Mes bien chers frères,
priez pour ma famille et moi-même en cette rentrée !
Je m'apprête à une entrevue avec la direction de l'école où vont mes jumelles, officiellement catholique privée mais sous contrat...et depuis le primaire j'ai pu y observer un manque de transparence sur les questions du gender, une diffusion cachée ( masquée) de cette idéologie qui prend la forme de cours d'histoire sur "la condition féminine" ( grossièrement amalgamée avec l'esclavage des Noirs), des sorties "pédagogiques" dans une bibliothèque officiellement déclarée favorable au gender ( pardon....à l'"égalité homme-femmes"!!!!) et soutenue par une assoc' LGBT....tous ces cours de féminisme étant ordonnés par la ministre, Madame Vallaud -Belkacem, dont nous connaissons tous les positions à propos du gender.
Apparemment seule à me questionner et seule à ne pas être dupe, j'ai en vain frappé à la porte de l'assoc (unique) de parents d'élèves du privé (APEL) pour constater rapidement l'hostilité franche des délégués de parents qu'elle nomme à toute objection par rapport à cet enseignement qui est en réalité une préparation à l'ideologie "gender".
L'un d'entre eux ( délégué de parents) m'a carrément dit qu'il ne parlait pas avec des gens comme moi !!!!!!!!!
Bref : circulez, y' a rien à voir ( rétention d'information, engueulade entre quatre yeux, profession de foi des idées du gender, affirmation que "cette sortie était appropriée pour nos enfants au mépris de mon role de première éducatrice de mes filles et à ce titre apte à en juger par moi-même...)
Avis à ceux qui me diraient que mon role de parent est de communiquer d'autres valeurs, etc., encore un mensonge : nous, parents, sommes délégitimé par tout le reste de la société où l'idéologie gender devient la norme, nous sommes bien faibles par rapport au poids des médias, de la culture, de l'Education nationale... on est devenus les têtes de Turc de service.
Ma fille ayant été au cours d'histoire "féministe" d'une prof qui se disait "neutre " ( j'avais déjà posé des questions en début d'année et on m'avait "rassurée"...) est entrée dans une rébellion stérile contre nous, ses parents. Elle n'était pas facile avant. Mais les idées très "gender" de cette enseignante ( j'ai pu me rendre compte en allant lui parler, hélas, et en regardant le cahier de ma fille) ont donné des arguments hostiles à ma fille qui me traite désormais de "femme soumise". Sa sœur en revanche, qui était dans une autre classe et n'a pas eu ce prof, s'est contentée d'une petite crise ado normale tout en suivant vaguement sa jumelle. J'essaie péniblement de regagner l'estime de ma fille, de reconstruire ma relation avec elle et ce n'est pas du tout facile !
Seule une enseignante fervente catholique et responsable de la pastorale m'a entendue, soutenue, comprise et incitée à aller trouver le directeur lui-même.
J'ai rendez-vous ce vendredi et suis bien perplexe.
La sous-directrice ( plutôt féministe elle aussi) sera présente; je suis mal préparée: je ne sais comment composer mon intervention, par où je vais aborder ce sujet. Je me sens comme David face à Goliath ! Car ce n'est pas la première fois que des responsables me consolent avec un discours lénifiant qui s'est avéré après-coup MENSONGER !!!! (Déjà au moment du PACS quand Mme Guigou nous jurait ses grands dieux à l'Assemblée que jamais oh grand jamais le PCS n'ouvrirait à d'autres revendications telles que le mariage gay ou l'adoption des enfants.....à petite échelle, au niveau d'une école, on a le même processus)
Mes questionnements vont d'abord aux critères selon lesquels on peut ou non devenir délégué de parents d'élèves ( une prof d'histoire m'a carrément dit que l'APEL exigeait un "profil" que je n'aurais pas....)
ensuite j'ai ici chez moi un document sur cette fameuse bibliothèque, un power point que j'ai fait et qui la présente dans sa dimension genderiste . J'y montre clairement ce que les usager de base ni les parents n'ont le temps de lire ni de savoir ( j'ai fait des recherches et causé avec des fonctionnaires, copié des titres de livres rayon jeunesse, pris des photos, etc) que je souhaite envoyer à la direction afin qu'ils sachent avec quels partis pris elle travaille et se demandent si l'enseignement catholique peut s'accommoder de ce genre de choses.
Enfin je souhaite avertir du fait que le prétendu enseignement relatif à l'"égalité fille-garçon" ouvre directement au gender, et pourquoi. Alerter sur les enjeux et les moyens d'action du "gender" (au niveau international et ONUsien notamment) et dire pourquoi en tant que parent d'élève je demande transparence et droit de regard sur le contenu de certains cours....
Priez pour moi, pour que j'aille détendue à cet entretien et sache exposer mes idées avec clarté et calme.
priez pour ma famille et moi-même en cette rentrée !
