Je n'ai pas compris si je peux en parler ou pas, on m'a dit que je peux poser les questions mais le texte où j'avais tout bien écrit comme 'unjeune' on me l'a pas envoyé pour le changer. Peut-être on s'est pas compris sur quoi j'allais remettre dans ce texte-là, et que c'est plus facile si je le réécris brièvement, probablement je l'écrirai même mieux.
J'ai écrit "masturbation" entre guillemets parce que ce n'est pas exactement de ça que je parle. Si on parle de l’excitation des organes génitaux "afin d’en retirer le plaisir", "quand il est recherché pour lui-même", le catéchisme est clair, ça c'est "moralement désordonné". Vous savez comment je suis d'accord, de ma pudeur et de comment je m'échappe de la débauche. Je ne parle pas de ça. Je parle de le faire exactement avec la "finalité d'union" avec ma conjointe, en ressentant de pouvoir le considérer pour ce qui le catéchisme lui-même dit à ce sujet, où c'est écrit que "pour former un jugement équitable" il faut tenir compte d'autres facteurs.
[Catéchisme de l'Église Catholique, 2351-2352]
Je m'explique mieux.
Le catéchisme y apprend que le plaisir sexuel est naturellement ordonné dans la finalité de l'union entre les époux. Il est un instrument qui nous a été donné par Dieu, sûrement pour la 'procréation', mais même pour l''union', sinon on n'y écrivait pas même cela. Ma femme ne sera pas un utérus, elle sera Elle. Et le plaisir sexuel est un instrument pour sentir fortement l'union avec Elle. En m'abandonnant à Elle, en étant uni aux aspects spirituels qui la rendent Elle, mon esprit est souteni. C'est ça la finalité.
Maintenant, Elle n'est pas là. En tout cas, même si Elle n'est pas là et je n'ai aucune stimulation extérieure à m'unir, j'ai également la pulsion sexuelle. Qui n'est pas un mal, comme elle ne le serait pas si Elle était là. Et Dieu a donné même un autre instrument, la faculté de visualiser, qui aussi n'est pas un mal, car elle permet le lien le plus fort dans la prière. Donc ce dont je parle c'est s'unir à Elle et aux aspects spirituels même si Elle n'est pas là.
Penser que la pulsion sexuelle doit servir à la trouver ne me semble pas une bonne pensée, parce qu'Elle n'est pas un instrument pour satisfier les pulsions. En tout cas, pour le principe de la 'solidarité sociale', j'ai fait tout ce qu'on pouvait faire pour me retrouver avec Elle.
Je ne considère même pas que "il manque la partie du 'donner' à l'autre", parce que je visualise même cela.
Ça, fait de cette façon, a souteni mon esprit et l'a gardé uni à l'idéal chrétien jusqu'au présent. Pour ça le réprimer me semblerait mépriser quelques choses que Dieu m'a donné, causer un désordre dans l'harmonie naturelle de mon être comme Dieu l'a créé, qui, comme le disent les médecins aussi, amène à des pathologies physiques et même dans l'esprit avec toutes leur conséquences. Les autres sont avec des personnes qui ne sont pas chrétiennes, se lient à elles et même quand ils veulent s'en détacher ils en sont obsédés et n'y arrivent pas, même s'ils rencontrent les personnes chrétiennes qui pourraient être leur compagnie idéale. Ou, des autres se pétrifient, ils ne ressentent plus rien, et comme ça ils n'arrivent pas à être une bonne compagnie pour les autres et à en apprécier la leur, voire ils leur font tout autant de mal.
Donc, en tenant compte de tout ça, est-ce mal?
J'ai écrit "masturbation" entre guillemets parce que ce n'est pas exactement de ça que je parle. Si on parle de l’excitation des organes génitaux "afin d’en retirer le plaisir", "quand il est recherché pour lui-même", le catéchisme est clair, ça c'est "moralement désordonné". Vous savez comment je suis d'accord, de ma pudeur et de comment je m'échappe de la débauche. Je ne parle pas de ça. Je parle de le faire exactement avec la "finalité d'union" avec ma conjointe, en ressentant de pouvoir le considérer pour ce qui le catéchisme lui-même dit à ce sujet, où c'est écrit que "pour former un jugement équitable" il faut tenir compte d'autres facteurs.
[Catéchisme de l'Église Catholique, 2351-2352]
Je m'explique mieux.
Le catéchisme y apprend que le plaisir sexuel est naturellement ordonné dans la finalité de l'union entre les époux. Il est un instrument qui nous a été donné par Dieu, sûrement pour la 'procréation', mais même pour l''union', sinon on n'y écrivait pas même cela. Ma femme ne sera pas un utérus, elle sera Elle. Et le plaisir sexuel est un instrument pour sentir fortement l'union avec Elle. En m'abandonnant à Elle, en étant uni aux aspects spirituels qui la rendent Elle, mon esprit est souteni. C'est ça la finalité.
Maintenant, Elle n'est pas là. En tout cas, même si Elle n'est pas là et je n'ai aucune stimulation extérieure à m'unir, j'ai également la pulsion sexuelle. Qui n'est pas un mal, comme elle ne le serait pas si Elle était là. Et Dieu a donné même un autre instrument, la faculté de visualiser, qui aussi n'est pas un mal, car elle permet le lien le plus fort dans la prière. Donc ce dont je parle c'est s'unir à Elle et aux aspects spirituels même si Elle n'est pas là.
Penser que la pulsion sexuelle doit servir à la trouver ne me semble pas une bonne pensée, parce qu'Elle n'est pas un instrument pour satisfier les pulsions. En tout cas, pour le principe de la 'solidarité sociale', j'ai fait tout ce qu'on pouvait faire pour me retrouver avec Elle.
Je ne considère même pas que "il manque la partie du 'donner' à l'autre", parce que je visualise même cela.
Ça, fait de cette façon, a souteni mon esprit et l'a gardé uni à l'idéal chrétien jusqu'au présent. Pour ça le réprimer me semblerait mépriser quelques choses que Dieu m'a donné, causer un désordre dans l'harmonie naturelle de mon être comme Dieu l'a créé, qui, comme le disent les médecins aussi, amène à des pathologies physiques et même dans l'esprit avec toutes leur conséquences. Les autres sont avec des personnes qui ne sont pas chrétiennes, se lient à elles et même quand ils veulent s'en détacher ils en sont obsédés et n'y arrivent pas, même s'ils rencontrent les personnes chrétiennes qui pourraient être leur compagnie idéale. Ou, des autres se pétrifient, ils ne ressentent plus rien, et comme ça ils n'arrivent pas à être une bonne compagnie pour les autres et à en apprécier la leur, voire ils leur font tout autant de mal.
Donc, en tenant compte de tout ça, est-ce mal?