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" Méditations sur les textes du Jour "
Manuela- Messages : 300
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- Message n°121
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Maud- Messages : 9656
Date d'inscription : 20/01/2016
Localisation : France
Saint intercesseur : Sainte Vierge Marie , Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face , Sainte Thérèse d' Avila
- Message n°122
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 8 Mars 2016
« Veux-tu être guéri ? »
Evangile selon St Jean 5, 1-16
Après cela, il y eut une fête juive, et Jésus monta à Jérusalem.
Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents.
Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans. Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? »
Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne ; et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »
Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
Et aussitôt l’homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pieds : « C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
Il leur répliqua : « Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !” » Ils l’interrogèrent : « Quel est l’homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? » Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c’était ; en effet, Jésus s’était éloigné, car il y avait foule à cet endroit.
Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire. » L’homme partit annoncer aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri. Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
Prière d'introduction
Je me pose et je permets à mon esprit de se tourner vers Dieu. Je décide de lui dédier mon temps. Il m’a choisi parmi tous les hommes pour que je le connaisse, je l’aime, pour que je trouve en lui mon appui. Il a lui aussi besoin de ma participation. Il a besoin que je me rende disponible à lui pour se donner à moi.
Demande
Remettons à Dieu tout ce que nous avons, tout ce qui nous est donné sans effort humain et qui nous soutient dans la vie. Pensons tout simplement à cette journée qui commence ou qui s’écoule et remercions ce que nous recevons de lui : la vie, la joie, le jour et la nuit avec ce qu’ils nous apportent de beau (le repos, la nouveauté, l’espoir de chaque jour), les personnes qui nous entourent, les projets que nous avons entre nos mains. Oui, tout cela est une manifestation de son amour, de sa présence à mes côtés.
Points de réflexion
1.Voilà une Parole bien étonnante.
Jésus est à Jérusalem et se dirige vers la piscine de Bethzatha, lieu d’ancien culte aux dieux païens.
On ne sait pas pourquoi Jésus va vers cette piscine. Et en écoutant la suite du passage, on ne peut qu’être surpris par cette rencontre.
Il y a un mystère autour du choix de Jésus envers cet homme malade et de la réponse de l’homme guéri.
Parmi d’autres malades, Jésus s’adresse à un homme paralysé depuis 38 ans.
Il voit sa situation et sans attendre une demande explicite de sa part ou un acte de foi, Jésus s’adresse à lui :
« Veux-tu être guéri ? »
À aucun moment le paralysé demande à Jésus d’être guéri.
Mais Jésus l’a choisi. Pourquoi ? Nous ne le savons pas. Et Jésus lui dit :
« Lève-toi, prends ton brancard et marche ».
C’est ce que fait l’homme.
Et il part.
2. Mais l’homme guéri ne s’intéresse pas à Jésus !
Il ne sait pas qui l’a guéri, il ne peut pas expliquer aux juifs qui est cette personne qui l’a guéri.
N’est-ce pas étonnant ?
S’il ne connaît même pas l’apparence de celui qui l’a guéri, c’est qu’il ne s’y est même pas intéressé.
Il ne voulait que la guérison.
Et une fois qu’il l’a, il part. Il ne cherche pas à remercier, il ne prend pas le temps ou n’a même pas la curiosité de savoir qui il est.
3. Et encore une fois, c’est Jésus qui vient le chercher et qui se déplace vers lui.
Il désire être connu et surtout il voudrait appeler cet homme à aller plus loin, à rejeter le péché.
Mais à nouveau la réponse de cet homme est surprenante.
L’Évangile nous dit juste qu’il va dire aux juifs que c’est Jésus qui l’a guéri…
Accueille-t-il cet appel à la conversion ?
Le reconnaît-il comme le Messie ?
Tout ceci reste bien caché.
Nous ne connaissons rien de la réponse de cette âme à ce choix de Dieu.
Dialogue avec le Christ
Qu’est-ce que cela éveille en toi ? Est-ce possible que nous soyons si ingrats, et non reconnaissants de ce que Dieu nous donne chaque jour ? Mais l’amour de Dieu est miséricordieux, il n’attend pas de réponse. Soyons même reconnaissants vis-à-vis de ce choix qu’il a fait pour nous. Et soyons nous aussi miséricordieux. Donnons gratuitement notre temps et nos personnes à l’exemple de Jésus.
Résolution
Essaie de garder dans ton cœur pendant cette journée une profonde attitude de gratitude.
SOURCE : Catholique.org
" Prends ton brancard et marche "
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 8 Mars 2016
« Veux-tu être guéri ? »
Evangile selon St Jean 5, 1-16
Après cela, il y eut une fête juive, et Jésus monta à Jérusalem.
Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents.
Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans. Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? »
Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne ; et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »
Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
Et aussitôt l’homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pieds : « C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
Il leur répliqua : « Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !” » Ils l’interrogèrent : « Quel est l’homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? » Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c’était ; en effet, Jésus s’était éloigné, car il y avait foule à cet endroit.
Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire. » L’homme partit annoncer aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri. Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
Prière d'introduction
Je me pose et je permets à mon esprit de se tourner vers Dieu. Je décide de lui dédier mon temps. Il m’a choisi parmi tous les hommes pour que je le connaisse, je l’aime, pour que je trouve en lui mon appui. Il a lui aussi besoin de ma participation. Il a besoin que je me rende disponible à lui pour se donner à moi.
Demande
Remettons à Dieu tout ce que nous avons, tout ce qui nous est donné sans effort humain et qui nous soutient dans la vie. Pensons tout simplement à cette journée qui commence ou qui s’écoule et remercions ce que nous recevons de lui : la vie, la joie, le jour et la nuit avec ce qu’ils nous apportent de beau (le repos, la nouveauté, l’espoir de chaque jour), les personnes qui nous entourent, les projets que nous avons entre nos mains. Oui, tout cela est une manifestation de son amour, de sa présence à mes côtés.
Points de réflexion
1.Voilà une Parole bien étonnante.
Jésus est à Jérusalem et se dirige vers la piscine de Bethzatha, lieu d’ancien culte aux dieux païens.
On ne sait pas pourquoi Jésus va vers cette piscine. Et en écoutant la suite du passage, on ne peut qu’être surpris par cette rencontre.
Il y a un mystère autour du choix de Jésus envers cet homme malade et de la réponse de l’homme guéri.
Parmi d’autres malades, Jésus s’adresse à un homme paralysé depuis 38 ans.
Il voit sa situation et sans attendre une demande explicite de sa part ou un acte de foi, Jésus s’adresse à lui :
« Veux-tu être guéri ? »
À aucun moment le paralysé demande à Jésus d’être guéri.
Mais Jésus l’a choisi. Pourquoi ? Nous ne le savons pas. Et Jésus lui dit :
« Lève-toi, prends ton brancard et marche ».
C’est ce que fait l’homme.
Et il part.
2. Mais l’homme guéri ne s’intéresse pas à Jésus !
Il ne sait pas qui l’a guéri, il ne peut pas expliquer aux juifs qui est cette personne qui l’a guéri.
N’est-ce pas étonnant ?
S’il ne connaît même pas l’apparence de celui qui l’a guéri, c’est qu’il ne s’y est même pas intéressé.
Il ne voulait que la guérison.
Et une fois qu’il l’a, il part. Il ne cherche pas à remercier, il ne prend pas le temps ou n’a même pas la curiosité de savoir qui il est.
3. Et encore une fois, c’est Jésus qui vient le chercher et qui se déplace vers lui.
Il désire être connu et surtout il voudrait appeler cet homme à aller plus loin, à rejeter le péché.
Mais à nouveau la réponse de cet homme est surprenante.
L’Évangile nous dit juste qu’il va dire aux juifs que c’est Jésus qui l’a guéri…
Accueille-t-il cet appel à la conversion ?
Le reconnaît-il comme le Messie ?
Tout ceci reste bien caché.
Nous ne connaissons rien de la réponse de cette âme à ce choix de Dieu.
Dialogue avec le Christ
Qu’est-ce que cela éveille en toi ? Est-ce possible que nous soyons si ingrats, et non reconnaissants de ce que Dieu nous donne chaque jour ? Mais l’amour de Dieu est miséricordieux, il n’attend pas de réponse. Soyons même reconnaissants vis-à-vis de ce choix qu’il a fait pour nous. Et soyons nous aussi miséricordieux. Donnons gratuitement notre temps et nos personnes à l’exemple de Jésus.
Résolution
Essaie de garder dans ton cœur pendant cette journée une profonde attitude de gratitude.
SOURCE : Catholique.org
" Prends ton brancard et marche "
Invité- Invité
- Message n°123
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonsoir Maud
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Mercredi 9 Mars 2016
Sainte Françoise Romaine, Religieuse
4ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=09/03/2016
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Mercredi 9 Mars 2016
Sainte Françoise Romaine, Religieuse
4ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
(Première lecture)
Livre du Prophète Isaïe 49 : 8 à 15
« Je t’ai établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR :
Au temps favorable, Je t’ai exaucé,
au jour du salut, Je t’ai secouru.
Je t’ai façonné, établi,
pour que tu sois l’alliance du peuple,
pour relever le pays,
restituer les héritages dévastés
et dire aux prisonniers : « Sortez » !
aux captifs des ténèbres : « Montrez-vous » !
Au long des routes, ils pourront paître ;
sur les hauteurs dénudées seront leurs pâturages.
Ils n’auront ni faim ni soif ;
le vent brûlant et le Soleil ne les frapperont plus.
Lui, plein de compassion, les guidera,
les conduira vers les eaux vives.
De toutes mes montagnes, Je ferai un chemin,
et Ma ROUTE sera rehaussée.
Les voici : ils viennent de loin,
les uns du nord et du couchant,
les autres des terres du sud.
Cieux, criez de joie ! Terre, exulte !
Montagnes, éclatez en cris de joie !
Car le SEIGNEUR console Son Peuple ;
de ses pauvres, IL a compassion.
Jérusalem disait :
« Le SEIGNEUR m’a abandonnée,
mon SEIGNEUR m’a oubliée. »
Une femme peut-elle oublier son nourrisson,
ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ?
Même si elle l’oubliait,
Moi, Je ne t’oublierai pas.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre du Prophète Isaïe 49 : 8 à 15
« Je t’ai établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR :
Au temps favorable, Je t’ai exaucé,
au jour du salut, Je t’ai secouru.
Je t’ai façonné, établi,
pour que tu sois l’alliance du peuple,
pour relever le pays,
restituer les héritages dévastés
et dire aux prisonniers : « Sortez » !
aux captifs des ténèbres : « Montrez-vous » !
Au long des routes, ils pourront paître ;
sur les hauteurs dénudées seront leurs pâturages.
Ils n’auront ni faim ni soif ;
le vent brûlant et le Soleil ne les frapperont plus.
Lui, plein de compassion, les guidera,
les conduira vers les eaux vives.
De toutes mes montagnes, Je ferai un chemin,
et Ma ROUTE sera rehaussée.
Les voici : ils viennent de loin,
les uns du nord et du couchant,
les autres des terres du sud.
Cieux, criez de joie ! Terre, exulte !
Montagnes, éclatez en cris de joie !
Car le SEIGNEUR console Son Peuple ;
de ses pauvres, IL a compassion.
Jérusalem disait :
« Le SEIGNEUR m’a abandonnée,
mon SEIGNEUR m’a oubliée. »
Une femme peut-elle oublier son nourrisson,
ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ?
Même si elle l’oubliait,
Moi, Je ne t’oublierai pas.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
TON RÈGNE EST UN RÈGNE ÉTERNEL
Chant de louange appartenant au recueil de David.
[Psaume 144 (145) ; entièrement]
[Psaume 144 (145) ; entièrement]
Psaume 144 (145) : 8 et 9, 13cd et 14, 17 et 18
R/ Le SEIGNEUR est TENDRESSE et PITIÉ,
lent à la colère et PLEIN D’AMOUR.
Le SEIGNEUR est TENDRESSE et PITIÉ,
lent à la colère et PLEIN D’AMOUR ;
la BONTÉ du SEIGNEUR est pour tous,
SA TENDRESSE, pour toutes SES ŒUVRES.
R/
Le SEIGNEUR EST VRAI en tout ce qu’IL dit,
FIDÈLE en tout ce qu’IL fait.
Le SEIGNEUR soutient tous ceux qui tombent,
IL redresse tous les accablés.
R/
Le SEIGNEUR EST JUSTE en toutes SES VOIES,
FIDÈLE en tout ce qu’IL fait.
IL est proche de ceux qui L’invoquent,
de tous ceux qui L’invoquent en VÉRITÉ.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
lent à la colère et PLEIN D’AMOUR.
Le SEIGNEUR est TENDRESSE et PITIÉ,
lent à la colère et PLEIN D’AMOUR ;
la BONTÉ du SEIGNEUR est pour tous,
SA TENDRESSE, pour toutes SES ŒUVRES.
R/
Le SEIGNEUR EST VRAI en tout ce qu’IL dit,
FIDÈLE en tout ce qu’IL fait.
Le SEIGNEUR soutient tous ceux qui tombent,
IL redresse tous les accablés.
R/
Le SEIGNEUR EST JUSTE en toutes SES VOIES,
FIDÈLE en tout ce qu’IL fait.
IL est proche de ceux qui L’invoquent,
de tous ceux qui L’invoquent en VÉRITÉ.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 5 : 17 à 30
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ !
Moi, JE SUIS LA RÉSURRECTION ET LA VIE, dit le SEIGNEUR. Celui qui croit en Moi ne mourra jamais.
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ !
(cf. Jn 11, 25a.26)
« Comme le PÈRE relève les morts et les fait vivre, ainsi le FILS fait vivre qui IL veut »
En ce temps-là,
après avoir guéri le paralysé un jour de sabbat,
JÉSUS déclara aux Juifs :
« Mon PÈRE est toujours à l’ŒUVRE,
et Moi aussi, Je suis à l’ŒUVRE. »
C’est pourquoi, de plus en plus,
les Juifs cherchaient à LE tuer,
car non seulement IL ne respectait pas le sabbat,
mais encore IL disait que DIEU était SON PROPRE PÈRE,
et IL se faisait ainsi l’Égal de DIEU.
JÉSUS reprit donc la parole. IL leur déclarait :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
le FILS ne peut rien faire de LUI-MÊME,
IL fait seulement ce qu’IL voit faire par le PÈRE ;
ce que fait CELUI-CI,
le FILS le fait PAREILLEMENT.
Car le PÈRE aime le FILS
et LUI montre tout ce qu’IL fait.
IL LUI montrera des ŒUVRES PLUS GRANDES ENCORE,
si bien que vous serez dans l’étonnement.
Comme le PÈRE, en effet, relève les morts
et les fait vivre,
ainsi le FILS, LUI aussi, fait vivre qui IL veut.
Car le PÈRE ne juge personne :
IL a donné au FILS tout pouvoir pour juger,
afin que tous honorent le FILS comme ils honorent le PÈRE.
Celui qui ne rend pas honneur au FILS
ne rend pas non plus honneur au PÈRE, qui L’a envoyé.
AMEN, AMEN, Je vous le dis :
qui écoute MA PAROLE
et croit en CELUI qui M’a envoyé,
obtient la VIE ÉTERNELLE
et il échappe au jugement,
car déjà il passe de la mort à la vie.
AMEN, AMEN, Je vous le dis :
l’heure vient – et c’est maintenant –
où les morts entendront la VOIX DU FILS DE DIEU,
et ceux qui l’auront entendue vivront.
Comme le PÈRE, en effet, a la VIE EN LUI-MÊME,
ainsi a-t-IL donné au FILS d’avoir, LUI aussi, la VIE EN LUI-MÊME ;
et IL LUI a donné pouvoir d’exercer le jugement,
parce qu’IL est le FILS de l’Homme.
Ne soyez pas étonnés ;
l’heure vient
où tous ceux qui sont dans les tombeaux
entendront SA VOIX ;
alors, ceux qui ont fait le bien sortiront
pour ressusciter et vivre,
ceux qui ont fait le mal,
pour ressusciter et être jugés.
Moi, Je ne peux rien faire de MOI-MÊME ;
Je rends Mon JUGEMENT d’après ce que J’entends,
et Mon JUGEMENT EST JUSTE,
parce que Je ne cherche pas à faire Ma Volonté,
mais la VOLONTÉ de CELUI qui M’a envoyé. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ !
Moi, JE SUIS LA RÉSURRECTION ET LA VIE, dit le SEIGNEUR. Celui qui croit en Moi ne mourra jamais.
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR, HONNEUR, PUISSANCE ET MAJESTÉ !
(cf. Jn 11, 25a.26)
« Comme le PÈRE relève les morts et les fait vivre, ainsi le FILS fait vivre qui IL veut »
En ce temps-là,
après avoir guéri le paralysé un jour de sabbat,
JÉSUS déclara aux Juifs :
« Mon PÈRE est toujours à l’ŒUVRE,
et Moi aussi, Je suis à l’ŒUVRE. »
C’est pourquoi, de plus en plus,
les Juifs cherchaient à LE tuer,
car non seulement IL ne respectait pas le sabbat,
mais encore IL disait que DIEU était SON PROPRE PÈRE,
et IL se faisait ainsi l’Égal de DIEU.
JÉSUS reprit donc la parole. IL leur déclarait :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
le FILS ne peut rien faire de LUI-MÊME,
IL fait seulement ce qu’IL voit faire par le PÈRE ;
ce que fait CELUI-CI,
le FILS le fait PAREILLEMENT.
Car le PÈRE aime le FILS
et LUI montre tout ce qu’IL fait.
IL LUI montrera des ŒUVRES PLUS GRANDES ENCORE,
si bien que vous serez dans l’étonnement.
Comme le PÈRE, en effet, relève les morts
et les fait vivre,
ainsi le FILS, LUI aussi, fait vivre qui IL veut.
Car le PÈRE ne juge personne :
IL a donné au FILS tout pouvoir pour juger,
afin que tous honorent le FILS comme ils honorent le PÈRE.
Celui qui ne rend pas honneur au FILS
ne rend pas non plus honneur au PÈRE, qui L’a envoyé.
AMEN, AMEN, Je vous le dis :
qui écoute MA PAROLE
et croit en CELUI qui M’a envoyé,
obtient la VIE ÉTERNELLE
et il échappe au jugement,
car déjà il passe de la mort à la vie.
