Première lettre de saint Jean 1,5-10.2,1-2.
Psaume 103(102),1-2.3-4.8-9.13-14.17-18a.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 11,25-30.
Celles et ceux qui peinent sous le poids du fardeau, sont les pécheurs, tous autant que nous sommes. Mais tout en étant pécheurs, cette grâce nous a été faite: de nous reconnaître comme tels - et de nous efforcer de chasser le péché de nos vies. C'est comme un homme qui voit que son habit est sale et que son odeur devient désagréable. Que fait-il ? Il se dévêt, il met son linge au lavage et il revêt d'habits propres, comme remis à neuf.
"Chaque aveu, chaque reconnaissance d'une faute, d'une défaillance, d'une flacheuse habitude, portent en elles - du fait du travail de la conscience, devient une occasion de progresser vers la sainteté" a dit notre prêtre. "Il n'y a pas de compte à tenir concernant la grâce divine et, de la même façon, les saintes et les saints du calendrier ne représentent qu'une infime partie des multiples âmes qui, s'étant converties, ont continué de vivre et de travailler sans que personne (sauf le leur confesseur - qui ne peut rien répéter) ne puisse s'en rendre compte.
(Et cependant, je connais une certaine nettoyeuse dont la charge principale est de laver les dalles d'une église et de veiller de même à la propreté de quelques chapelles... Si elle ne se limitait qu'à nettoyer les carrelages ! Mais en hiver, elle dépose ici et là, des vêtements chauds, un pain, une bouteille d'eau, un recueil de prières, etc. Toujours en mini-vélo, jamais surprise en bavardages à la sortie d'une messe, elle passe et ne semble pas vieillir ... Mais puissions-nous, nous aussi, vivre notre foi selon son exemple !)
L’Évangile de ce jour dit encore : "Je vous procurerai le repos". Ce repos est l'assurance des fidèles qui ne se contentent pas d'assister aux offices mais qui, dans les multiples circonstances de la vie, favorables comme défavorables, se laissent guider en toute chose par une foi de confiance absolue et la miséricorde envers le prochain.
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Psaume 103(102),1-2.3-4.8-9.13-14.17-18a.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 11,25-30.
Celles et ceux qui peinent sous le poids du fardeau, sont les pécheurs, tous autant que nous sommes. Mais tout en étant pécheurs, cette grâce nous a été faite: de nous reconnaître comme tels - et de nous efforcer de chasser le péché de nos vies. C'est comme un homme qui voit que son habit est sale et que son odeur devient désagréable. Que fait-il ? Il se dévêt, il met son linge au lavage et il revêt d'habits propres, comme remis à neuf.
"Chaque aveu, chaque reconnaissance d'une faute, d'une défaillance, d'une flacheuse habitude, portent en elles - du fait du travail de la conscience, devient une occasion de progresser vers la sainteté" a dit notre prêtre. "Il n'y a pas de compte à tenir concernant la grâce divine et, de la même façon, les saintes et les saints du calendrier ne représentent qu'une infime partie des multiples âmes qui, s'étant converties, ont continué de vivre et de travailler sans que personne (sauf le leur confesseur - qui ne peut rien répéter) ne puisse s'en rendre compte.
(Et cependant, je connais une certaine nettoyeuse dont la charge principale est de laver les dalles d'une église et de veiller de même à la propreté de quelques chapelles... Si elle ne se limitait qu'à nettoyer les carrelages ! Mais en hiver, elle dépose ici et là, des vêtements chauds, un pain, une bouteille d'eau, un recueil de prières, etc. Toujours en mini-vélo, jamais surprise en bavardages à la sortie d'une messe, elle passe et ne semble pas vieillir ... Mais puissions-nous, nous aussi, vivre notre foi selon son exemple !)
L’Évangile de ce jour dit encore : "Je vous procurerai le repos". Ce repos est l'assurance des fidèles qui ne se contentent pas d'assister aux offices mais qui, dans les multiples circonstances de la vie, favorables comme défavorables, se laissent guider en toute chose par une foi de confiance absolue et la miséricorde envers le prochain.
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