être intéressante et je ne sais pas faire grand'chose.
Je suis bien maladroite dans les relations humaines...
En général j'ai peu d'amis et je les perds assez facilement, bien malgré moi, au profit de ce type de personnalité décideuse et entrepreneuse qui les embarque sans difficulté ( ça m'est arrivé plus d'une fois), les prennent en main et font "le ménage" dans leurs relations.
Quelle dévotion à la Vierge puis-je faire pour qu'Elle me secoure ?
Suivre son exemple, est-ce que cela ne comporte pas des risques ?
Est-ce que ces "supercathos" très affirmées font le mal ou bien est-ce moi qui suis dans de mauvais sentiments et qui devrais regretter de penser cela ?
Je sais que ce n'est pas très chrétien ni très généreux de penser ces choses, mais voilà, c'est un fait, je me suis très souvent vue confrontée à la rivalité féminine, à l'animosité féminine, à des superwomen à qui tout réussit , y compris dans les milieux chrétiens, et qui ont l'air de penser que c'est normal et qu'elles le méritent alors que je sais pour ma part et par rapport à mes expériences et mes rencontres que tous n'ont pas les mêmes cartes ni les mêmes chances et que plein de personnes se retrouvent dans l'exclusion sans l'avoir mérité.
Des personnes que je connais ont eu des parcours très difficiles et semés d'embuches. Il en résulte de leur part une grande réserve. Pour ces personnes, rien n'est jamais "tranché", et quand bien même elles ne seraient pas de votre opinion, elles ont une façon délicate et respectueuse de le dire.
Avec les femmes dont je parle, j'ai au contraire l'impression de ne pas valoir même qu'on se donne de la peine avec moi, qu'elles peuvent se payer le "luxe" de blesser impunément.
Ces nuances leur échappent.
Ma mère est comme cela, très dominante, très carrée et j'en ai énormément souffert, donc j'essaie de louvoyer pour éviter des personnalités qui lui ressemblent, des "fortes femmes", face axquelles je ne peux être qu'une pauvre chose faible qui "se crée" des problèmes et qui est "égocentrée sur ses souffrances" au lieu de s'ouvrir aux autres et d'agir.( je cite une femme qui n'a pas pour moi une folle estime).