AMEN, AMEN, Je vous le dis :
l’heure vient – et c’est maintenant –
où les morts entendront la VOIX DU FILS DE DIEU,
et ceux qui l’auront entendue vivront.
Comme le PÈRE, en effet, a la VIE EN LUI-MÊME,
ainsi a-t-IL donné au FILS d’avoir, LUI aussi, la VIE EN LUI-MÊME ;
et IL LUI a donné pouvoir d’exercer le jugement,
parce qu’IL est le FILS de l’Homme.
Ne soyez pas étonnés ;
l’heure vient
où tous ceux qui sont dans les tombeaux
entendront SA VOIX ;
alors, ceux qui ont fait le bien sortiront
pour ressusciter et vivre,
ceux qui ont fait le mal,
pour ressusciter et être jugés.
Moi, Je ne peux rien faire de MOI-MÊME ;
Je rends Mon JUGEMENT d’après ce que J’entends,
et Mon JUGEMENT EST JUSTE,
parce que Je ne cherche pas à faire Ma Volonté,
mais la VOLONTÉ de CELUI qui M’a envoyé. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile + commentaire (audio)
Écouté sur :
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Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
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Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mercredi 9 Mars 2016
La relation filiale de Jésus avec son Père
Evangile selon St Jean 5, 17-30
Jésus leur déclara : « Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre. » C’est pourquoi, de plus en plus, les Juifs cherchaient à le tuer, car non seulement il ne respectait pas le sabbat, mais encore il disait que Dieu était son propre Père, et il se faisait ainsi l’égal de Dieu.
Jésus reprit donc la parole. Il leur déclarait : « Amen, amen, je vous le dis : le Fils ne peut rien faire de lui-même, il fait seulement ce qu’il voit faire par le Père ; ce que fait celui-ci, le Fils le fait pareillement. Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu’il fait. Il lui montrera des œuvres plus grandes encore, si bien que vous serez dans l’étonnement.
Comme le Père, en effet, relève les morts et les fait vivre, ainsi le Fils, lui aussi, fait vivre qui il veut. Car le Père ne juge personne : il a donné au Fils tout pouvoir pour juger, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui ne rend pas honneur au Fils ne rend pas non plus honneur au Père, qui l’a envoyé.
Amen, amen, je vous le dis : qui écoute ma parole et croit en Celui qui m’a envoyé, obtient la vie éternelle et il échappe au jugement, car déjà il passe de la mort à la vie.
Amen, amen, je vous le dis : l’heure vient – et c’est maintenant – où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l’auront entendue vivront.
Comme le Père, en effet, a la vie en lui-même, ainsi a-t-il donné au Fils d’avoir, lui aussi, la vie en lui-même ; et il lui a donné pouvoir d’exercer le jugement, parce qu’il est le Fils de l’homme.
Ne soyez pas étonnés ; l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront sa voix ; alors, ceux qui ont fait le bien sortiront pour ressusciter et vivre, ceux qui ont fait le mal, pour ressusciter et être jugés. Moi, je ne peux rien faire de moi-même ; je rends mon jugement d’après ce que j’entends, et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas à faire ma volonté, mais la volonté de Celui qui m’a envoyé.
Prière d'introduction
« Si c’est par la foi que te trouvent ceux qui se réfugient auprès de toi, Seigneur, donne-moi la foi. Si c’est par la force, donne-moi la force. Si c’est par la science, donne-moi la science. Augmente en moi la foi, augmente l’espérance, augmente l’amour (…). C’est vers toi que je suis en route : les moyens d’arriver jusqu’à toi, voilà ce que je te demande encore une fois
(…). Apprends-moi, Seigneur, à te chercher. Délivre-moi de l’erreur. Que, te cherchant, je ne rencontre rien d’autre que toi. S’il est vrai que je ne désire rien d’autre que toi, donne-moi, Père, de te trouver. S’il existe en moi d’autres désirs, de vaines attentes, purifie-moi et rends-moi ainsi capable de te voir » (Saint Augustin, Soliloques L 1, 5-6).
Demande
Choisissez l’une des phrases de la prière qui vous a touchée et redites-la doucement.
Points de réflexion
1.Dimanche à la messe, nous avons écouté la parabole du fils prodigue.
Cette Parole a marqué notre semaine en nous rappelant que nous sommes fils dans le Fils et que Dieu est un Père d’amour et de miséricorde. Aujourd’hui la liturgie nous présente un passage de l’Évangile de Jean.
Dans son Évangile, Jean veut prouver que Jésus est le Fils de Dieu, qu’il est un avec le Père et qu’ainsi lui-même est Dieu aussi.
Nous pouvons tirer de ce passage quelques traits de la relation filiale de Jésus avec son Père et nous pouvons apprendre à notre tour à être fils/filles.
« Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre ».
L ’œuvre du Père est l’œuvre du salut. Il l’avait commencée depuis la chute du péché originel avec la promesse d’un rédempteur.
Il l’avait continuée en formant le peuple d’Israël. Jésus était venu pour l’accomplir avec sa Passion et sa Résurrection.
Et maintenant cette œuvre est toujours d’actualité par l’Église.
L’œuvre du salut est une œuvre d’amour. Dieu ne cesse pas d’agir parce qu’il ne cesse pas d’aimer.
Tout ce qu’il fait, c’est par amour. Jésus est l’amour de Dieu en personne.
Pendant toute sa vie il n’a fait qu’aimer, et il nous a laissé dans l’Eucharistie l’une des plus grandes preuves de son amour qui se prolonge dans les siècles.
2. « Le Fils ne peut rien faire de lui-même, il fait seulement ce qu’il voit faire par le Père ».
L’homme est né complètement dépendant d’un autre.
Petit bébé, il a besoin de sa mère, sinon il meurt.
Jésus choisit cette dépendance totale dans sa relation avec le Père. Il ne peut et ne veut rien faire de lui-même.
D’un autre côté les enfants agissent selon ce qu’ils voient de leurs parents.
Pour cela Jésus choisit de vivre dans l’imitation.
Il est ainsi le reflet parfait du Père et il nous montre son visage. Il nous invite à devenir nous aussi comme le Père : « Soyez donc saints comme votre Père céleste est saint » (Mt 5, 48).
3. « Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu’il fait ».
Entre Jésus et son Père il n’y a rien à cacher. Tous les deux sont vrais, ils se connaissent et s’aiment.
Personne ne peut aimer ce qu’il ne connaît pas. Dieu s’est révélé à nous, il nous appelle ses amis ; Jésus le dit lors de la dernière Cène :
« Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père » (Jn 15, 15).
N’ayons pas peur d’ouvrir nos cœurs à Dieu et de nous laisser connaître ; nous ne trouverons qu’amour.
4. « Que je ne cherche pas à faire ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé ».
Jésus avait un seul désir : faire la volonté de son Père.
Quand on aime on veut rendre l’autre heureux, on veut faire ce qui lui plaît. L’obéissance de Jésus est faite d’un grand amour et de confiance.
Il sait que la volonté du Père est un dessein de bonheur et de salut.
Dialogue avec le Christ
Seigneur Jésus, merci pour ce moment passé avec toi ; merci de m’apprendre à être fils. Mène-moi vers le Père, éloigne de moi mes peurs et fais grandir ma confiance. Je veux avec toi dire la prière que tu nous as apprise en faisant mienne chaque mot. Dites simplement un Notre Père comme un vrai dialogue avec Dieu. Goûtez les paroles et laissez-le entrer dans votre cœur.
Résolution
Chaque fois que je prierai le Notre Père, je le ferai avec plus de conscience ; j’essaierai de faire miennes les paroles de cette prière.
SOURCE : Catholique.org
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mercredi 9 Mars 2016
La relation filiale de Jésus avec son Père
Evangile selon St Jean 5, 17-30
Jésus leur déclara : « Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre. » C’est pourquoi, de plus en plus, les Juifs cherchaient à le tuer, car non seulement il ne respectait pas le sabbat, mais encore il disait que Dieu était son propre Père, et il se faisait ainsi l’égal de Dieu.
Jésus reprit donc la parole. Il leur déclarait : « Amen, amen, je vous le dis : le Fils ne peut rien faire de lui-même, il fait seulement ce qu’il voit faire par le Père ; ce que fait celui-ci, le Fils le fait pareillement. Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu’il fait. Il lui montrera des œuvres plus grandes encore, si bien que vous serez dans l’étonnement.
Comme le Père, en effet, relève les morts et les fait vivre, ainsi le Fils, lui aussi, fait vivre qui il veut. Car le Père ne juge personne : il a donné au Fils tout pouvoir pour juger, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui ne rend pas honneur au Fils ne rend pas non plus honneur au Père, qui l’a envoyé.
Amen, amen, je vous le dis : qui écoute ma parole et croit en Celui qui m’a envoyé, obtient la vie éternelle et il échappe au jugement, car déjà il passe de la mort à la vie.
Amen, amen, je vous le dis : l’heure vient – et c’est maintenant – où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l’auront entendue vivront.
Comme le Père, en effet, a la vie en lui-même, ainsi a-t-il donné au Fils d’avoir, lui aussi, la vie en lui-même ; et il lui a donné pouvoir d’exercer le jugement, parce qu’il est le Fils de l’homme.
Ne soyez pas étonnés ; l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront sa voix ; alors, ceux qui ont fait le bien sortiront pour ressusciter et vivre, ceux qui ont fait le mal, pour ressusciter et être jugés. Moi, je ne peux rien faire de moi-même ; je rends mon jugement d’après ce que j’entends, et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas à faire ma volonté, mais la volonté de Celui qui m’a envoyé.
Prière d'introduction
« Si c’est par la foi que te trouvent ceux qui se réfugient auprès de toi, Seigneur, donne-moi la foi. Si c’est par la force, donne-moi la force. Si c’est par la science, donne-moi la science. Augmente en moi la foi, augmente l’espérance, augmente l’amour (…). C’est vers toi que je suis en route : les moyens d’arriver jusqu’à toi, voilà ce que je te demande encore une fois
(…). Apprends-moi, Seigneur, à te chercher. Délivre-moi de l’erreur. Que, te cherchant, je ne rencontre rien d’autre que toi. S’il est vrai que je ne désire rien d’autre que toi, donne-moi, Père, de te trouver. S’il existe en moi d’autres désirs, de vaines attentes, purifie-moi et rends-moi ainsi capable de te voir » (Saint Augustin, Soliloques L 1, 5-6).
Demande
Choisissez l’une des phrases de la prière qui vous a touchée et redites-la doucement.
Points de réflexion
1.Dimanche à la messe, nous avons écouté la parabole du fils prodigue.
Cette Parole a marqué notre semaine en nous rappelant que nous sommes fils dans le Fils et que Dieu est un Père d’amour et de miséricorde. Aujourd’hui la liturgie nous présente un passage de l’Évangile de Jean.
Dans son Évangile, Jean veut prouver que Jésus est le Fils de Dieu, qu’il est un avec le Père et qu’ainsi lui-même est Dieu aussi.
Nous pouvons tirer de ce passage quelques traits de la relation filiale de Jésus avec son Père et nous pouvons apprendre à notre tour à être fils/filles.
« Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre ».
L ’œuvre du Père est l’œuvre du salut. Il l’avait commencée depuis la chute du péché originel avec la promesse d’un rédempteur.
Il l’avait continuée en formant le peuple d’Israël. Jésus était venu pour l’accomplir avec sa Passion et sa Résurrection.
Et maintenant cette œuvre est toujours d’actualité par l’Église.
L’œuvre du salut est une œuvre d’amour. Dieu ne cesse pas d’agir parce qu’il ne cesse pas d’aimer.
Tout ce qu’il fait, c’est par amour. Jésus est l’amour de Dieu en personne.
Pendant toute sa vie il n’a fait qu’aimer, et il nous a laissé dans l’Eucharistie l’une des plus grandes preuves de son amour qui se prolonge dans les siècles.
2. « Le Fils ne peut rien faire de lui-même, il fait seulement ce qu’il voit faire par le Père ».
L’homme est né complètement dépendant d’un autre.
Petit bébé, il a besoin de sa mère, sinon il meurt.
Jésus choisit cette dépendance totale dans sa relation avec le Père. Il ne peut et ne veut rien faire de lui-même.
D’un autre côté les enfants agissent selon ce qu’ils voient de leurs parents.
Pour cela Jésus choisit de vivre dans l’imitation.
Il est ainsi le reflet parfait du Père et il nous montre son visage. Il nous invite à devenir nous aussi comme le Père : « Soyez donc saints comme votre Père céleste est saint » (Mt 5, 48).
3. « Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu’il fait ».
Entre Jésus et son Père il n’y a rien à cacher. Tous les deux sont vrais, ils se connaissent et s’aiment.
Personne ne peut aimer ce qu’il ne connaît pas. Dieu s’est révélé à nous, il nous appelle ses amis ; Jésus le dit lors de la dernière Cène :
« Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père » (Jn 15, 15).
N’ayons pas peur d’ouvrir nos cœurs à Dieu et de nous laisser connaître ; nous ne trouverons qu’amour.
4. « Que je ne cherche pas à faire ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé ».
Jésus avait un seul désir : faire la volonté de son Père.
Quand on aime on veut rendre l’autre heureux, on veut faire ce qui lui plaît. L’obéissance de Jésus est faite d’un grand amour et de confiance.
Il sait que la volonté du Père est un dessein de bonheur et de salut.
Dialogue avec le Christ
Seigneur Jésus, merci pour ce moment passé avec toi ; merci de m’apprendre à être fils. Mène-moi vers le Père, éloigne de moi mes peurs et fais grandir ma confiance. Je veux avec toi dire la prière que tu nous as apprise en faisant mienne chaque mot. Dites simplement un Notre Père comme un vrai dialogue avec Dieu. Goûtez les paroles et laissez-le entrer dans votre cœur.
Résolution
Chaque fois que je prierai le Notre Père, je le ferai avec plus de conscience ; j’essaierai de faire miennes les paroles de cette prière.
SOURCE : Catholique.org
Manuela- Messages : 300
Date d'inscription : 15/02/2016
- Message n°126
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Maud- Messages : 9656
Date d'inscription : 20/01/2016
Localisation : France
Saint intercesseur : Sainte Vierge Marie , Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face , Sainte Thérèse d' Avila
- Message n°127
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
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Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 10Mars 2016
Source miséricordieuse de gloire
Evangile selon St Jean 5, 31-47
Jésus disait aux Juifs :
« Si je me rendais ce témoignage à moi-même, mon témoignage ne serait pas vrai ; il y a quelqu'un d'autre qui me rend témoignage, et je sais que le témoignage qu'il me rend est vrai.
Vous avez envoyé une délégation auprès de Jean Baptiste, et il a rendu témoignage à la vérité.
Moi, je n'ai pas à recevoir le témoignage d'un homme, mais je parle ainsi pour que vous soyez sauvés.
Jean était la lampe qui brûle et qui éclaire, et vous avez accepté de vous réjouir un moment à sa lumière.
Mais j'ai pour moi un témoignage plus grand que celui de Jean : ce sont les œuvres que le Père m'a données à accomplir ; ces œuvres, je les fais, et elles témoignent que le Père m'a envoyé.
Et le Père qui m'a envoyé, c'est lui qui m'a rendu témoignage. Vous n'avez jamais écouté sa voix, vous n'avez jamais vu sa face, et sa parole ne demeure pas en vous, puisque vous ne croyez pas en moi, l'envoyé du Père.
Vous scrutez les Écritures parce que vous pensez trouver en elles la vie éternelle ; or, ce sont elles qui me rendent témoignage, et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie !
La gloire, je ne la reçois pas des hommes ; d'ailleurs je vous connais : vous n'avez pas en vous l'amour de Dieu.
Moi, je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; si un autre vient en son propre nom, celui-là, vous le recevrez !
Comment pourriez-vous croire, vous qui recevez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez pas la gloire qui vient du Dieu unique !
Ne pensez pas que c'est moi qui vous accuserai devant le Père. Votre accusateur, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
Si vous croyiez en Moïse, vous croiriez aussi en moi, car c'est de moi qu'il a parlé dans l'Écriture.
Mais si vous ne croyez pas ce qu'il a écrit, comment croirez-vous ce que je dis ? »
Prière d'introduction
Dieu unique, je crois en toi : Sainte Trinité : Père, Fils et Saint-Esprit. Notre Père, je crois que tu as tant aimé le monde que tu as donné ton Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Jésus-Christ est le visage de la miséricorde. Votre Esprit Saint, Esprit de vérité et d’amour, nous donne votre vie.
Demande
Que je puisse rendre témoignage de ta miséricorde devant les hommes, en acceptant et en transmettant le témoignage reçu de Jésus-Christ.
Points de réflexion
1.« Si c’est moi qui me rends témoignage, mon témoignage n’est pas vrai ».
Mais Jésus : comment pouvoir te rendre raison ?
Tu viens juste de parler de toi-même !
Si tu te rends témoignage, tu dis que ton témoignage n’est pas vrai !
Pourquoi parler maintenant de toi-même, en donnant l’apparence de te falsifier devant tes adversaires ?
Serai-je donc ton adversaire en t’accusant de t’avoir contredit toi-même ?
Voilà, si j’avais l’intelligence habituée à soupçonner et la volonté prête à passer jugement, je n’aurais logiquement aucun scrupule en t’accusant d’avoir violé le principe de la non-contradiction : et qui oserait contredire tel « ego » qui démontre tel « égoïsme » ?!
Ou bien, qui, seul devant tout le monde, trouve de l’intérêt à s’anéantir en suivant ton argumentum ad absurdum ?
Quelqu’un qui donne sa vie. Celui qui aime !
J’aime ta vérité !
Tu es doux et humble de cœur !
Voici le fruit de ma raison devant ton visage miséricordieux : je ne peux pas te juger, tout simplement.
C’est toi qui m’illumine avec la révélation de ta personne divine – et je vois que tu ne m’as pas préjugé !
Ton regard miséricordieux regarde mon cœur avec espérance : tu ne veux pas me juger ; tu ne veux pas me contredire ; tu veux partager ton amour pour que je puisse réjouir en communiant, et en communiquant, dans ta vérité.
