(Ne pas effacer) Ma #présentation:
--> Je suis marié, nazir du naziréat perpétuel.
Je suis auteur d’oraisons (discours et paraboles impromptus), poète, dessinateur, peintre, joueur d’échecs et, surtout, guitariste virtuose (interprète des « Souvenirs de l’Alhambra » de Francisco Tárrega, de « Jésus que ma joie demeure » de Jean Sébastien Bach, etc.).
Voici une biographie de ma petite enfance et préadolescence.
Conformément à une prédiction de la prophétie des soixante-dix semaines de Daniel (Daniel 9, 25) : du moment où Néhémie a dit aux Juifs, aux prêtres, aux grands, aux magistrats de revenir et de rebâtir la muraille de Jérusalem, jusqu’à la venue du Oint et Chef Jésus de Nazareth, Dieu qui a pris Chair dans le sein de la Vierge de Dieu, Marie d’Anne et Joachim, il y a eu 483 ans ;
et du moment où Charles Quint a dit aux électeurs, princes et États de mettre par écrit leurs sentiments au sujet des scandales qui troublaient la paix du pays, et d’en délibérer mûrement, afin de ramener l’union et la concorde chrétiennes, jusqu’à la venue d’un oint et chef, le précurseur et le représentant de Dieu (le successeur de saint Pierre), dans le sein de sa mère, il y a eu 483 ans.
Je suis né à Talence.
J’ai vécu certaines semaines de mes premières années chez ma grand-mère maternelle, sur la rive française nord du fleuve Maroni. J’étais heureux car la télévision ou la vision de l’abomination de la désolation, était soumise à la censure du patriarche, et mes nuits étaient sereines car il n’y avait aucune ampoule électrique dans aucune pièce. J’étais alors le lionceau vu par Daniel qui est mon prophète (Daniel 7, 4).
J’ai vu, au dehors, la ville côtière sous-préfecture détruite par l’électrification, comme deux millénaires et demi auparavant, Daniel dont j’ai l’esprit, avait vu depuis une rive du fleuve Oulaï, la destruction du bélier par le bouc mauvais (Daniel 8, 2-7). En effet, l’abomination de la désolation dressait ses premiers lampadaires électriques dans chaque rue, et, par elle, le relâchement des mœurs prospérait. Mes ailes d’ange ont été arrachées.
J’ai suivi le cursus de l’enseignement du Bien et du Mal dans le Val d’Oise ; J’ai été enlevé de ma boue, dressé sur mes pieds en qualité d’« élève doué », comme un homme, avec les seules doctrines de cet enseignement opposé à Dieu, à sa Loi, et un cœur d’homme, une expression écrite sans esprit, m’a été donné, cela jusqu’à un certain temps (Daniel 7, 4).
À Basse-Terre, à l’âge de sept ans j’ai vu dans des visions de nuit, Satan, la quatrième bête, sur le palier de ma chambre. Ma mère qui était quasi sans amour m’a terrifié pour faire cesser mes énurésies que Satan causait, mon père m’a battu sans arrêt après que j’avais fait taire sa chaine dite « hi-fi », c.-à-d. les sons et les voix de Satan (Daniel 2, Apocalypse 13, 13-15).
La Montagne Pelée, à cause de Satan, a eu des irruptions effrayantes obligeant l’exode des habitants de la Basse-Terre vers la Grande-Terre. Satan a provoqué beaucoup d’autres effrois, notamment par le visionnage d’un film, puis dans la piscine municipale de Basse-Terre, mais encore lors d’exercices d’Aïkido, par des violences dans un club de Judo, lors de matchs d’un club de Rugby.
Dans ma dixième année, une conférence tenue dans un hôtel de luxe en bord de mer, Le Hamack, près de la pointe des Châteaux, entre quatre dirigeants de quatre puissances occidentales (États-Unis, Royaume-Uni, France et Allemagne de l'Ouest), a déployé une force militaire extraordinaire (Daniel 7, 7 la quatrième bête, terrible, effrayante et extraordinairement forte).