Je m'apprête à une entrevue avec la direction de l'école où vont mes jumelles, officiellement catholique privée mais sous contrat...et depuis le primaire j'ai pu y observer un manque de transparence sur les questions du gender, une diffusion cachée ( masquée) de cette idéologie qui prend la forme de cours d'histoire sur "la condition féminine" ( grossièrement amalgamée avec l'esclavage des Noirs), des sorties "pédagogiques" dans une bibliothèque officiellement déclarée favorable au gender ( pardon....à l'"égalité homme-femmes"!!!!) et soutenue par une assoc' LGBT....tous ces cours de féminisme étant ordonnés par la ministre, Madame Vallaud -Belkacem, dont nous connaissons tous les positions à propos du gender.
Apparemment seule à me questionner et seule à ne pas être dupe, j'ai en vain frappé à la porte de l'assoc (unique) de parents d'élèves du privé (APEL) pour constater rapidement l'hostilité franche des délégués de parents qu'elle nomme à toute objection par rapport à cet enseignement qui est en réalité une préparation à l'ideologie "gender".
L'un d'entre eux ( délégué de parents) m'a carrément dit qu'il ne parlait pas avec des gens comme moi !!!!!!!!!
Bref : circulez, y' a rien à voir ( rétention d'information, engueulade entre quatre yeux, profession de foi des idées du gender, affirmation que "cette sortie était appropriée pour nos enfants au mépris de mon role de première éducatrice de mes filles et à ce titre apte à en juger par moi-même...)
Avis à ceux qui me diraient que mon role de parent est de communiquer d'autres valeurs, etc., encore un mensonge : nous, parents, sommes délégitimé par tout le reste de la société où l'idéologie gender devient la norme, nous sommes bien faibles par rapport au poids des médias, de la culture, de l'Education nationale... on est devenus les têtes de Turc de service.
Ma fille ayant été au cours d'histoire "féministe" d'une prof qui se disait "neutre " ( j'avais déjà posé des questions en début d'année et on m'avait "rassurée"...) est entrée dans une rébellion stérile contre nous, ses parents. Elle n'était pas facile avant. Mais les idées très "gender" de cette enseignante ( j'ai pu me rendre compte en allant lui parler, hélas, et en regardant le cahier de ma fille) ont donné des arguments hostiles à ma fille qui me traite désormais de "femme soumise". Sa sœur en revanche, qui était dans une autre classe et n'a pas eu ce prof, s'est contentée d'une petite crise ado normale tout en suivant vaguement sa jumelle. J'essaie péniblement de regagner l'estime de ma fille, de reconstruire ma relation avec elle et ce n'est pas du tout facile !
Seule une enseignante fervente catholique et responsable de la pastorale m'a entendue, soutenue, comprise et incitée à aller trouver le directeur lui-même.
J'ai rendez-vous ce vendredi et suis bien perplexe.
La sous-directrice ( plutôt féministe elle aussi) sera présente; je suis mal préparée: je ne sais comment composer mon intervention, par où je vais aborder ce sujet. Je me sens comme David face à Goliath ! Car ce n'est pas la première fois que des responsables me consolent avec un discours lénifiant qui s'est avéré après-coup MENSONGER !!!! (Déjà au moment du PACS quand Mme Guigou nous jurait ses grands dieux à l'Assemblée que jamais oh grand jamais le PCS n'ouvrirait à d'autres revendications telles que le mariage gay ou l'adoption des enfants.....à petite échelle, au niveau d'une école, on a le même processus)
Mes questionnements vont d'abord aux critères selon lesquels on peut ou non devenir délégué de parents d'élèves ( une prof d'histoire m'a carrément dit que l'APEL exigeait un "profil" que je n'aurais pas....)
ensuite j'ai ici chez moi un document sur cette fameuse bibliothèque, un power point que j'ai fait et qui la présente dans sa dimension genderiste . J'y montre clairement ce que les usager de base ni les parents n'ont le temps de lire ni de savoir ( j'ai fait des recherches et causé avec des fonctionnaires, copié des titres de livres rayon jeunesse, pris des photos, etc) que je souhaite envoyer à la direction afin qu'ils sachent avec quels partis pris elle travaille et se demandent si l'enseignement catholique peut s'accommoder de ce genre de choses.
Enfin je souhaite avertir du fait que le prétendu enseignement relatif à l'"égalité fille-garçon" ouvre directement au gender, et pourquoi. Alerter sur les enjeux et les moyens d'action du "gender" (au niveau international et ONUsien notamment) et dire pourquoi en tant que parent d'élève je demande transparence et droit de regard sur le contenu de certains cours....
Priez pour moi, pour que j'aille détendue à cet entretien et sache exposer mes idées avec clarté et calme.