Tu t’exposes de façon vulnérable à mon esprit comme si tu étais l’objet de mon jugement humain, pour que je puisse reconnaître l’autorité de ta Personne-qui-est, l’assurance de mon acte de foi salvateur : tu es notre Lumière.
2. « Vous scrutez les Écritures parce que vous pensez y trouver la vie éternelle ».
Oui, il est vrai que je scrute les Écritures, comme aujourd’hui je les médite, en ayant de l’espérance d’y trouver la vie éternelle.
Montre-moi encore ton visage miséricordieux ! Volontiers j’accepte ton juste jugement sur ma personne : à cause de mes péchés je n’ai pas l’espérance de la vie éternelle.
Oui, j’accepte de perdre mon espérance devant ton jugement, en reconnaissant que je n’ai pas l’amour de Dieu de moi-même !
Je serai donc obligé de faire comme ton père Abraham : d’espérer contre l’espérance ! Voilà la miséricorde de ton Père !
Il ne veut pas qu’un fils se perde – ou son père avec !
Je sais que tu me montreras encore ton visage miséricordieux pour que je puisse faire mon lendemain de ton « aujourd’hui », malgré mon hier : venu du ciel tu es le même, hier, aujourd’hui, et pour l’éternité.
Si une fois j’étais infidèle, tu es toujours fidèle : ta grâce me justifie.
Tu m’appelles à devenir l’œuvre de ta miséricorde devant les hommes : ma joie sera d’être sauvé, en enseignant les pécheurs dans tes chemins.
Les égarés reviendront vers toi. Ils reconnaîtront mon héritage : quand ils scruteront les Écritures, ils reconnaîtront que ce que je te dis se confirme dans tes promesses !
3. « La gloire, je ne la reçois pas des hommes ».
Jésus : tu es le Fils du Père et tu mérites que je te donne la gloire.
Tu ne reçois pas la gloire des hommes. Vois-tu donc ma misère ?!
Ta révélation à mon pauvre cœur d’homme l’a broyé et brisé.
Juge-moi dans ta justice pour vérifier que je ne suis pas une personne divine !
Je suis créature : faible, pécheur, mortel. Suis ma logique, le reflet de la tienne !
Il faut que tu me veuilles un peu moindre qu’un dieu pour que tu puisses être glorifié !
C’est donc à toi d’intercéder devant ton Père pour que je devienne l’un de ses fils ! À ton honneur !
Oui, il me serait glorieux d’être divinisé par une telle grâce : hier, aujourd’hui – je persévère pour l’éternité qui m’espère !
Dialogue avec le Christ
Jésus-Christ, mon Seigneur et mon Dieu, tu sais que je t’ai parlé ainsi pour que je puisse être sauvé. Pour ta part, tu m’as aimé en premier : tu es le Verbe-fait-chair, Sauveur. Toi seul as les paroles de vie éternelle. Les autres attendent ma gloire, le jour où je serai identifié avec sa source unique.
Résolution
En imitant Jésus-Christ, le visage de la miséricorde, faire une œuvre de miséricorde aujourd’hui.
SOURCE : Catholique.org
Sainte Trinité
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
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Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 10Mars 2016
Source miséricordieuse de gloire
Evangile selon St Jean 5, 31-47
Jésus disait aux Juifs :
« Si je me rendais ce témoignage à moi-même, mon témoignage ne serait pas vrai ; il y a quelqu'un d'autre qui me rend témoignage, et je sais que le témoignage qu'il me rend est vrai.
Vous avez envoyé une délégation auprès de Jean Baptiste, et il a rendu témoignage à la vérité.
Moi, je n'ai pas à recevoir le témoignage d'un homme, mais je parle ainsi pour que vous soyez sauvés.
Jean était la lampe qui brûle et qui éclaire, et vous avez accepté de vous réjouir un moment à sa lumière.
Mais j'ai pour moi un témoignage plus grand que celui de Jean : ce sont les œuvres que le Père m'a données à accomplir ; ces œuvres, je les fais, et elles témoignent que le Père m'a envoyé.
Et le Père qui m'a envoyé, c'est lui qui m'a rendu témoignage. Vous n'avez jamais écouté sa voix, vous n'avez jamais vu sa face, et sa parole ne demeure pas en vous, puisque vous ne croyez pas en moi, l'envoyé du Père.
Vous scrutez les Écritures parce que vous pensez trouver en elles la vie éternelle ; or, ce sont elles qui me rendent témoignage, et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie !
La gloire, je ne la reçois pas des hommes ; d'ailleurs je vous connais : vous n'avez pas en vous l'amour de Dieu.
Moi, je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; si un autre vient en son propre nom, celui-là, vous le recevrez !
Comment pourriez-vous croire, vous qui recevez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez pas la gloire qui vient du Dieu unique !
Ne pensez pas que c'est moi qui vous accuserai devant le Père. Votre accusateur, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
Si vous croyiez en Moïse, vous croiriez aussi en moi, car c'est de moi qu'il a parlé dans l'Écriture.
Mais si vous ne croyez pas ce qu'il a écrit, comment croirez-vous ce que je dis ? »
Prière d'introduction
Dieu unique, je crois en toi : Sainte Trinité : Père, Fils et Saint-Esprit. Notre Père, je crois que tu as tant aimé le monde que tu as donné ton Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Jésus-Christ est le visage de la miséricorde. Votre Esprit Saint, Esprit de vérité et d’amour, nous donne votre vie.
Demande
Que je puisse rendre témoignage de ta miséricorde devant les hommes, en acceptant et en transmettant le témoignage reçu de Jésus-Christ.
Points de réflexion
1.« Si c’est moi qui me rends témoignage, mon témoignage n’est pas vrai ».
Mais Jésus : comment pouvoir te rendre raison ?
Tu viens juste de parler de toi-même !
Si tu te rends témoignage, tu dis que ton témoignage n’est pas vrai !
Pourquoi parler maintenant de toi-même, en donnant l’apparence de te falsifier devant tes adversaires ?
Serai-je donc ton adversaire en t’accusant de t’avoir contredit toi-même ?
Voilà, si j’avais l’intelligence habituée à soupçonner et la volonté prête à passer jugement, je n’aurais logiquement aucun scrupule en t’accusant d’avoir violé le principe de la non-contradiction : et qui oserait contredire tel « ego » qui démontre tel « égoïsme » ?!
Ou bien, qui, seul devant tout le monde, trouve de l’intérêt à s’anéantir en suivant ton argumentum ad absurdum ?
Quelqu’un qui donne sa vie. Celui qui aime !
J’aime ta vérité !
Tu es doux et humble de cœur !
Voici le fruit de ma raison devant ton visage miséricordieux : je ne peux pas te juger, tout simplement.
C’est toi qui m’illumine avec la révélation de ta personne divine – et je vois que tu ne m’as pas préjugé !
Ton regard miséricordieux regarde mon cœur avec espérance : tu ne veux pas me juger ; tu ne veux pas me contredire ; tu veux partager ton amour pour que je puisse réjouir en communiant, et en communiquant, dans ta vérité.
Tu t’exposes de façon vulnérable à mon esprit comme si tu étais l’objet de mon jugement humain, pour que je puisse reconnaître l’autorité de ta Personne-qui-est, l’assurance de mon acte de foi salvateur : tu es notre Lumière.
2. « Vous scrutez les Écritures parce que vous pensez y trouver la vie éternelle ».
Oui, il est vrai que je scrute les Écritures, comme aujourd’hui je les médite, en ayant de l’espérance d’y trouver la vie éternelle.
Montre-moi encore ton visage miséricordieux ! Volontiers j’accepte ton juste jugement sur ma personne : à cause de mes péchés je n’ai pas l’espérance de la vie éternelle.
Oui, j’accepte de perdre mon espérance devant ton jugement, en reconnaissant que je n’ai pas l’amour de Dieu de moi-même !
Je serai donc obligé de faire comme ton père Abraham : d’espérer contre l’espérance ! Voilà la miséricorde de ton Père !
Il ne veut pas qu’un fils se perde – ou son père avec !
Je sais que tu me montreras encore ton visage miséricordieux pour que je puisse faire mon lendemain de ton « aujourd’hui », malgré mon hier : venu du ciel tu es le même, hier, aujourd’hui, et pour l’éternité.
Si une fois j’étais infidèle, tu es toujours fidèle : ta grâce me justifie.
Tu m’appelles à devenir l’œuvre de ta miséricorde devant les hommes : ma joie sera d’être sauvé, en enseignant les pécheurs dans tes chemins.
Les égarés reviendront vers toi. Ils reconnaîtront mon héritage : quand ils scruteront les Écritures, ils reconnaîtront que ce que je te dis se confirme dans tes promesses !
3. « La gloire, je ne la reçois pas des hommes ».
Jésus : tu es le Fils du Père et tu mérites que je te donne la gloire.
Tu ne reçois pas la gloire des hommes. Vois-tu donc ma misère ?!
Ta révélation à mon pauvre cœur d’homme l’a broyé et brisé.
Juge-moi dans ta justice pour vérifier que je ne suis pas une personne divine !
Je suis créature : faible, pécheur, mortel. Suis ma logique, le reflet de la tienne !
Il faut que tu me veuilles un peu moindre qu’un dieu pour que tu puisses être glorifié !
C’est donc à toi d’intercéder devant ton Père pour que je devienne l’un de ses fils ! À ton honneur !
Oui, il me serait glorieux d’être divinisé par une telle grâce : hier, aujourd’hui – je persévère pour l’éternité qui m’espère !
Dialogue avec le Christ
Jésus-Christ, mon Seigneur et mon Dieu, tu sais que je t’ai parlé ainsi pour que je puisse être sauvé. Pour ta part, tu m’as aimé en premier : tu es le Verbe-fait-chair, Sauveur. Toi seul as les paroles de vie éternelle. Les autres attendent ma gloire, le jour où je serai identifié avec sa source unique.
Résolution
En imitant Jésus-Christ, le visage de la miséricorde, faire une œuvre de miséricorde aujourd’hui.
SOURCE : Catholique.org
Sainte Trinité
Invité- Invité
- Message n°128
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour Maud
Bonjour Rose v
Bonjour Thierry
Bonjour Emmanuel
Bonjour Manuela
Bonjour tous artisans de paix
Bonjour à toutes et à tous
Jeudi 10 Mars 2016
Sainte Marie-Eugénie, Religieuse et Fondatrice
4ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
[Psaume 105 (106) ; entièrement]
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=10/03/2016
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonjour Rose v
Bonjour Thierry
Bonjour Emmanuel
Bonjour Manuela
Bonjour tous artisans de paix
Bonjour à toutes et à tous
Jeudi 10 Mars 2016
Sainte Marie-Eugénie, Religieuse et Fondatrice
4ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
(Première lecture)
Livre de l’Exode 32 : 7 à 14
« Renonce au mal que TU veux faire à Ton Peuple »
En ces jours-là,
le SEIGNEUR parla à Moïse :
« Va, descends,
car ton peuple s’est corrompu,
lui que tu as fait monter du pays d’Égypte.
Ils n’auront pas mis longtemps
à s’écarter du chemin que Je leur avais ordonné de suivre !
Ils se sont fait un veau en métal fondu
et se sont prosternés devant lui.
Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant :
“Israël, voici tes dieux,
qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.” »
Le SEIGNEUR dit encore à Moïse :
« Je vois que ce peuple
est un peuple à la nuque raide.
Maintenant, laisse-Moi faire ;
ma colère va s’enflammer contre eux
et Je vais les exterminer !
Mais, de toi, Je ferai une grande nation. »
Moïse apaisa le VISAGE du SEIGNEUR son DIEU
en disant :
« Pourquoi, SEIGNEUR, ta colère
s’enflammerait-elle contre Ton Peuple,
que TU as fait sortir du pays d’Égypte
par TA GRANDE FORCE et TA MAIN PUISSANTE ?
Pourquoi donner aux Égyptiens l’occasion de dire :
“C’est par méchanceté qu’IL les a fait sortir ;
IL voulait les tuer dans les montagnes
et les exterminer à la surface de la Terre” ?
Reviens de l’ardeur de ta colère,
renonce au mal que TU veux faire à Ton Peuple.
Souviens-TOI de Tes Serviteurs,
Abraham, Isaac et Israël,
à qui TU as juré par TOI-MÊME :
“Je multiplierai votre descendance
comme les étoiles du ciel ;
Je donnerai, comme Je l’ai dit,
tout ce pays à vos descendants,
et il sera pour toujours leur héritage.” »
Le SEIGNEUR renonça au mal
qu’IL avait voulu faire à Son Peuple.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre de l’Exode 32 : 7 à 14
« Renonce au mal que TU veux faire à Ton Peuple »
En ces jours-là,
le SEIGNEUR parla à Moïse :
« Va, descends,
car ton peuple s’est corrompu,
lui que tu as fait monter du pays d’Égypte.
Ils n’auront pas mis longtemps
à s’écarter du chemin que Je leur avais ordonné de suivre !
Ils se sont fait un veau en métal fondu
et se sont prosternés devant lui.
Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant :
“Israël, voici tes dieux,
qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.” »
Le SEIGNEUR dit encore à Moïse :
« Je vois que ce peuple
est un peuple à la nuque raide.
Maintenant, laisse-Moi faire ;
ma colère va s’enflammer contre eux
et Je vais les exterminer !
Mais, de toi, Je ferai une grande nation. »
Moïse apaisa le VISAGE du SEIGNEUR son DIEU
en disant :
« Pourquoi, SEIGNEUR, ta colère
s’enflammerait-elle contre Ton Peuple,
que TU as fait sortir du pays d’Égypte
par TA GRANDE FORCE et TA MAIN PUISSANTE ?
Pourquoi donner aux Égyptiens l’occasion de dire :
“C’est par méchanceté qu’IL les a fait sortir ;
IL voulait les tuer dans les montagnes
et les exterminer à la surface de la Terre” ?
Reviens de l’ardeur de ta colère,
renonce au mal que TU veux faire à Ton Peuple.
Souviens-TOI de Tes Serviteurs,
Abraham, Isaac et Israël,
à qui TU as juré par TOI-MÊME :
“Je multiplierai votre descendance
comme les étoiles du ciel ;
Je donnerai, comme Je l’ai dit,
tout ce pays à vos descendants,
et il sera pour toujours leur héritage.” »
Le SEIGNEUR renonça au mal
qu’IL avait voulu faire à Son Peuple.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Infidélité d’Israël, FIDÉLITÉ de DIEU
[Psaume 105 (106) ; entièrement]
Psaume 105 (106) : 4ab et 6, 19 et 20, 21 et 22, 23
R/ Souviens-TOI de nous, SEIGNEUR,
dans TA BIENVEILLANCE pour Ton Peuple.
Souviens-TOI de moi, SEIGNEUR,
dans TA BIENVEILLANCE pour Ton Peuple.
Avec nos pères, nous avons péché,
nous avons failli et renié.
R/
À l’Horeb ils fabriquent un veau,
ils adorent un objet en métal :
ils échangeaient ce qui était leur GLOIRE
pour l’image d’un taureau, d’un ruminant.
R/
Ils oublient le DIEU qui les sauve,
qui a fait des PRODIGES en Égypte,
des MIRACLES au pays de Cham,
des actions terrifiantes sur la mer Rouge.
R/
DIEU a décidé de les détruire.
C’est alors que Moïse, Son Élu,
surgit sur la brèche, devant LUI,
pour empêcher que sa fureur les extermine.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
dans TA BIENVEILLANCE pour Ton Peuple.
Souviens-TOI de moi, SEIGNEUR,
dans TA BIENVEILLANCE pour Ton Peuple.
Avec nos pères, nous avons péché,
nous avons failli et renié.
R/
À l’Horeb ils fabriquent un veau,
ils adorent un objet en métal :
ils échangeaient ce qui était leur GLOIRE
pour l’image d’un taureau, d’un ruminant.
R/
Ils oublient le DIEU qui les sauve,
qui a fait des PRODIGES en Égypte,
des MIRACLES au pays de Cham,
des actions terrifiantes sur la mer Rouge.
R/
DIEU a décidé de les détruire.
C’est alors que Moïse, Son Élu,
surgit sur la brèche, devant LUI,
pour empêcher que sa fureur les extermine.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 5 : 31 à 47
Acclamation de l’Évangile :
LOUANGE À TOI, SEIGNEUR,
ROI D’ÉTERNELLE GLOIRE !
DIEU a tellement aimé le monde
qu’IL a donné SON FILS UNIQUE,
afin que ceux qui croient en LUI aient la VIE ÉTERNELLE.
LOUANGE À TOI, SEIGNEUR,
ROI D’ÉTERNELLE GLOIRE !
(Jn 3, 16)
« Votre accusateur, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux Juifs :
« Si c’est Moi qui Me rends témoignage,
Mon Témoignage n’est pas vrai ;
c’est un autre qui Me rend TÉMOIGNAGE,
et Je sais que le TÉMOIGNAGE qu’IL me rend est VRAI.
Vous avez envoyé une délégation auprès de Jean le Baptiste,
et il a rendu témoignage à la VÉRITÉ.
Moi, ce n’est pas d’un homme que Je reçois le TÉMOIGNAGE,
mais Je parle ainsi pour que vous soyez sauvés.
Jean était la lampe qui brûle et qui brille,
et vous avez voulu vous réjouir un moment à sa lumière.
Mais J’ai pour Moi un TÉMOIGNAGE plus grand que celui de Jean :
ce sont les ŒUVRES que le PÈRE M’a donné d’accomplir ;
les ŒUVRES mêmes que Je fais
témoignent que le PÈRE M’a envoyé.
Et le PÈRE qui M’a envoyé,
LUI, M’a rendu TÉMOIGNAGE.
Vous n’avez jamais entendu SA VOIX,
vous n’avez jamais vu SA FACE,
et vous ne laissez pas SA PAROLE demeurer en vous,
puisque vous ne croyez pas en CELUI que le PÈRE a envoyé.
Vous scrutez les Écritures
parce que vous pensez y trouver la VIE ÉTERNELLE ;
or, ce sont les Écritures qui Me rendent TÉMOIGNAGE,
et vous ne voulez pas venir à Moi
pour avoir la VIE !
La GLOIRE, Je ne la reçois pas des hommes ;
d’ailleurs Je vous connais :
vous n’avez pas en vous l’AMOUR de DIEU.