--> Je suis marié, nazir du naziréat perpétuel.
Je suis auteur d’oraisons (discours et paraboles impromptus), poète, dessinateur, peintre, joueur d’échecs et, surtout, guitariste virtuose (interprète des « Souvenirs de l’Alhambra » de Francisco Tárrega, de « Jésus que ma joie demeure » de Jean Sébastien Bach, etc.).
Voici une biographie de ma petite enfance et préadolescence.
Conformément à une prédiction de la prophétie des soixante-dix semaines de Daniel (Daniel 9, 25) : du moment où Néhémie a dit aux Juifs, aux prêtres, aux grands, aux magistrats de revenir et de rebâtir la muraille de Jérusalem, jusqu’à la venue du Oint et Chef Jésus de Nazareth, Dieu qui a pris Chair dans le sein de la Vierge de Dieu, Marie d’Anne et Joachim, il y a eu 483 ans ;
et du moment où Charles Quint a dit aux électeurs, princes et États de mettre par écrit leurs sentiments au sujet des scandales qui troublaient la paix du pays, et d’en délibérer mûrement, afin de ramener l’union et la concorde chrétiennes, jusqu’à la venue d’un oint et chef, le précurseur et le représentant de Dieu (le successeur de saint Pierre), dans le sein de sa mère, il y a eu 483 ans.
Je suis né à Talence.
J’ai vécu certaines semaines de mes premières années chez ma grand-mère maternelle, sur la rive française nord du fleuve Maroni. J’étais heureux car la télévision ou la vision de l’abomination de la désolation, était soumise à la censure du patriarche, et mes nuits étaient sereines car il n’y avait aucune ampoule électrique dans aucune pièce. J’étais alors le lionceau vu par Daniel qui est mon prophète (Daniel 7, 4).
J’ai vu, au dehors, la ville côtière sous-préfecture détruite par l’électrification, comme deux millénaires et demi auparavant, Daniel dont j’ai l’esprit, avait vu depuis une rive du fleuve Oulaï, la destruction du bélier par le bouc mauvais (Daniel 8, 2-7). En effet, l’abomination de la désolation dressait ses premiers lampadaires électriques dans chaque rue, et, par elle, le relâchement des mœurs prospérait. Mes ailes d’ange ont été arrachées.
J’ai suivi le cursus de l’enseignement du Bien et du Mal dans le Val d’Oise ; J’ai été enlevé de ma boue, dressé sur mes pieds en qualité d’« élève doué », comme un homme, avec les seules doctrines de cet enseignement opposé à Dieu, à sa Loi, et un cœur d’homme, une expression écrite sans esprit, m’a été donné, cela jusqu’à un certain temps (Daniel 7, 4).
À Basse-Terre, à l’âge de sept ans j’ai vu dans des visions de nuit, Satan, la quatrième bête, sur le palier de ma chambre. Ma mère qui était quasi sans amour m’a terrifié pour faire cesser mes énurésies que Satan causait, mon père m’a battu sans arrêt après que j’avais fait taire sa chaine dite « hi-fi », c.-à-d. les sons et les voix de Satan (Daniel 2, Apocalypse 13, 13-15).
La Montagne Pelée, à cause de Satan, a eu des irruptions effrayantes obligeant l’exode des habitants de la Basse-Terre vers la Grande-Terre. Satan a provoqué beaucoup d’autres effrois, notamment par le visionnage d’un film, puis dans la piscine municipale de Basse-Terre, mais encore lors d’exercices d’Aïkido, par des violences dans un club de Judo, lors de matchs d’un club de Rugby.
Dans ma dixième année, une conférence tenue dans un hôtel de luxe en bord de mer, Le Hamack, près de la pointe des Châteaux, entre quatre dirigeants de quatre puissances occidentales (États-Unis, Royaume-Uni, France et Allemagne de l'Ouest), a déployé une force militaire extraordinaire (Daniel 7, 7 la quatrième bête, terrible, effrayante et extraordinairement forte).