Moi, Je suis venu au NOM de MON PÈRE,
et vous ne Me recevez pas ;
qu’un autre vienne en son propre nom,
celui-là, vous le recevrez !
Comment pourriez-vous croire,
vous qui recevez votre gloire les uns des autres,
et qui ne cherchez pas la GLOIRE qui vient du DIEU UNIQUE ?
Ne pensez pas que c’est Moi
qui vous accuserai devant le PÈRE.
Votre accusateur, c’est Moïse,
en qui vous avez mis votre espérance.
Si vous croyiez Moïse,
vous Me croiriez aussi,
car c’est à MON SUJET qu’il a écrit.
Mais si vous ne croyez pas Ses Écrits,
comment croirez-vous Mes PAROLES ? »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
LOUANGE À TOI, SEIGNEUR,
ROI D’ÉTERNELLE GLOIRE !
DIEU a tellement aimé le monde
qu’IL a donné SON FILS UNIQUE,
afin que ceux qui croient en LUI aient la VIE ÉTERNELLE.
LOUANGE À TOI, SEIGNEUR,
ROI D’ÉTERNELLE GLOIRE !
(Jn 3, 16)
« Votre accusateur, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux Juifs :
« Si c’est Moi qui Me rends témoignage,
Mon Témoignage n’est pas vrai ;
c’est un autre qui Me rend TÉMOIGNAGE,
et Je sais que le TÉMOIGNAGE qu’IL me rend est VRAI.
Vous avez envoyé une délégation auprès de Jean le Baptiste,
et il a rendu témoignage à la VÉRITÉ.
Moi, ce n’est pas d’un homme que Je reçois le TÉMOIGNAGE,
mais Je parle ainsi pour que vous soyez sauvés.
Jean était la lampe qui brûle et qui brille,
et vous avez voulu vous réjouir un moment à sa lumière.
Mais J’ai pour Moi un TÉMOIGNAGE plus grand que celui de Jean :
ce sont les ŒUVRES que le PÈRE M’a donné d’accomplir ;
les ŒUVRES mêmes que Je fais
témoignent que le PÈRE M’a envoyé.
Et le PÈRE qui M’a envoyé,
LUI, M’a rendu TÉMOIGNAGE.
Vous n’avez jamais entendu SA VOIX,
vous n’avez jamais vu SA FACE,
et vous ne laissez pas SA PAROLE demeurer en vous,
puisque vous ne croyez pas en CELUI que le PÈRE a envoyé.
Vous scrutez les Écritures
parce que vous pensez y trouver la VIE ÉTERNELLE ;
or, ce sont les Écritures qui Me rendent TÉMOIGNAGE,
et vous ne voulez pas venir à Moi
pour avoir la VIE !
La GLOIRE, Je ne la reçois pas des hommes ;
d’ailleurs Je vous connais :
vous n’avez pas en vous l’AMOUR de DIEU.
Moi, Je suis venu au NOM de MON PÈRE,
et vous ne Me recevez pas ;
qu’un autre vienne en son propre nom,
celui-là, vous le recevrez !
Comment pourriez-vous croire,
vous qui recevez votre gloire les uns des autres,
et qui ne cherchez pas la GLOIRE qui vient du DIEU UNIQUE ?
Ne pensez pas que c’est Moi
qui vous accuserai devant le PÈRE.
Votre accusateur, c’est Moïse,
en qui vous avez mis votre espérance.
Si vous croyiez Moïse,
vous Me croiriez aussi,
car c’est à MON SUJET qu’il a écrit.
Mais si vous ne croyez pas Ses Écrits,
comment croirez-vous Mes PAROLES ? »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
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Nicolas
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- Message n°129
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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Vendredi 11 Mars 2016
De la férie
4ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
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4ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
(Première lecture)
Livre de la Sagesse 2 : 1a, 12 à 22
« Condamnons le juste à une mort infâme »
Les impies ne sont pas dans la vérité
lorsqu’ils raisonnent ainsi en eux-mêmes :
« Attirons le JUSTE dans un piège, car IL nous contrarie,
IL s’oppose à nos entreprises,
IL nous reproche de désobéir à la Loi de DIEU,
et nous accuse d’infidélités à notre éducation.
IL prétend posséder la CONNAISSANCE de DIEU,
et se nomme LUI-MÊME ENFANT du SEIGNEUR.
IL est un démenti pour nos idées,
Sa Seule Présence nous pèse ;
car IL mène une VIE en dehors du commun,
SA CONDUITE est étrange.
IL nous tient pour des gens douteux,
se détourne de nos chemins comme de la boue.
IL proclame heureux le sort final des justes
et se vante d’avoir DIEU pour PÈRE.
Voyons si SES PAROLES sont VRAIES,
regardons comment IL en sortira.
Si le JUSTE est FILS DE DIEU,
DIEU L’assistera, et L’arrachera aux mains de ses adversaires.
Soumettons-LE à des outrages et à des tourments ;
nous saurons ce que vaut SA DOUCEUR,
nous éprouverons SA PATIENCE.
Condamnons-LE à une mort infâme,
puisque, dit-IL, quelqu’un interviendra pour LUI. »
C’est ainsi que raisonnent ces gens- là, mais ils s’égarent ;
leur méchanceté les a rendus aveugles.
Ils ne connaissent pas les SECRETS de DIEU,
ils n’espèrent pas que la sainteté puisse être récompensée,
ils n’estiment pas qu’une âme irréprochable puisse être glorifiée.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre de la Sagesse 2 : 1a, 12 à 22
« Condamnons le juste à une mort infâme »
Les impies ne sont pas dans la vérité
lorsqu’ils raisonnent ainsi en eux-mêmes :
« Attirons le JUSTE dans un piège, car IL nous contrarie,
IL s’oppose à nos entreprises,
IL nous reproche de désobéir à la Loi de DIEU,
et nous accuse d’infidélités à notre éducation.
IL prétend posséder la CONNAISSANCE de DIEU,
et se nomme LUI-MÊME ENFANT du SEIGNEUR.
IL est un démenti pour nos idées,
Sa Seule Présence nous pèse ;
car IL mène une VIE en dehors du commun,
SA CONDUITE est étrange.
IL nous tient pour des gens douteux,
se détourne de nos chemins comme de la boue.
IL proclame heureux le sort final des justes
et se vante d’avoir DIEU pour PÈRE.
Voyons si SES PAROLES sont VRAIES,
regardons comment IL en sortira.
Si le JUSTE est FILS DE DIEU,
DIEU L’assistera, et L’arrachera aux mains de ses adversaires.
Soumettons-LE à des outrages et à des tourments ;
nous saurons ce que vaut SA DOUCEUR,
nous éprouverons SA PATIENCE.
Condamnons-LE à une mort infâme,
puisque, dit-IL, quelqu’un interviendra pour LUI. »
C’est ainsi que raisonnent ces gens- là, mais ils s’égarent ;
leur méchanceté les a rendus aveugles.
Ils ne connaissent pas les SECRETS de DIEU,
ils n’espèrent pas que la sainteté puisse être récompensée,
ils n’estiment pas qu’une âme irréprochable puisse être glorifiée.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Le SEIGNEUR m’a délivré de toutes mes craintes
Du recueil de David. Devant Abimélek, David s’était fait passer pour fou. Après avoir été mis à la porte par celui-ci, il prononça les paroles que voici.
[Psaume 33 (34) ; entièrement]
[Psaume 33 (34) ; entièrement]
Psaume 33 (34) : 17 et 18, 19 et 20, 21 et 23
R/ Le SEIGNEUR est proche du cœur brisé.
Le SEIGNEUR affronte les méchants
pour effacer de la Terre leur mémoire.
Le SEIGNEUR entend ceux qui L’appellent :
de toutes leurs angoisses, IL les délivre.
R/
IL est proche du cœur brisé,
IL sauve l’esprit abattu.
Malheur sur malheur pour le juste,
mais le SEIGNEUR chaque fois le délivre.
R/
IL veille sur chacun de SES OS :
pas un ne sera brisé.
Le SEIGNEUR rachètera Ses Serviteurs :
pas de châtiment pour qui trouve en LUI son REFUGE
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Le SEIGNEUR affronte les méchants
pour effacer de la Terre leur mémoire.
Le SEIGNEUR entend ceux qui L’appellent :
de toutes leurs angoisses, IL les délivre.
R/
IL est proche du cœur brisé,
IL sauve l’esprit abattu.
Malheur sur malheur pour le juste,
mais le SEIGNEUR chaque fois le délivre.
R/
IL veille sur chacun de SES OS :
pas un ne sera brisé.
Le SEIGNEUR rachètera Ses Serviteurs :
pas de châtiment pour qui trouve en LUI son REFUGE
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 7 : 1 et 2, 10, 14, 25 à 30
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute PAROLE qui sort de la BOUCHE de DIEU.
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(Mt 4, 4b)
« On cherchait à L’arrêter, mais SON HEURE n’était pas encore venue »
En ce temps-là,
JÉSUS parcourait la Galilée :
IL ne voulait pas parcourir la Judée
car les Juifs cherchaient à LE tuer.
La fête juive des Tentes était proche.
Lorsque ses frères furent montés à Jérusalem
pour la fête,
IL y monta LUI aussi,
non pas ostensiblement, mais en secret.
On était déjà au milieu de la semaine de la fête
quand JÉSUS monta au Temple ; et là IL enseignait.
Quelques habitants de Jérusalem disaient alors :
« N’est-ce pas CELUI qu’on cherche à tuer ?
LE voilà qui parle ouvertement,
et personne ne LUI dit rien !
Nos chefs auraient-ils vraiment reconnu
que c’est LUI le CHRIST ?
Mais LUI, nous savons d’où IL est.
Or, le CHRIST, quand IL viendra,
personne ne saura d’où IL est. »
JÉSUS, qui enseignait dans le Temple, s’écria :
« Vous Me connaissez ?
Et vous savez d’où Je suis ?
Je ne suis pas venu de MOI-MÊME :
mais IL EST VÉRIDIQUE, CELUI qui M’a envoyé,
LUI que vous ne connaissez pas.
Moi, Je LE connais
parce que Je viens d’auprès de LUI,
et c’est LUI qui M’a envoyé. »
On cherchait à L’arrêter,
mais personne ne mit la main sur LUI
parce que SON HEURE n’était pas encore venue.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute PAROLE qui sort de la BOUCHE de DIEU.
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(Mt 4, 4b)
« On cherchait à L’arrêter, mais SON HEURE n’était pas encore venue »
En ce temps-là,
JÉSUS parcourait la Galilée :
IL ne voulait pas parcourir la Judée
car les Juifs cherchaient à LE tuer.
La fête juive des Tentes était proche.
Lorsque ses frères furent montés à Jérusalem
pour la fête,
IL y monta LUI aussi,
non pas ostensiblement, mais en secret.
On était déjà au milieu de la semaine de la fête
quand JÉSUS monta au Temple ; et là IL enseignait.
Quelques habitants de Jérusalem disaient alors :
« N’est-ce pas CELUI qu’on cherche à tuer ?
LE voilà qui parle ouvertement,
et personne ne LUI dit rien !
Nos chefs auraient-ils vraiment reconnu
que c’est LUI le CHRIST ?
Mais LUI, nous savons d’où IL est.
Or, le CHRIST, quand IL viendra,
personne ne saura d’où IL est. »
JÉSUS, qui enseignait dans le Temple, s’écria :
« Vous Me connaissez ?
Et vous savez d’où Je suis ?
Je ne suis pas venu de MOI-MÊME :
mais IL EST VÉRIDIQUE, CELUI qui M’a envoyé,
LUI que vous ne connaissez pas.
Moi, Je LE connais
parce que Je viens d’auprès de LUI,
et c’est LUI qui M’a envoyé. »
On cherchait à L’arrêter,
mais personne ne mit la main sur LUI
parce que SON HEURE n’était pas encore venue.
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Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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- Message n°131
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Vendredi 11Mars 2016
La personne qui veut révéler l’amour dans la vérité
Evangile selon St Jean 7, 10-30
Après cela, Jésus parcourait la Galilée : il ne voulait pas parcourir la Judée car les Juifs cherchaient à le tuer. La fête juive des Tentes était proche.
Lorsque ses frères furent montés à Jérusalem pour la fête, il y monta lui aussi, non pas ostensiblement, mais en secret.
On était déjà au milieu de la semaine de la fête quand Jésus monta au Temple ; et là il enseignait. Quelques habitants de Jérusalem disaient alors : « N’est-ce pas celui qu’on cherche à tuer ? Le voilà qui parle ouvertement, et personne ne lui dit rien ! Nos chefs auraient-ils vraiment reconnu que c’est lui le Christ ? Mais lui, nous savons d’où il est. Or, le Christ, quand il viendra, personne ne saura d’où il est. »
Jésus, qui enseignait dans le Temple, s’écria : « Vous me connaissez ? Et vous savez d’où je suis ? Je ne suis pas venu de moi-même : mais il est véridique, Celui qui m’a envoyé, lui que vous ne connaissez pas.
Moi, je le connais parce que je viens d’auprès de lui, et c’est lui qui m’a envoyé. »
On cherchait à l’arrêter, mais personne ne mit la main sur lui parce que son heure n’était pas encore venue.
Prière d'introduction
Seigneur Jésus, tu es le Fils de Dieu incarné, l’image du Dieu invisible, le premier-né avant toute créature, le sacrement visible de son amour. Par toi, chaque personne a été créée à son image et ressemblance : tu es venu nous racheter de nos péchés, restaurer notre dignité humaine originelle jusqu’à nous diviniser en habitant dans nos cœurs. Il ne faut donc pas m’étonner si les autres personnes, dans leur vocation prophétique, reflètent le Dieu invisible d’une façon visible : qu’elles soient remplies de ton amour pour qu’il soit ainsi. Dieu est amour et l’homme et la femme sont créés pour aimer.
L’amour se communique. L’amour ne peut être accueilli que par l’amour. L’amour ne cherche pas son propre intérêt, sauf en voulant engendrer son semblable. La personne qui aime avec justice et miséricorde transmet la connaissance de Dieu.
Demande
Que par ta miséricorde, Seigneur Jésus, je te connaisse et celui qui t’a envoyé, pour que je puisse aimer comme je suis aimé par toi, avec toi et en toi.
Points de réflexion
1.Le « secret » de l’amour.
L’amour ne peut être accueilli que par l’amour.
L’amour ne cherche pas son propre intérêt, sauf en voulant engendrer son semblable.
L’amour respecte la vraie identité des personnes, trouvée dans leur origine. L’égoïsme cherche son propre intérêt : sans un esprit qui construit la communion, il est aveugle au bien des autres personnes et leurs intérêts.
Souvent jaloux, il est capable de la haine qui détruit toute tentative de l’amour de créer la communion autour de soi.
Pour cela, en se confiant en ses disciples qui cherchaient à vivre son amour en communion avec lui, Jésus leur enseigna :
« Ne donnez pas aux chiens ce qui est sacré ; ne jetez pas vos perles aux pourceaux, de peur qu’ils ne les piétinent, puis se retournent pour vous déchirer » (Mt 7, 6), ce qu’il met en pratique à ce moment de l’Évangile :
« Lorsque ses frères furent montés à Jérusalem pour la fête, il y monta lui aussi, non pas ostensiblement, mais en secret ».
La raison de cette discrétion est comprise, y compris par des gens qui restent encore « neutres » à son égard :
« N’est-ce pas celui qu’on cherche à tuer ? Le voilà qui parle ouvertement, et personne ne lui dit rien !
Nos chefs auraient-ils vraiment reconnu que c’est lui le Christ ? »
Le Christ se cache de ceux qui cherchent ouvertement à faire perdre son œuvre ; en revanche, le Christ continue à se révéler où règne l’espérance d’être accueilli par des personnes dignes de lui et de son amour.
2. La « connaissance » de l’égoïsme.
La connaissance de l’amour ne peut pas être superficielle. Même les gens qui ont l’intelligence de reconnaître que le Christ se cache prudemment de ses ennemis déclarés malgré son audace de continuer sa mission de transmettre l’amour – s’ils restent « indifférents » à son témoignage comme des spectateurs tièdes, ils vont se contredire en proclamant :
« Mais lui, nous savons d’où il est. Or, le Christ, quand il viendra, personne ne saura d’où il est ».
Dans leur paresse spirituelle, ils inventent des fausses identités pour les autres personnes plus passionnées qu’eux : le jugement « nous savons d’où il est » est faux parce qu’ils savent qu’il enseigne mais sans avoir su assimiler son enseignement et la vérité de son origine personnelle ; la spiritualité « le Christ, quand il viendra, personne ne saura d’où il est » est morte, en professant leur propre mort spirituelle, comme si la mission du Christ fût futile, incapable d’instruire des hommes ignorants de Dieu.
Ce sont, en fait, leurs cœurs de pierre qui sont stériles et leur fausse théologie, gratuite.
Sans avoir accueilli la grâce qui vient du Christ, ils deviennent coupables dans leur « neutralité » supposée, en donnant un faux témoignage sur lui et sur sa mission, fruit de leur tiédeur.
Ce que Jésus va finalement faire connaître à ses gens-là, c’est : « Aussi, puisque tu es tiède – ni brûlant ni froid – je vais te vomir de ma bouche ! » (Ap 3, 16).
De ceux qui agissent avec la violence de la haine, il est au moins possible d’acquérir la connaissance du Christ par sa négation, en pouvant reconnaître sa vertu par l’opposition de leur vice.
3. La « révélation » de la personne.
La personne ne peut être accueillie que par une autre personne, créée à l’image et à la ressemblance de Dieu.
Dans la Sainte Trinité, la personne divine du Père engendre la personne du Fils dans la personne de l’Esprit Saint dans une communion de l’amour.
Jésus est le Fils de Dieu incarné, l’image du Dieu invisible, le premier-né avant toute créature, le sacrement visible de son amour : le visage de la miséricorde pour nous les hommes.
Son cri qui révèle son désir d’être connu et aimé est un acte d’amour, de miséricorde, en communiquant la vérité de sa propre personne :
« Vous me connaissez ? Et vous savez d’où je suis ? Je ne suis pas venu de moi-même : mais il est véridique, Celui qui m’a envoyé, lui que vous ne connaissez pas.
Moi, je le connais parce que je viens d’auprès de lui, et c’est lui qui m’a envoyé »
Mais qui va le connaître et l’aimer en vérité ? Notre prière doit nous réconcilier avec lui.
Dialogue avec le Christ
Seigneur Jésus, habite mon cœur pour que je puisse communiquer la vérité et l’amour qui vient de toi, soit en recevant ton amour des personnes qui le transmettent, soit en le donnant, en ayant modelé mon propre cœur et agir selon la mission de ton Sacré-Cœur. Donne-moi la prudence de savoir quand tu désires que mon amour œuvre « en secret » et quand je dois émettre « un grand cri » : « Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! » (1Cor 9, 16).
Résolution
Faire deux actes de charité : l’un qui reste « discret » pour obtenir son fruit, l’autre « ouvert » qui peut servir comme un bon exemple aux autres.
Source : Catholique .org
Jésus au Temple face aux Pharisiens
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- Message n°132
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(Première lecture)
Livre du Prophète Jérémie 11 : 18 à 20
« Moi, j’étais comme un agneau docile qu’on emmène à l’abattoir »
« SEIGNEUR, TU m’as fait savoir,
et maintenant Je sais,
TU m’as fait voir leurs manœuvres.
moi, j’étais comme un agneau docile
qu’on emmène à l’abattoir,
et je ne savais pas qu’ils montaient un complot contre moi.
Ils disaient :
“Coupons l’arbre à la racine,
retranchons-le de la Terre des vivants,
afin qu’on oublie jusqu’à son nom.”
SEIGNEUR de l’Univers, TOI qui juges avec JUSTICE,
qui scrutes les reins et les cœurs,
fais-moi voir la revanche que TU leur infligeras,
car c’est à TOI que j’ai remis ma cause. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre du Prophète Jérémie 11 : 18 à 20
« Moi, j’étais comme un agneau docile qu’on emmène à l’abattoir »
« SEIGNEUR, TU m’as fait savoir,
et maintenant Je sais,
TU m’as fait voir leurs manœuvres.
moi, j’étais comme un agneau docile
qu’on emmène à l’abattoir,
et je ne savais pas qu’ils montaient un complot contre moi.
Ils disaient :
“Coupons l’arbre à la racine,
retranchons-le de la Terre des vivants,
afin qu’on oublie jusqu’à son nom.”
SEIGNEUR de l’Univers, TOI qui juges avec JUSTICE,
qui scrutes les reins et les cœurs,
fais-moi voir la revanche que TU leur infligeras,
car c’est à TOI que j’ai remis ma cause. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
SEIGNEUR, rends-moi justice
Complainte chantée appartenant au recueil de David. Celui-ci l’adressa au SEIGNEUR à propos de Kouch le Benjaminite.
[Psaume 7 ; entièrement]
[Psaume 7 ; entièrement]
Psaume 7 : 2 et 3, 9bc et 10, 11 et 12a et 18b
R/ SEIGNEUR mon DIEU, TU es mon REFUGE.
SEIGNEUR mon DIEU, TU es mon REFUGE !
On me poursuit : sauve-moi, délivre-moi !
Sinon ils vont m’égorger, tous ces fauves,
me déchirer, sans que personne me délivre.
R/
Juge-moi, SEIGNEUR, sur ma justice :
mon innocence parle pour moi.
Mets fin à la rage des impies, affermis le juste,
TOI qui scrutes les cœurs et les reins, DIEU, LE JUSTE.
R/
J’aurai mon BOUCLIER auprès de DIEU,
le SAUVEUR des Cœurs Droits.
DIEU juge avec JUSTICE ;
je chanterai le NOM DU SEIGNEUR, LE TRÈS-HAUT.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
SEIGNEUR mon DIEU, TU es mon REFUGE !
On me poursuit : sauve-moi, délivre-moi !
Sinon ils vont m’égorger, tous ces fauves,
me déchirer, sans que personne me délivre.
R/
Juge-moi, SEIGNEUR, sur ma justice :
mon innocence parle pour moi.
Mets fin à la rage des impies, affermis le juste,
TOI qui scrutes les cœurs et les reins, DIEU, LE JUSTE.
R/
J’aurai mon BOUCLIER auprès de DIEU,
le SAUVEUR des Cœurs Droits.
DIEU juge avec JUSTICE ;
je chanterai le NOM DU SEIGNEUR, LE TRÈS-HAUT.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 7 : 40 à 53
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE dans un cœur bon et généreux, qui La retiennent et portent du fruit par leur persévérance.
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(Mt 4, 4b)
« Est-ce de Galilée que vient le CHRIST ? »
En ce temps-là,
JÉSUS enseignait au temple de Jérusalem.
Dans la foule, on avait entendu SES PAROLES,
et les uns disaient :
« C’est vraiment LUI, le PROPHÈTE annoncé ! »
D’autres disaient :
« C’est LUI le CHRIST ! »
Mais d’autres encore demandaient :
« Le CHRIST peut-IL venir de Galilée ?
L’Écriture ne dit-elle pas
que c’est de la descendance de David
et de Bethléem, le village de David, que vient le CHRIST ? »
C’est ainsi que la foule se divisa à cause de LUI.
Quelques-uns d’entre eux voulaient L’arrêter,
mais personne ne mit la main sur LUI.
Les gardes revinrent auprès des grands prêtres et des pharisiens,
qui leur demandèrent :
« Pourquoi ne L’avez-vous pas amené ? »
Les gardes répondirent :
« Jamais un Homme n’a parlé de la sorte ! »
Les pharisiens leur répliquèrent :
« Alors, vous aussi, vous vous êtes laissé égarer ?
Parmi les chefs du peuple et les pharisiens,
y en a-t-il un seul qui ait cru en LUI ?
Quant à cette foule qui ne sait rien de la Loi,
ce sont des maudits ! »
Nicodème, l’un d’entre eux,
celui qui était allé précédemment trouver JÉSUS,
leur dit :
« Notre Loi permet-elle de juger un homme
sans l’entendre d’abord pour savoir ce qu’il a fait ? »
Ils lui répondirent :
« Serais-tu, toi aussi, de Galilée ?
Cherche bien, et tu verras
que jamais aucun Prophète ne surgit de Galilée ! »
Puis ils s’en allèrent chacun chez soi.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE dans un cœur bon et généreux, qui La retiennent et portent du fruit par leur persévérance.
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(Mt 4, 4b)
« Est-ce de Galilée que vient le CHRIST ? »
En ce temps-là,
JÉSUS enseignait au temple de Jérusalem.
Dans la foule, on avait entendu SES PAROLES,
et les uns disaient :
« C’est vraiment LUI, le PROPHÈTE annoncé ! »
D’autres disaient :
« C’est LUI le CHRIST ! »
Mais d’autres encore demandaient :
« Le CHRIST peut-IL venir de Galilée ?
L’Écriture ne dit-elle pas
que c’est de la descendance de David
et de Bethléem, le village de David, que vient le CHRIST ? »
C’est ainsi que la foule se divisa à cause de LUI.
Quelques-uns d’entre eux voulaient L’arrêter,
mais personne ne mit la main sur LUI.
Les gardes revinrent auprès des grands prêtres et des pharisiens,
qui leur demandèrent :
« Pourquoi ne L’avez-vous pas amené ? »
Les gardes répondirent :
« Jamais un Homme n’a parlé de la sorte ! »
Les pharisiens leur répliquèrent :
« Alors, vous aussi, vous vous êtes laissé égarer ?
Parmi les chefs du peuple et les pharisiens,
y en a-t-il un seul qui ait cru en LUI ?
Quant à cette foule qui ne sait rien de la Loi,
ce sont des maudits ! »
Nicodème, l’un d’entre eux,
celui qui était allé précédemment trouver JÉSUS,
leur dit :
« Notre Loi permet-elle de juger un homme
sans l’entendre d’abord pour savoir ce qu’il a fait ? »
Ils lui répondirent :
« Serais-tu, toi aussi, de Galilée ?
Cherche bien, et tu verras
que jamais aucun Prophète ne surgit de Galilée ! »
Puis ils s’en allèrent chacun chez soi.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Manuela- Messages : 300
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- Message n°133
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Maud- Messages : 9656
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Saint intercesseur : Sainte Vierge Marie , Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face , Sainte Thérèse d' Avila
- Message n°134
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Samedi 12 Mars 2016
« C’est vraiment lui ! »
Evangile selon St Jean 7, 40-53
Dans la foule, on avait entendu ses paroles, et les uns disaient : « C’est vraiment lui, le Prophète annoncé ! » D’autres disaient : « C’est lui le Christ ! » Mais d’autres encore demandaient : « Le Christ peut-il venir de Galilée ? L’Écriture ne dit-elle pas que c’est de la descendance de David et de Bethléem, le village de David, que vient le Christ ? » C’est ainsi que la foule se divisa à cause de lui. Quelques-uns d’entre eux voulaient l’arrêter, mais personne ne mit la main sur lui. Les gardes revinrent auprès des grands prêtres et des pharisiens, qui leur demandèrent : « Pourquoi ne l’avez-vous pas amené ? » Les gardes répondirent : « Jamais un homme n’a parlé de la sorte ! » Les pharisiens leur répliquèrent : « Alors, vous aussi, vous vous êtes laissé égarer ?
Parmi les chefs du peuple et les pharisiens, y en a-t-il un seul qui ait cru en lui ? Quant à cette foule qui ne sait rien de la Loi, ce sont des maudits ! » Nicodème, l’un d’entre eux, celui qui était allé précédemment trouver Jésus, leur dit : « Notre Loi permet-elle de juger un homme sans l’entendre d’abord pour savoir ce qu’il a fait ? » Ils lui répondirent : « Serais-tu, toi aussi, de Galilée ? Cherche bien, et tu verras que jamais aucun prophète ne surgit de Galilée ! » Puis ils s’en allèrent chacun chez soi.
Prière d'introduction
Nul ne pourrait te chercher avec droiture sans te trouver. Te chercher avec droiture veut dire te chercher comme tu veux que l’on te cherche. Apprends-moi, Seigneur, à te chercher. Que, te cherchant, je ne rencontre rien d’autre que toi. S’il est vrai que je ne désire rien d’autre que toi, donne-moi, Père, de te trouver. S’il existe en moi d’autres désirs, de vaines attentes, purifie-moi et rends-moi ainsi capable de te voir (Saint Augustin, Soliloques, L 1, 5-6).
Demande
Seigneur, donne-moi une certitude intérieure que tu es la Vérité, le Chemin et la Vie. Dissipe les ténèbres de doute et d’amour propre qui m’empêchent de voir l’éclat de ta présence dans ma vie.
Points de réflexion
1.Les foules sont divisées au sujet de Jésus, ils se demandent qui il est. Il y a ceux qui reconnaissent la puissance de ses paroles et de ses gestes.
C’est une clairvoyance que saint Jean l’évangéliste met en scène de manière tristement ironique dans le chapitre 9 de son Évangile.
Un homme aveugle est guéri par Jésus. Les pharisiens et chefs veulent taire ce miracle. Ils l’appellent pour comparaître devant eux et essaient de lui faire renier le pouvoir de Jésus, car, ils disent : « nous ne savons pas d’où il vient ».
L’ancien aveugle répond avec une logique imbattable :
« Voilà bien ce qui est étonnant ! Vous ne savez pas d’où il est, et pourtant il m’a ouvert les yeux.
Dieu, nous le savons, n’exauce pas les pécheurs, mais si quelqu’un l’honore et fait sa volonté, il l’exauce. Jamais encore on n’avait entendu dire que quelqu’un ait ouvert les yeux à un aveugle de naissance. Si lui n’était pas de Dieu, il ne pourrait rien faire » (cf. 9, 22-32).
L’aveugle reconnaît la présence du Christ dans son miracle parce qu’il sait que seul Dieu peut changer sa vie et lui donner du sens. Il est humble dans le plein sens de mot : il voit clairement qui il est et qui est Dieu par rapport à lui. C’est pourquoi, malgré le mauvais traitement qu’il reçoit des mains des pharisiens, il refuse de renier le Christ.
Quand il rencontre Jésus à nouveau, il tombe à ses pieds et dit sans hésitation : « Je crois, Seigneur ! »
Ceux qui reconnaissent directement la présence de Dieu dans les paroles de Jésus sont ceux qui l’attendent, qui ont besoin de lui.
Nous sommes ces membres de la foule qui disent « c’est lui ! » à un monde qui ne croit plus en lui.
2. Dans la foule, d’autres écartent la possibilité que Jésus soit le Messie.
Saint Jean Chrysostome décrit ces personnes : « Ils connaissaient donc les prophéties qui avaient le Christ pour objet, mais ils ne savaient pas qu’elles avaient leur accomplissement en Jésus, ils savaient qu’il avait été élevé à Nazareth, mais ils ne songeaient pas à s’informer du lieu de sa naissance, et ils ne croyaient pas que la prophétie qu’ils avaient sous les yeux était accomplie en lui "
Selon saint Jean, alors, cet « agnosticisme » par rapport à Jésus commence par un manque d’espérance.
Au fond d’eux, ils n’osent pas croire que le Messie viendra vraiment un jour. Ensuite, il s’aggrave avec un manque d’information. Ils ne prennent pas le temps de demander où est né Jésus.
Ils vivent des ouï-dire et de leur intuition.
Des petits agnosticismes, des doutes nous arrivent souvent quand nous souffrons, devant une décision difficile, parfois aussi quand tout va bien et quand Dieu n’est pas nécessaire à notre existence et notre bonheur.
Nous laissons la désillusion ou la satiété couvrir notre besoin de Dieu. Nous manquons d’espérance. Et ensuite, nous ne « songeons pas à nous informer » à travers la Parole de Dieu, auprès des ministres de l’Église, dans la prière personnelle.
Cette figure de la foule est aussi la nôtre.
3. « Jamais un homme n’a parlé de la sorte ! »
expliquent les gardes. Prenons un moment à la fin de cette méditation pour contempler ce Christ qui a séduit même ceux qui devaient l’arrêter.
Dans notre témoignage comme dans notre doute, le plus essentiel est de fixer nos yeux sur le Christ et laisser que son regard nous traverse, qu’il voit jusqu’au fond de notre âme, et que nous nous laissons perdre dans ce regard franc et clair, sans apparence ni a priori. Un regard qui nous permet d’exister et qui permet au Christ d’exister en nous.
Dialogue avec le Christ
Où est-ce que je me situe dans ce passage ? Du côté de la foule qui croit ? Ou bien du côté de la foule qui doute ? Si nous nous trouvons plus dans la joie et la reconnaissance de la présence de Jésus, le remercier pour sa consolation et demander qu’il nous donne l’occasion de partager notre certitude avec d’autres. Si nous sommes dans une doute, se remémorer des moments où nous avons reconnu la présence du Christ et quand nous avons acclamé « c’est lui ! », le remercier pour ces moments et lui demander de nous fortifier dans notre foi au milieu de la désolation.
Résolution
Renouveler ma foi dans le Christ comme amour central de ma vie.
SOURCE : Catholique.org
Pharisiens
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Samedi 12 Mars 2016
« C’est vraiment lui ! »
Evangile selon St Jean 7, 40-53
Dans la foule, on avait entendu ses paroles, et les uns disaient : « C’est vraiment lui, le Prophète annoncé ! » D’autres disaient : « C’est lui le Christ ! » Mais d’autres encore demandaient : « Le Christ peut-il venir de Galilée ? L’Écriture ne dit-elle pas que c’est de la descendance de David et de Bethléem, le village de David, que vient le Christ ? » C’est ainsi que la foule se divisa à cause de lui. Quelques-uns d’entre eux voulaient l’arrêter, mais personne ne mit la main sur lui. Les gardes revinrent auprès des grands prêtres et des pharisiens, qui leur demandèrent : « Pourquoi ne l’avez-vous pas amené ? » Les gardes répondirent : « Jamais un homme n’a parlé de la sorte ! » Les pharisiens leur répliquèrent : « Alors, vous aussi, vous vous êtes laissé égarer ?
Parmi les chefs du peuple et les pharisiens, y en a-t-il un seul qui ait cru en lui ? Quant à cette foule qui ne sait rien de la Loi, ce sont des maudits ! » Nicodème, l’un d’entre eux, celui qui était allé précédemment trouver Jésus, leur dit : « Notre Loi permet-elle de juger un homme sans l’entendre d’abord pour savoir ce qu’il a fait ? » Ils lui répondirent : « Serais-tu, toi aussi, de Galilée ? Cherche bien, et tu verras que jamais aucun prophète ne surgit de Galilée ! » Puis ils s’en allèrent chacun chez soi.
Prière d'introduction
Nul ne pourrait te chercher avec droiture sans te trouver. Te chercher avec droiture veut dire te chercher comme tu veux que l’on te cherche. Apprends-moi, Seigneur, à te chercher. Que, te cherchant, je ne rencontre rien d’autre que toi. S’il est vrai que je ne désire rien d’autre que toi, donne-moi, Père, de te trouver. S’il existe en moi d’autres désirs, de vaines attentes, purifie-moi et rends-moi ainsi capable de te voir (Saint Augustin, Soliloques, L 1, 5-6).
Demande
Seigneur, donne-moi une certitude intérieure que tu es la Vérité, le Chemin et la Vie. Dissipe les ténèbres de doute et d’amour propre qui m’empêchent de voir l’éclat de ta présence dans ma vie.
Points de réflexion
1.Les foules sont divisées au sujet de Jésus, ils se demandent qui il est. Il y a ceux qui reconnaissent la puissance de ses paroles et de ses gestes.
C’est une clairvoyance que saint Jean l’évangéliste met en scène de manière tristement ironique dans le chapitre 9 de son Évangile.
Un homme aveugle est guéri par Jésus. Les pharisiens et chefs veulent taire ce miracle. Ils l’appellent pour comparaître devant eux et essaient de lui faire renier le pouvoir de Jésus, car, ils disent : « nous ne savons pas d’où il vient ».
L’ancien aveugle répond avec une logique imbattable :
« Voilà bien ce qui est étonnant ! Vous ne savez pas d’où il est, et pourtant il m’a ouvert les yeux.
Dieu, nous le savons, n’exauce pas les pécheurs, mais si quelqu’un l’honore et fait sa volonté, il l’exauce. Jamais encore on n’avait entendu dire que quelqu’un ait ouvert les yeux à un aveugle de naissance. Si lui n’était pas de Dieu, il ne pourrait rien faire » (cf. 9, 22-32).
L’aveugle reconnaît la présence du Christ dans son miracle parce qu’il sait que seul Dieu peut changer sa vie et lui donner du sens. Il est humble dans le plein sens de mot : il voit clairement qui il est et qui est Dieu par rapport à lui. C’est pourquoi, malgré le mauvais traitement qu’il reçoit des mains des pharisiens, il refuse de renier le Christ.
Quand il rencontre Jésus à nouveau, il tombe à ses pieds et dit sans hésitation : « Je crois, Seigneur ! »
Ceux qui reconnaissent directement la présence de Dieu dans les paroles de Jésus sont ceux qui l’attendent, qui ont besoin de lui.
Nous sommes ces membres de la foule qui disent « c’est lui ! » à un monde qui ne croit plus en lui.
2. Dans la foule, d’autres écartent la possibilité que Jésus soit le Messie.
Saint Jean Chrysostome décrit ces personnes : « Ils connaissaient donc les prophéties qui avaient le Christ pour objet, mais ils ne savaient pas qu’elles avaient leur accomplissement en Jésus, ils savaient qu’il avait été élevé à Nazareth, mais ils ne songeaient pas à s’informer du lieu de sa naissance, et ils ne croyaient pas que la prophétie qu’ils avaient sous les yeux était accomplie en lui "
Selon saint Jean, alors, cet « agnosticisme » par rapport à Jésus commence par un manque d’espérance.
Au fond d’eux, ils n’osent pas croire que le Messie viendra vraiment un jour. Ensuite, il s’aggrave avec un manque d’information. Ils ne prennent pas le temps de demander où est né Jésus.
Ils vivent des ouï-dire et de leur intuition.
Des petits agnosticismes, des doutes nous arrivent souvent quand nous souffrons, devant une décision difficile, parfois aussi quand tout va bien et quand Dieu n’est pas nécessaire à notre existence et notre bonheur.
Nous laissons la désillusion ou la satiété couvrir notre besoin de Dieu. Nous manquons d’espérance. Et ensuite, nous ne « songeons pas à nous informer » à travers la Parole de Dieu, auprès des ministres de l’Église, dans la prière personnelle.
Cette figure de la foule est aussi la nôtre.
3. « Jamais un homme n’a parlé de la sorte ! »
expliquent les gardes. Prenons un moment à la fin de cette méditation pour contempler ce Christ qui a séduit même ceux qui devaient l’arrêter.
Dans notre témoignage comme dans notre doute, le plus essentiel est de fixer nos yeux sur le Christ et laisser que son regard nous traverse, qu’il voit jusqu’au fond de notre âme, et que nous nous laissons perdre dans ce regard franc et clair, sans apparence ni a priori. Un regard qui nous permet d’exister et qui permet au Christ d’exister en nous.
Dialogue avec le Christ
Où est-ce que je me situe dans ce passage ? Du côté de la foule qui croit ? Ou bien du côté de la foule qui doute ? Si nous nous trouvons plus dans la joie et la reconnaissance de la présence de Jésus, le remercier pour sa consolation et demander qu’il nous donne l’occasion de partager notre certitude avec d’autres. Si nous sommes dans une doute, se remémorer des moments où nous avons reconnu la présence du Christ et quand nous avons acclamé « c’est lui ! », le remercier pour ces moments et lui demander de nous fortifier dans notre foi au milieu de la désolation.
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Pharisiens
Invité- Invité
- Message n°135
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonsoir Maud
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Dimanche 13 Mars 2016
5ième Dimanche de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
Lien :
http://www.ktotv.com/emissions/priere-et-vie-de-l-eglise/priere/en-marche-vers-dimanche
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Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
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(Première lecture)
Livre du Prophète Isaïe 43 : 16 à 21
« Voici que Je fais une chose nouvelle, Je vais désaltérer Mon Peuple »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR,
LUI qui fit un chemin dans la mer,
un sentier dans les eaux puissantes,
LUI qui mit en campagne des chars et des chevaux,
des troupes et de puissants guerriers ;
les voilà tous couchés pour ne plus se relever,
ils se sont éteints, consumés comme une mèche.
Le SEIGNEUR dit :
« Ne faites plus mémoire des événements passés,
ne songez plus aux choses d’autrefois.
Voici que Je fais une chose nouvelle :
elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ?
Oui, Je vais faire passer un chemin dans le désert,
des fleuves dans les lieux arides.
Les bêtes sauvages Me rendront gloire
– les chacals et les autruches –
parce que J’aurai fait couler de l’eau dans le désert,
des fleuves dans les lieux arides,
pour désaltérer Mon Peuple,
celui que J’ai choisi.
Ce peuple que Je Me suis façonné
redira MA LOUANGE. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre du Prophète Isaïe 43 : 16 à 21
« Voici que Je fais une chose nouvelle, Je vais désaltérer Mon Peuple »
Ainsi PARLE le SEIGNEUR,
LUI qui fit un chemin dans la mer,
un sentier dans les eaux puissantes,
LUI qui mit en campagne des chars et des chevaux,
des troupes et de puissants guerriers ;
les voilà tous couchés pour ne plus se relever,
ils se sont éteints, consumés comme une mèche.
Le SEIGNEUR dit :
« Ne faites plus mémoire des événements passés,
ne songez plus aux choses d’autrefois.
Voici que Je fais une chose nouvelle :
elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ?
Oui, Je vais faire passer un chemin dans le désert,
des fleuves dans les lieux arides.
Les bêtes sauvages Me rendront gloire
– les chacals et les autruches –
parce que J’aurai fait couler de l’eau dans le désert,
des fleuves dans les lieux arides,
pour désaltérer Mon Peuple,
celui que J’ai choisi.
Ce peuple que Je Me suis façonné
redira MA LOUANGE. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Des pleurs changés en joie
Chant des pèlerinages.
Psaume 125 (126) : 1 et 2ab, 2cd et 3, 4 et 5, 6
R/ Quelles MERVEILLES le SEIGNEUR fit pour nous : nous étions en grande fête !
Quand le SEIGNEUR ramena les captifs à Sion,
nous étions comme en rêve !
Alors notre bouche était pleine de rires,
nous poussions des cris de joie.
R/
Alors on disait parmi les nations :
« Quelles MERVEILLES fait pour eux le SEIGNEUR ! »
Quelles MERVEILLES le SEIGNEUR fit pour nous :
nous étions en grande fête !
R/
Ramène, SEIGNEUR, nos captifs,
comme les torrents au désert.
Qui sème dans les larmes
moissonne dans la joie.
R/
Il s’en va, il s’en va en pleurant,
il jette la semence ;
il s’en vient, il s’en vient dans la joie,
il rapporte les gerbes.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Quand le SEIGNEUR ramena les captifs à Sion,
nous étions comme en rêve !
Alors notre bouche était pleine de rires,
nous poussions des cris de joie.
R/
Alors on disait parmi les nations :
« Quelles MERVEILLES fait pour eux le SEIGNEUR ! »
Quelles MERVEILLES le SEIGNEUR fit pour nous :
nous étions en grande fête !
R/
Ramène, SEIGNEUR, nos captifs,
comme les torrents au désert.
Qui sème dans les larmes
moissonne dans la joie.
R/
Il s’en va, il s’en va en pleurant,
il jette la semence ;
il s’en vient, il s’en vient dans la joie,
il rapporte les gerbes.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
(Deuxième lecture)
Lettre de Saint Paul apôtre aux Philippiens 3 : 8 à 14
« À cause du CHRIST, j’ai tout perdu, en devenant semblable à LUI dans sa mort »
Frères,
tous les avantages que j’avais autrefois,
je les considère comme une perte
à cause de ce bien qui dépasse tout :
la CONNAISSANCE DU CHRIST JÉSUS, mon SEIGNEUR.
À cause de LUI, j’ai tout perdu ;
je considère tout comme des ordures,
afin de gagner un seul avantage, le CHRIST,
et, en LUI, d’être reconnu juste,
non pas de la justice venant de la Loi de Moïse
mais de celle qui vient de la FOI AU CHRIST,
la JUSTICE venant de DIEU, qui est fondée sur la foi.
Il s’agit pour moi de connaître le CHRIST,
d’éprouver la PUISSANCE DE SA RÉSURRECTION
et de communier aux souffrances de SA PASSION,
en devenant semblable à LUI dans sa mort,
avec l’espoir de parvenir
à la résurrection d’entre les morts.
Certes, je n’ai pas encore obtenu cela,
je n’ai pas encore atteint la perfection,
mais je poursuis ma course pour tâcher de saisir,
puisque j’ai moi-même été saisi par le CHRIST JÉSUS.
Frères, quant à moi, je ne pense pas avoir déjà saisi cela.
Une seule chose compte :
oubliant ce qui est en arrière, et lancé vers l’avant,
je cours vers le but en vue du prix
auquel DIEU nous appelle LÀ-HAUT dans le CHRIST JÉSUS.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Lettre de Saint Paul apôtre aux Philippiens 3 : 8 à 14
« À cause du CHRIST, j’ai tout perdu, en devenant semblable à LUI dans sa mort »
Frères,
tous les avantages que j’avais autrefois,
je les considère comme une perte
à cause de ce bien qui dépasse tout :
la CONNAISSANCE DU CHRIST JÉSUS, mon SEIGNEUR.
À cause de LUI, j’ai tout perdu ;
je considère tout comme des ordures,
afin de gagner un seul avantage, le CHRIST,
et, en LUI, d’être reconnu juste,
non pas de la justice venant de la Loi de Moïse
mais de celle qui vient de la FOI AU CHRIST,
la JUSTICE venant de DIEU, qui est fondée sur la foi.
Il s’agit pour moi de connaître le CHRIST,
d’éprouver la PUISSANCE DE SA RÉSURRECTION
et de communier aux souffrances de SA PASSION,
en devenant semblable à LUI dans sa mort,
avec l’espoir de parvenir
à la résurrection d’entre les morts.
Certes, je n’ai pas encore obtenu cela,
je n’ai pas encore atteint la perfection,
mais je poursuis ma course pour tâcher de saisir,
puisque j’ai moi-même été saisi par le CHRIST JÉSUS.
Frères, quant à moi, je ne pense pas avoir déjà saisi cela.
Une seule chose compte :
oubliant ce qui est en arrière, et lancé vers l’avant,
je cours vers le but en vue du prix
auquel DIEU nous appelle LÀ-HAUT dans le CHRIST JÉSUS.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 1 à 11
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR.
GLOIRE À TOI.
Maintenant, dit le SEIGNEUR,
revenez à Moi de tout votre cœur,
car JE SUIS TENDRE ET MISÉRICORDIEUX.
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR.
GLOIRE À TOI.
(cf. Jl 2, 12b.13c)
« Celui d’entre-vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à jeter une pierre »
En ce temps-là,
JÉSUS s’en alla au mont des Oliviers.
Dès l’aurore, IL retourna au Temple.
Comme tout le peuple venait à LUI,
IL s’assit et se mit à enseigner.
Les scribes et les pharisiens LUI amènent une femme
qu’on avait surprise en situation d’adultère.
Ils la mettent au milieu,
et disent à JÉSUS :
« MAÎTRE, cette femme
a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné
de lapider ces femmes-là.
Et TOI, que dis-TU ? »
Ils parlaient ainsi pour LE mettre à l’épreuve,
afin de pouvoir L’accuser.
Mais JÉSUS s’était baissé
et, du doigt, IL écrivait sur la terre.
Comme on persistait à L’interroger,
IL se redressa et leur dit :
« Celui d’entre vous qui est sans péché,
qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. »
IL se baissa de nouveau
et IL écrivait sur la terre.
Eux, après avoir entendu cela,
s’en allaient un par un,
en commençant par les plus âgés.
JÉSUS resta seul avec la femme toujours là au milieu.
IL se redressa et lui demanda :
« Femme, où sont-ils donc ?
Personne ne t’a condamnée ? »
Elle répondit :
« Personne, SEIGNEUR. »
Et JÉSUS lui dit :
« Moi non plus, Je ne te condamne pas.
Va, et désormais ne pèche plus. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR.
GLOIRE À TOI.
Maintenant, dit le SEIGNEUR,
revenez à Moi de tout votre cœur,
car JE SUIS TENDRE ET MISÉRICORDIEUX.
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR.
GLOIRE À TOI.
(cf. Jl 2, 12b.13c)
« Celui d’entre-vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à jeter une pierre »
En ce temps-là,
JÉSUS s’en alla au mont des Oliviers.
Dès l’aurore, IL retourna au Temple.
Comme tout le peuple venait à LUI,
IL s’assit et se mit à enseigner.
Les scribes et les pharisiens LUI amènent une femme
qu’on avait surprise en situation d’adultère.
Ils la mettent au milieu,
et disent à JÉSUS :
« MAÎTRE, cette femme
a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné
de lapider ces femmes-là.
Et TOI, que dis-TU ? »
Ils parlaient ainsi pour LE mettre à l’épreuve,
afin de pouvoir L’accuser.
Mais JÉSUS s’était baissé
et, du doigt, IL écrivait sur la terre.
Comme on persistait à L’interroger,
IL se redressa et leur dit :
« Celui d’entre vous qui est sans péché,
qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. »
IL se baissa de nouveau
et IL écrivait sur la terre.
Eux, après avoir entendu cela,
s’en allaient un par un,
en commençant par les plus âgés.
JÉSUS resta seul avec la femme toujours là au milieu.
IL se redressa et lui demanda :
« Femme, où sont-ils donc ?
Personne ne t’a condamnée ? »
Elle répondit :
« Personne, SEIGNEUR. »
Et JÉSUS lui dit :
« Moi non plus, Je ne te condamne pas.
Va, et désormais ne pèche plus. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=13/03/2016
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Manuela- Messages : 300
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- Message n°136
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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- Message n°137
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que ce Saint Dimanche soit béni et éclairé par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Dimanche 13 Mars 2016
La femme adultère
Evangile selon St Jean 8, 1-11
Quant à Jésus, il s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner.
Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? »
Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre.
Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.
Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
Prière d'introduction
Seigneur, je te rends grâce pour ce nouveau jour, pour toutes les grâces que tu m’as données, de m’avoir créé, aimé, pardonné et sauvé, de m’avoir donné la grâce de la foi et de me savoir aimé. Merci également de me pardonner les péchés que j’ai commis et qui t’ont offensé.
Demande
Aide-moi à me rendre compte de la gravité de mon péché et aussi de la grande miséricorde que tu as pour tes enfants.
Points de réflexion
1.« Que celui de vous qui est sans péché envoie la première pierre ».
La loi de Moïse demandait que les femmes adultères soient lapidées, mais le Christ est venu accomplir la loi de Dieu par la miséricorde et le pardon.
Le Christ savait ce qu’il y avait dans le cœur de ces hommes, il connaissait chacun d’entre eux comme il nous connaît et il sait tous nos péchés.
Le Christ veut le bien de chacun d’entre nous et il veut notre bonheur. Critiquer les autres, mal en parler, nous amènera évidemment vers une spirale interminable de haine, d’insatisfaction, d’intolérance et de manque de pardon envers l’autre.
Le Christ est venu nous enseigner le pardon comme nous le disons dans le Notre Père, il veut le meilleur pour nous et ce chemin, celui du pardon, est celui qu’il nous recommande pour arriver au ciel.
Mère Teresa de Calcutta raconte une histoire sur le pardon qu’il fallait vivre :
« Nous sommes créés pour aimer et être aimés.
Un jeune se mourait ; pourtant pendant trois jours il lutta pour prolonger sa vie.
La sœur qui veillait sur lui demanda :
Pourquoi prolonges-tu cette lutte ? Je ne peux mourir sans demander pardon à mon père, répondit-il.
Quand vint son père ils s’enlacèrent et le jeune lui demanda pardon.
À deux heures le jeune expira, rempli de paix ».
2. « Femme, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? »
Après ce qu’avait dit Jésus, chacun des hommes prêts à lapider la femme adultère pour son péché remirent les pierres sur le sol et quittèrent le lieu.
Ils se rendirent compte qu’eux-mêmes étaient pécheurs, certains plus encore que la femme et qu’il était incohérent de lancer des pierres et de la tuer pour quelque chose qu’eux-mêmes, peut-être, avaient commis.
La cohérence de la vie, surtout pour des chrétiens, est très importante.
Dans le monde actuel on est très sensible à cela, à vivre en conformité avec ce que l’on pense et déclare ; nous, chrétiens, avons un rôle important dans ce domaine.
Souvent nous ne convainquons pas notre prochain que Jésus l’aime parce qu’il ne voit pas en notre vie la conséquence de cet amour, nous disons une chose et nous en faisons une autre.
Il est vrai que nous sommes humains et que nous aurons des chutes, certaines très graves et que nous devons aussi en demander pardon au Seigneur, sachant que cette chute vient de notre faiblesse humaine.
Ayons espérance et confiance envers Jésus, sachant que lui ne nous laissera jamais seuls dans la lutte quotidienne pour la sainteté.
3. « Moi non plus je ne te condamne pas. Va et ne pèche plus ».
Une des idées qui m’a le plus inspiré est celle de l’heure de la mort, notre rencontre définitive avec le Christ :
le Christ ne nous condamne pas. Le Christ ne condamne pas mais il pardonne quand il voit une âme repentie et disposée à ne plus pécher.
Dieu est infiniment juste, c’est vrai, mais paradoxalement il est aussi infiniment miséricordieux et c’est un des plus grands exemples que nous ayons dans l’Évangile.
Le père Jacques Philippe a une grande phrase à propos du pardon de Dieu : « Dieu veut nous concéder que nous pardonnions comme seul lui en est capable et que de cette façon nous devenions semblables à lui, parce que Dieu n’est jamais autant Dieu que lorsqu’il pardonne »
Dieu veut que nous soyons comme lui, et être comme lui implique aussi de pardonner comme lui.
Dans notre vie nous sommes en but avec des circonstances difficiles, qui peuvent faire beaucoup souffrir, mais n’oublions pas que tout a une fin, toutes les difficultés ou les douleurs sont temporaires et si nous ne les maîtrisons pas bien elles peuvent nous enlever paix et bonheur.
Essayons de suivre l’exemple du Christ, essayons de convertir ce monde en un lieu un peu plus chrétien. Nos actes importent et affectent la vie de ceux qui nous côtoient, autant dans le bien que dans le mal ; soyons déterminés à toujours chercher à faire le bien.
Dialogue avec le Christ
Père, je me déclare coupable, je demande clémence, pardon pour mes péchés. Je m’approche de toi avec une confiance absolue parce que je sais que tu préfères la pénitence à la mort du pécheur. Tu n’aimes ni la vengeance ni la rancœur, ton cœur est compatissant et miséricordieux, et je sais que tu espères seulement que j’aie l’humilité de reconnaître mon péché, de me repentir et de demander pardon pour profiter de l’abondance de ta miséricorde. « Quand nous confessons nos péchés, Dieu, fidèle et juste, nous les pardonne » (1 Jn 1, 9). Je fixe l’horizon : j’aperçois tes bras ouverts et un cœur de Père désirant m’attirer dans les liens d’un amour infini. Père, pardonne-moi, je veux recevoir ton étreinte éternelle.
Résolution
Nous proposons deux résolutions pour aujourd’hui : Jésus, aide-moi à pardonner à celui qui m’a fait du mal, qui m’a blessé ou fait souffrir. Je sais que sans toi je ne peux rien, aussi je te demande ton aide. Que je prenne conscience de mon péché, de la douleur qu’il t’a causé et que je puisse t’en demander pardon.
SOURCE : Catholique.org
La femme adultère
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que ce Saint Dimanche soit béni et éclairé par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Dimanche 13 Mars 2016
La femme adultère
Evangile selon St Jean 8, 1-11
Quant à Jésus, il s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner.
Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? »
Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre.
Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.
Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
Prière d'introduction
Seigneur, je te rends grâce pour ce nouveau jour, pour toutes les grâces que tu m’as données, de m’avoir créé, aimé, pardonné et sauvé, de m’avoir donné la grâce de la foi et de me savoir aimé. Merci également de me pardonner les péchés que j’ai commis et qui t’ont offensé.
Demande
Aide-moi à me rendre compte de la gravité de mon péché et aussi de la grande miséricorde que tu as pour tes enfants.
Points de réflexion
1.« Que celui de vous qui est sans péché envoie la première pierre ».
La loi de Moïse demandait que les femmes adultères soient lapidées, mais le Christ est venu accomplir la loi de Dieu par la miséricorde et le pardon.
Le Christ savait ce qu’il y avait dans le cœur de ces hommes, il connaissait chacun d’entre eux comme il nous connaît et il sait tous nos péchés.
Le Christ veut le bien de chacun d’entre nous et il veut notre bonheur. Critiquer les autres, mal en parler, nous amènera évidemment vers une spirale interminable de haine, d’insatisfaction, d’intolérance et de manque de pardon envers l’autre.
Le Christ est venu nous enseigner le pardon comme nous le disons dans le Notre Père, il veut le meilleur pour nous et ce chemin, celui du pardon, est celui qu’il nous recommande pour arriver au ciel.
Mère Teresa de Calcutta raconte une histoire sur le pardon qu’il fallait vivre :
« Nous sommes créés pour aimer et être aimés.
Un jeune se mourait ; pourtant pendant trois jours il lutta pour prolonger sa vie.
La sœur qui veillait sur lui demanda :
Pourquoi prolonges-tu cette lutte ? Je ne peux mourir sans demander pardon à mon père, répondit-il.
Quand vint son père ils s’enlacèrent et le jeune lui demanda pardon.
À deux heures le jeune expira, rempli de paix ».
2. « Femme, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? »
Après ce qu’avait dit Jésus, chacun des hommes prêts à lapider la femme adultère pour son péché remirent les pierres sur le sol et quittèrent le lieu.
Ils se rendirent compte qu’eux-mêmes étaient pécheurs, certains plus encore que la femme et qu’il était incohérent de lancer des pierres et de la tuer pour quelque chose qu’eux-mêmes, peut-être, avaient commis.
La cohérence de la vie, surtout pour des chrétiens, est très importante.
Dans le monde actuel on est très sensible à cela, à vivre en conformité avec ce que l’on pense et déclare ; nous, chrétiens, avons un rôle important dans ce domaine.
Souvent nous ne convainquons pas notre prochain que Jésus l’aime parce qu’il ne voit pas en notre vie la conséquence de cet amour, nous disons une chose et nous en faisons une autre.
Il est vrai que nous sommes humains et que nous aurons des chutes, certaines très graves et que nous devons aussi en demander pardon au Seigneur, sachant que cette chute vient de notre faiblesse humaine.
Ayons espérance et confiance envers Jésus, sachant que lui ne nous laissera jamais seuls dans la lutte quotidienne pour la sainteté.
3. « Moi non plus je ne te condamne pas. Va et ne pèche plus ».
Une des idées qui m’a le plus inspiré est celle de l’heure de la mort, notre rencontre définitive avec le Christ :
le Christ ne nous condamne pas. Le Christ ne condamne pas mais il pardonne quand il voit une âme repentie et disposée à ne plus pécher.
Dieu est infiniment juste, c’est vrai, mais paradoxalement il est aussi infiniment miséricordieux et c’est un des plus grands exemples que nous ayons dans l’Évangile.
Le père Jacques Philippe a une grande phrase à propos du pardon de Dieu : « Dieu veut nous concéder que nous pardonnions comme seul lui en est capable et que de cette façon nous devenions semblables à lui, parce que Dieu n’est jamais autant Dieu que lorsqu’il pardonne »
Dieu veut que nous soyons comme lui, et être comme lui implique aussi de pardonner comme lui.
Dans notre vie nous sommes en but avec des circonstances difficiles, qui peuvent faire beaucoup souffrir, mais n’oublions pas que tout a une fin, toutes les difficultés ou les douleurs sont temporaires et si nous ne les maîtrisons pas bien elles peuvent nous enlever paix et bonheur.
Essayons de suivre l’exemple du Christ, essayons de convertir ce monde en un lieu un peu plus chrétien. Nos actes importent et affectent la vie de ceux qui nous côtoient, autant dans le bien que dans le mal ; soyons déterminés à toujours chercher à faire le bien.
Dialogue avec le Christ
Père, je me déclare coupable, je demande clémence, pardon pour mes péchés. Je m’approche de toi avec une confiance absolue parce que je sais que tu préfères la pénitence à la mort du pécheur. Tu n’aimes ni la vengeance ni la rancœur, ton cœur est compatissant et miséricordieux, et je sais que tu espères seulement que j’aie l’humilité de reconnaître mon péché, de me repentir et de demander pardon pour profiter de l’abondance de ta miséricorde. « Quand nous confessons nos péchés, Dieu, fidèle et juste, nous les pardonne » (1 Jn 1, 9). Je fixe l’horizon : j’aperçois tes bras ouverts et un cœur de Père désirant m’attirer dans les liens d’un amour infini. Père, pardonne-moi, je veux recevoir ton étreinte éternelle.
Résolution
Nous proposons deux résolutions pour aujourd’hui : Jésus, aide-moi à pardonner à celui qui m’a fait du mal, qui m’a blessé ou fait souffrir. Je sais que sans toi je ne peux rien, aussi je te demande ton aide. Que je prenne conscience de mon péché, de la douleur qu’il t’a causé et que je puisse t’en demander pardon.
SOURCE : Catholique.org
La femme adultère
Invité- Invité
- Message n°138
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonsoir Maud
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Lundi 14 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=14/03/2016
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
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Bonsoir à toutes et à tous
Lundi 14 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
(Première lecture)
Livre du Prophète Daniel 13 : 41c à 62
« Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait de tout cela »
En ces jours-là,
le peuple venait de condamner à mort Suzanne.
Alors elle cria d’une voix forte :
« DIEU ÉTERNEL,
TOI qui pénètres les secrets,
TOI qui connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent,
TU sais qu’ils ont porté contre moi un faux témoignage.
Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait
de tout ce que leur méchanceté a imaginé contre moi. »
Le SEIGNEUR entendit sa voix.
Comme on la conduisait à la mort,
DIEU éveilla l’Esprit de Sainteté
chez un tout jeune garçon nommé Daniel,
qui se mit à crier d’une voix forte :
« Je suis innocent
de la mort de cette femme ! »
Tout le peuple se tourna vers lui et on lui demanda :
« Que signifie cette parole que tu as prononcée ? »
Alors, debout au milieu du peuple, il leur dit :
« Fils d’Israël, vous êtes donc fous ?
Sans interrogatoire, sans recherche de la vérité,
vous avez condamné une fille d’Israël.
Revenez au tribunal,
car ces gens-là ont porté contre elle un faux témoignage. »
Tout le peuple revint donc en hâte,
et le collège des anciens dit à Daniel :
« Viens siéger au milieu de nous
et donne-nous des explications,
car DIEU a déjà fait de toi un ancien. »
Et Daniel leur dit :
« Séparez-les bien l’un de l’autre,
je vais les interroger. »
Quand on les eut séparés,
Daniel appela le premier et lui dit :
« Toi qui as vieilli dans le mal,
tu portes maintenant le poids des péchés
que tu as commis autrefois
en jugeant injustement :
tu condamnais les innocents
et tu acquittais les coupables,
alors que le SEIGNEUR a dit :
“Tu ne feras pas mourir l’innocent et le juste.”
Eh bien ! si réellement tu as vu cette femme,
dis-nous sous quel arbre
tu les as vus se donner l’un à l’autre ? »
Il répondit :
« Sous un sycomore. »
Daniel dit :
« Voilà justement un mensonge qui te condamne :
l’Ange de DIEU a reçu un ORDRE DE DIEU,
et il va Te mettre à mort. »
Daniel le renvoya, fit amener l’autre
et lui dit :
« Tu es de la race de Canaan et non de Juda !
La beauté t’a dévoyé
et le désir a perverti ton cœur.
C’est ainsi que vous traitiez les filles d’Israël,
et, par crainte, elles se donnaient à vous.
Mais une fille de Juda
n’a pu consentir à votre crime.
Dis-moi donc sous quel arbre
tu les as vus se donner l’un à l’autre ? »
Il répondit :
« Sous un châtaignier. »
Daniel lui dit :
« Toi aussi, voilà justement un mensonge qui te condamne :
l’Ange de DIEU attend, l’épée à la main,
pour te châtier,
et vous faire exterminer. »
Alors toute l’assemblée poussa une grande clameur
et bénit DIEU qui sauve ceux qui espèrent en LUI.
Puis elle se retourna contre les deux anciens
que Daniel avait convaincus de faux témoignage
par leur propre bouche.
Conformément à la Loi de Moïse,
on leur fit subir la peine
que leur méchanceté avait imaginée contre leur prochain :
on les mit à mort.
Et ce jour-là, une vie innocente fut épargnée.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre du Prophète Daniel 13 : 41c à 62
« Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait de tout cela »
En ces jours-là,
le peuple venait de condamner à mort Suzanne.
Alors elle cria d’une voix forte :
« DIEU ÉTERNEL,
TOI qui pénètres les secrets,
TOI qui connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent,
TU sais qu’ils ont porté contre moi un faux témoignage.
Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait
de tout ce que leur méchanceté a imaginé contre moi. »
Le SEIGNEUR entendit sa voix.
Comme on la conduisait à la mort,
DIEU éveilla l’Esprit de Sainteté
chez un tout jeune garçon nommé Daniel,
qui se mit à crier d’une voix forte :
« Je suis innocent
de la mort de cette femme ! »
Tout le peuple se tourna vers lui et on lui demanda :
« Que signifie cette parole que tu as prononcée ? »
Alors, debout au milieu du peuple, il leur dit :
« Fils d’Israël, vous êtes donc fous ?
Sans interrogatoire, sans recherche de la vérité,
vous avez condamné une fille d’Israël.
Revenez au tribunal,
car ces gens-là ont porté contre elle un faux témoignage. »
Tout le peuple revint donc en hâte,
et le collège des anciens dit à Daniel :
« Viens siéger au milieu de nous
et donne-nous des explications,
car DIEU a déjà fait de toi un ancien. »
Et Daniel leur dit :
« Séparez-les bien l’un de l’autre,
je vais les interroger. »
Quand on les eut séparés,
Daniel appela le premier et lui dit :
« Toi qui as vieilli dans le mal,
tu portes maintenant le poids des péchés
que tu as commis autrefois
en jugeant injustement :
tu condamnais les innocents
et tu acquittais les coupables,
alors que le SEIGNEUR a dit :
“Tu ne feras pas mourir l’innocent et le juste.”
Eh bien ! si réellement tu as vu cette femme,
dis-nous sous quel arbre
tu les as vus se donner l’un à l’autre ? »
Il répondit :
« Sous un sycomore. »
Daniel dit :
« Voilà justement un mensonge qui te condamne :
l’Ange de DIEU a reçu un ORDRE DE DIEU,
et il va Te mettre à mort. »
Daniel le renvoya, fit amener l’autre
et lui dit :
« Tu es de la race de Canaan et non de Juda !
La beauté t’a dévoyé
et le désir a perverti ton cœur.
C’est ainsi que vous traitiez les filles d’Israël,
et, par crainte, elles se donnaient à vous.
Mais une fille de Juda
n’a pu consentir à votre crime.
Dis-moi donc sous quel arbre
tu les as vus se donner l’un à l’autre ? »
Il répondit :
« Sous un châtaignier. »
Daniel lui dit :
« Toi aussi, voilà justement un mensonge qui te condamne :
l’Ange de DIEU attend, l’épée à la main,
pour te châtier,
et vous faire exterminer. »
Alors toute l’assemblée poussa une grande clameur
et bénit DIEU qui sauve ceux qui espèrent en LUI.
Puis elle se retourna contre les deux anciens
que Daniel avait convaincus de faux témoignage
par leur propre bouche.
Conformément à la Loi de Moïse,
on leur fit subir la peine
que leur méchanceté avait imaginée contre leur prochain :
on les mit à mort.
Et ce jour-là, une vie innocente fut épargnée.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Le SEIGNEUR est mon berger
Psaume appartenant au recueil de David.
[Psaume 22 (23) ; entièrement]
[Psaume 22 (23) ; entièrement]
Psaume 22 (23) : 1 et 2ab, 2c et 3, 4, 5, 6
R/ Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal, car TU es avec moi, SEIGNEUR.
Le SEIGNEUR est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
IL me fait reposer.
R/
IL me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
IL me conduit par le juste chemin
pour l’HONNEUR de SON NOM.
R/
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car TU es avec moi :
TON BÂTON me guide et me rassure.
R/
TU prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
TU répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
R/
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la MAISON DU SEIGNEUR
pour la durée de mes jours.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
je ne crains aucun mal, car TU es avec moi, SEIGNEUR.
Le SEIGNEUR est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
IL me fait reposer.
R/
IL me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
IL me conduit par le juste chemin
pour l’HONNEUR de SON NOM.
R/
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car TU es avec moi :
TON BÂTON me guide et me rassure.
R/
TU prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
TU répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
R/
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la MAISON DU SEIGNEUR
pour la durée de mes jours.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 12 à 20
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
Je ne prends pas plaisir à la mort du méchant, dit le SEIGNEUR. Qu’il se détourne de sa conduite, et qu’il vive !
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(cf. Ez 33, 11)
« JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux pharisiens :
« Moi, JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE.
Celui qui Me suit ne marchera pas dans les ténèbres,
il aura la LUMIÈRE DE LA VIE. »
Les pharisiens LUI dirent alors :
« Tu te rends témoignage à toi-même,
ce n’est donc pas un vrai témoignage. »
JÉSUS leur répondit :
« Oui, Moi, Je me rends témoignage à MOI-MÊME,
et pourtant MON TÉMOIGNAGE EST VRAI,
car Je sais D’OÙ JE SUIS VENU,
et où Je vais ;
mais vous, vous ne savez ni d’où Je viens,
ni où Je vais.
Vous, vous jugez de façon purement humaine.
Moi, Je ne juge personne.
Et, s’il m’arrive de juger,
MON JUGEMENT EST VRAI
parce que JE NE SUIS PAS SEUL :
J’ai avec Moi le PÈRE, qui M’a envoyé.
Or, il est écrit dans votre Loi
que, s’il y a deux témoins,
c’est un vrai témoignage.
Moi, JE SUIS À MOI-MÊME MON PROPRE TÉMOIN,
et le PÈRE, qui M’a envoyé, témoigne aussi pour Moi. »
Les pharisiens LUI disaient :
« Où est-IL, TON PÈRE ? »
JÉSUS répondit :
« Vous ne connaissez ni Moi ni MON PÈRE ;
si vous Me connaissiez, vous connaîtriez aussi MON PÈRE. »
IL prononça CES PAROLES
alors qu’IL enseignait dans le Temple,
à la salle du Trésor.
Et personne ne L’arrêta,
parce que SON HEURE n’était pas encore venue.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
Je ne prends pas plaisir à la mort du méchant, dit le SEIGNEUR. Qu’il se détourne de sa conduite, et qu’il vive !
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ, ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(cf. Ez 33, 11)
« JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux pharisiens :
« Moi, JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE.
Celui qui Me suit ne marchera pas dans les ténèbres,
il aura la LUMIÈRE DE LA VIE. »
Les pharisiens LUI dirent alors :
« Tu te rends témoignage à toi-même,
ce n’est donc pas un vrai témoignage. »
JÉSUS leur répondit :
« Oui, Moi, Je me rends témoignage à MOI-MÊME,
et pourtant MON TÉMOIGNAGE EST VRAI,
car Je sais D’OÙ JE SUIS VENU,
et où Je vais ;
mais vous, vous ne savez ni d’où Je viens,
ni où Je vais.
Vous, vous jugez de façon purement humaine.
Moi, Je ne juge personne.
Et, s’il m’arrive de juger,
MON JUGEMENT EST VRAI
parce que JE NE SUIS PAS SEUL :
J’ai avec Moi le PÈRE, qui M’a envoyé.
Or, il est écrit dans votre Loi
que, s’il y a deux témoins,
c’est un vrai témoignage.
Moi, JE SUIS À MOI-MÊME MON PROPRE TÉMOIN,
et le PÈRE, qui M’a envoyé, témoigne aussi pour Moi. »
Les pharisiens LUI disaient :
« Où est-IL, TON PÈRE ? »
JÉSUS répondit :
« Vous ne connaissez ni Moi ni MON PÈRE ;
si vous Me connaissiez, vous connaîtriez aussi MON PÈRE. »
IL prononça CES PAROLES
alors qu’IL enseignait dans le Temple,
à la salle du Trésor.
Et personne ne L’arrêta,
parce que SON HEURE n’était pas encore venue.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile + commentaire (audio)
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=14/03/2016
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http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Manuela- Messages : 300
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- Message n°139
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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- Message n°140
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Lundi 14 Mars 2016
. Tu es la lumière du monde
Evangile selon St Jean 8, 12-20
De nouveau, Jésus leur parla : « Moi, je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie. » Les pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même, ce n’est donc pas un vrai témoignage » Jésus leur répondit : « Oui, moi, je me rends témoignage à moi-même, et pourtant mon témoignage est vrai, car je sais d’où je suis venu, et où je vais ; mais vous, vous ne savez ni d’où je viens, ni où je vais.
Vous, vous jugez de façon purement humaine. Moi, je ne juge personne. Et, s’il m’arrive de juger, mon jugement est vrai parce que je ne suis pas seul : j’ai avec moi le Père, qui m’a envoyé.
Or, il est écrit dans votre Loi que, s’il y a deux témoins, c’est un vrai témoignage.
Moi, je suis à moi-même mon propre témoin, et le Père, qui m’a envoyé, témoigne aussi pour moi. »
Les pharisiens lui disaient : « Où est-il, ton père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Il prononça ces paroles alors qu’il enseignait dans le Temple, à la salle du Trésor. Et personne ne l’arrêta, parce que son heure n’était pas encore venue.
Prière d'introduction
Seigneur, alors que les scribes et les pharisiens se méfient de toi et de tes enseignements, alors qu’ils veulent te mettre à l’épreuve, toi, tu restes fidèle à ta mission et rien ne peut t’ébranler. Tu es la Vérité : la seule, l’unique et l’incontournable et c’est le Père qui t’a envoyé au milieu des hommes.
Demande
Au moment où je dois témoigner de la mission que tu m’as confiée, accorde-moi la force dont j’ai besoin pour communiquer la lumière dont tu me charges à ta suite.
Points de réflexion
1.Les scribes et les pharisiens t’accusent de faux témoignage.
Face à eux, tu te proclames « Lumière du monde».
Tu n’es pas une lumière, mais la lumière du monde !
Tout en faisant mine de se référer aux Écritures et aux articles inviolables de la Loi, au fond d’eux-mêmes, ils sentent bien que tes paroles sont véridiques et que ton affirmation est absolue ; ils sont intimement déstabilisés et n’en ont que plus de rage.
2. Toi, tu dévoiles leur attitude et leur « fraude »
: tu dénonces leur jugement selon la chair et tu leur demandes de ne juger ni selon ce qu’ils voient ni selon leur impression.
Tu leur lances un défi : qui me convaincra de péché ?
Qui pourra dire que je ne suis pas fidèle à ce que les Écritures annoncent, fidèle à la Vérité, fidèle à celui qui m’a envoyé ?
Tu veux qu’ils reconnaissent que tu es l’envoyé du Père, tu es celui que le monde attend depuis le refus d’Adam depuis le jour où les ténèbres et la mort sont entrés dans le monde par la faute d’un seul qui s’est cru capable de vivre sans Dieu.
3. « Personne ne l’arrêta parce que son heure n’était pas encore venue », continue le récit.
Seigneur, ici, tu montres ta totale dépendance et ta confiance envers le Père : rien n’arrive en ce monde sans la permission de Dieu.
Toi, tu es confiant et tu ne recules pas devant les remises en question, les doutes et les accusations.
Tu es la Vérité, tu es le chemin qui conduit à Dieu et celui qui t’imitera sera aimé du Père.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, quand les accusations se multiplient en bien des occasions et bien des domaines, accorde-moi la lumière de l’Esprit Saint et la force qui me permettra de marcher sur tes pas.
Résolution
Avoir totale confiance en toi et te le manifester en pensant à ce que je dis quand je prie.
SOURCE : Catholique.org
Lumière du Monde
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Lundi 14 Mars 2016
. Tu es la lumière du monde
Evangile selon St Jean 8, 12-20
De nouveau, Jésus leur parla : « Moi, je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie. » Les pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même, ce n’est donc pas un vrai témoignage » Jésus leur répondit : « Oui, moi, je me rends témoignage à moi-même, et pourtant mon témoignage est vrai, car je sais d’où je suis venu, et où je vais ; mais vous, vous ne savez ni d’où je viens, ni où je vais.
Vous, vous jugez de façon purement humaine. Moi, je ne juge personne. Et, s’il m’arrive de juger, mon jugement est vrai parce que je ne suis pas seul : j’ai avec moi le Père, qui m’a envoyé.
Or, il est écrit dans votre Loi que, s’il y a deux témoins, c’est un vrai témoignage.
Moi, je suis à moi-même mon propre témoin, et le Père, qui m’a envoyé, témoigne aussi pour moi. »
Les pharisiens lui disaient : « Où est-il, ton père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Il prononça ces paroles alors qu’il enseignait dans le Temple, à la salle du Trésor. Et personne ne l’arrêta, parce que son heure n’était pas encore venue.
Prière d'introduction
Seigneur, alors que les scribes et les pharisiens se méfient de toi et de tes enseignements, alors qu’ils veulent te mettre à l’épreuve, toi, tu restes fidèle à ta mission et rien ne peut t’ébranler. Tu es la Vérité : la seule, l’unique et l’incontournable et c’est le Père qui t’a envoyé au milieu des hommes.
Demande
Au moment où je dois témoigner de la mission que tu m’as confiée, accorde-moi la force dont j’ai besoin pour communiquer la lumière dont tu me charges à ta suite.
Points de réflexion
1.Les scribes et les pharisiens t’accusent de faux témoignage.
Face à eux, tu te proclames « Lumière du monde».
Tu n’es pas une lumière, mais la lumière du monde !
Tout en faisant mine de se référer aux Écritures et aux articles inviolables de la Loi, au fond d’eux-mêmes, ils sentent bien que tes paroles sont véridiques et que ton affirmation est absolue ; ils sont intimement déstabilisés et n’en ont que plus de rage.
2. Toi, tu dévoiles leur attitude et leur « fraude »
: tu dénonces leur jugement selon la chair et tu leur demandes de ne juger ni selon ce qu’ils voient ni selon leur impression.
Tu leur lances un défi : qui me convaincra de péché ?
Qui pourra dire que je ne suis pas fidèle à ce que les Écritures annoncent, fidèle à la Vérité, fidèle à celui qui m’a envoyé ?
Tu veux qu’ils reconnaissent que tu es l’envoyé du Père, tu es celui que le monde attend depuis le refus d’Adam depuis le jour où les ténèbres et la mort sont entrés dans le monde par la faute d’un seul qui s’est cru capable de vivre sans Dieu.
3. « Personne ne l’arrêta parce que son heure n’était pas encore venue », continue le récit.
Seigneur, ici, tu montres ta totale dépendance et ta confiance envers le Père : rien n’arrive en ce monde sans la permission de Dieu.
Toi, tu es confiant et tu ne recules pas devant les remises en question, les doutes et les accusations.
Tu es la Vérité, tu es le chemin qui conduit à Dieu et celui qui t’imitera sera aimé du Père.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, quand les accusations se multiplient en bien des occasions et bien des domaines, accorde-moi la lumière de l’Esprit Saint et la force qui me permettra de marcher sur tes pas.
Résolution
Avoir totale confiance en toi et te le manifester en pensant à ce que je dis quand je prie.
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Invité- Invité
- Message n°141
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonsoir Maud
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Mardi 15 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=15/03/2016
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
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(Première lecture)
Livre des Nombres 21 : 4 à 9
« Tous ceux qui auront été mordus, qu’ils regardent le serpent, alors ils vivront ! »
En ces jours-là,
les Hébreux quittèrent Hor-la-Montagne
par la route de la mer des Roseaux
en contournant le pays d’Édom.
Mais en chemin, le peuple perdit courage.
Il récrimina contre DIEU et contre Moïse :
« Pourquoi nous avoir fait monter d’Égypte ?
Était- ce pour nous faire mourir dans le désert,
où il n’y a ni pain ni eau ?
Nous sommes dégoûtés de cette nourriture misérable ! »
Alors le SEIGNEUR envoya contre le peuple
des serpents à la morsure brûlante,
et beaucoup en moururent dans le peuple d’Israël.
Le peuple vint vers Moïse et dit :
« Nous avons péché,
en récriminant contre le SEIGNEUR et contre toi.
Intercède auprès du SEIGNEUR
pour qu’IL éloigne de nous les serpents. »
Moïse intercéda pour le peuple,
et le SEIGNEUR dit à Moïse :
« Fais-toi un serpent brûlant,
et dresse-le au sommet d’un mât :
tous ceux qui auront été mordus,
qu’ils le regardent, alors ils vivront ! »
Moïse fit un serpent de bronze
et le dressa au sommet du mât.
Quand un homme était mordu par un serpent,
et qu’il regardait vers le serpent de bronze,
il restait en vie !
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre des Nombres 21 : 4 à 9
« Tous ceux qui auront été mordus, qu’ils regardent le serpent, alors ils vivront ! »
En ces jours-là,
les Hébreux quittèrent Hor-la-Montagne
par la route de la mer des Roseaux
en contournant le pays d’Édom.
Mais en chemin, le peuple perdit courage.
Il récrimina contre DIEU et contre Moïse :
« Pourquoi nous avoir fait monter d’Égypte ?
Était- ce pour nous faire mourir dans le désert,
où il n’y a ni pain ni eau ?
Nous sommes dégoûtés de cette nourriture misérable ! »
Alors le SEIGNEUR envoya contre le peuple
des serpents à la morsure brûlante,
et beaucoup en moururent dans le peuple d’Israël.
Le peuple vint vers Moïse et dit :
« Nous avons péché,
en récriminant contre le SEIGNEUR et contre toi.
Intercède auprès du SEIGNEUR
pour qu’IL éloigne de nous les serpents. »
Moïse intercéda pour le peuple,
et le SEIGNEUR dit à Moïse :
« Fais-toi un serpent brûlant,
et dresse-le au sommet d’un mât :
tous ceux qui auront été mordus,
qu’ils le regardent, alors ils vivront ! »
Moïse fit un serpent de bronze
et le dressa au sommet du mât.
Quand un homme était mordu par un serpent,
et qu’il regardait vers le serpent de bronze,
il restait en vie !
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Détresse et espérance
Prière d’un malheureux à bout de force, qui expose sa plainte au SEIGNEUR.
[Psaume 101 (102) ; entièrement]
[Psaume 101 (102) ; entièrement]
Psaume 101 (102) : 2 et 3, 16 à 18, 19 à 21
R/ SEIGNEUR, entends ma prière :
que mon cri parvienne jusqu’à TOI !
SEIGNEUR, entends ma prière :
que mon cri parvienne jusqu’à TOI !
Ne me cache pas TON VISAGE
le jour où je suis en détresse !
Le jour où j’appelle, écoute- moi ;
viens vite, réponds- moi !
R/
Les nations craindront le NOM DU SEIGNEUR,
et tous les rois de la Terre, SA GLOIRE :
quand le SEIGNEUR rebâtira Sion,
quand IL apparaîtra dans SA GLOIRE,
IL se tournera vers la prière du spolié,
IL n’aura pas méprisé sa prière.
R/
Que cela soit écrit pour l’âge à venir,
et le peuple à nouveau créé chantera son DIEU :
« Des Hauteurs, SON SANCTUAIRE, le SEIGNEUR s’est penché ;
du Ciel, IL regarde la Terre
pour entendre la plainte des captifs
et libérer ceux qui devaient mourir. »
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
que mon cri parvienne jusqu’à TOI !
SEIGNEUR, entends ma prière :
que mon cri parvienne jusqu’à TOI !
Ne me cache pas TON VISAGE
le jour où je suis en détresse !
Le jour où j’appelle, écoute- moi ;
viens vite, réponds- moi !
R/
Les nations craindront le NOM DU SEIGNEUR,
et tous les rois de la Terre, SA GLOIRE :
quand le SEIGNEUR rebâtira Sion,
quand IL apparaîtra dans SA GLOIRE,
IL se tournera vers la prière du spolié,
IL n’aura pas méprisé sa prière.
R/
Que cela soit écrit pour l’âge à venir,
et le peuple à nouveau créé chantera son DIEU :
« Des Hauteurs, SON SANCTUAIRE, le SEIGNEUR s’est penché ;
du Ciel, IL regarde la Terre
pour entendre la plainte des captifs
et libérer ceux qui devaient mourir. »
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 21 à 30
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS !
FILS de l’Homme, élevé sur la Croix, TU attires à TOI tous les hommes.
GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS !
(cf. Ez 33, 11)
« Quand vous aurez élevé le FILS de l’Homme, alors vous comprendrez que Moi, JE SUIS »
En ce temps- là,
JÉSUS disait aux Pharisiens :
« Je m’en vais ;
vous Me chercherez,
et vous mourrez dans votre péché.
Là où Moi Je vais,
vous ne pouvez pas aller. »
Les Juifs disaient :
« Veut-IL donc se donner la mort,
puisqu’IL dit :
“Là où moi je vais,
vous ne pouvez pas aller” ? »
IL leur répondit :
« Vous, vous êtes d’en bas ;
Moi, JE SUIS D’EN HAUT.
Vous, vous êtes de ce monde ;
Moi, Je ne suis pas de ce monde.
C’est pourquoi Je vous ai dit
que vous mourrez dans vos péchés.
En effet, si vous ne croyez pas que Moi, JE SUIS,
vous mourrez dans vos péchés. »
Alors, ils LUI demandaient :
« TOI, qui es-TU ? »
JÉSUS leur répondit :
« Je n’ai pas cessé de vous le dire.
À votre sujet, J’ai beaucoup à dire
et à juger.
D’ailleurs CELUI qui M’a envoyé dit la VÉRITÉ,
et ce que J’ai entendu de LUI,
Je le dis pour le monde. »
Ils ne comprirent pas qu’IL leur parlait du PÈRE.
JÉSUS leur déclara :
« Quand vous aurez élevé le FILS de l’Homme,
alors vous comprendrez que Moi, JE SUIS,
et que Je ne fais rien de MOI-MÊME ;
ce que Je dis là,
Je le dis comme le PÈRE Me l’a enseigné.
CELUI qui M’a envoyé est avec MOI ;
IL ne M’a pas laissé seul,
parce que Je fais toujours ce qui LUI est AGRÉABLE. »
Sur CES PAROLES DE JÉSUS,
beaucoup crurent en LUI.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS !
FILS de l’Homme, élevé sur la Croix, TU attires à TOI tous les hommes.
GLOIRE ET LOUANGE À TOI, SEIGNEUR JÉSUS !
(cf. Ez 33, 11)
« Quand vous aurez élevé le FILS de l’Homme, alors vous comprendrez que Moi, JE SUIS »
En ce temps- là,
JÉSUS disait aux Pharisiens :
« Je m’en vais ;
vous Me chercherez,
et vous mourrez dans votre péché.
Là où Moi Je vais,
vous ne pouvez pas aller. »
Les Juifs disaient :
« Veut-IL donc se donner la mort,
puisqu’IL dit :
“Là où moi je vais,
vous ne pouvez pas aller” ? »
IL leur répondit :
« Vous, vous êtes d’en bas ;
Moi, JE SUIS D’EN HAUT.
Vous, vous êtes de ce monde ;
Moi, Je ne suis pas de ce monde.
C’est pourquoi Je vous ai dit
que vous mourrez dans vos péchés.
En effet, si vous ne croyez pas que Moi, JE SUIS,
vous mourrez dans vos péchés. »
Alors, ils LUI demandaient :
« TOI, qui es-TU ? »
JÉSUS leur répondit :
« Je n’ai pas cessé de vous le dire.
À votre sujet, J’ai beaucoup à dire
et à juger.
D’ailleurs CELUI qui M’a envoyé dit la VÉRITÉ,
et ce que J’ai entendu de LUI,
Je le dis pour le monde. »
Ils ne comprirent pas qu’IL leur parlait du PÈRE.
JÉSUS leur déclara :
« Quand vous aurez élevé le FILS de l’Homme,
alors vous comprendrez que Moi, JE SUIS,
et que Je ne fais rien de MOI-MÊME ;
ce que Je dis là,
Je le dis comme le PÈRE Me l’a enseigné.
CELUI qui M’a envoyé est avec MOI ;
IL ne M’a pas laissé seul,
parce que Je fais toujours ce qui LUI est AGRÉABLE. »
Sur CES PAROLES DE JÉSUS,
beaucoup crurent en LUI.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
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Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 15 Mars 2016
Le Fils de l'homme élevé pour le salut du monde
Evangile selon St Jean 8, 21-30
Jésus disait aux Juifs : « Je m'en vais ; vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché. Là où moi je m'en vais, vous ne pouvez pas y aller. »
Les Juifs disaient : « Veut-il donc se suicider, puisqu'il dit : 'Là où moi je m'en vais, vous ne pouvez pas y aller' ? » Il leur répondit : « Vous, vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. Si, en effet, vous ne croyez pas que moi, JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés. »
Ils lui demandaient : « Qui es-tu donc ? » Jésus leur répondit : « Je n'ai pas cessé de vous le dire. J'ai beaucoup à dire sur vous, et beaucoup à condamner. D'ailleurs celui qui m'a envoyé dit la vérité, et c'est de lui que j'ai entendu ce que je dis pour le monde. »
Ils ne comprirent pas qu'il leur parlait du Père.
Jésus leur déclara : « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS, et que je ne fais rien par moi-même, mais tout ce que je dis, c'est le Père qui me l'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul parce que je fais toujours ce qui lui plaît. »
Sur ces paroles de Jésus, beaucoup crurent en lui.
Prière d'introduction
« Vous me chercherez ». Oui, Seigneur, nous te cherchons. Que nous soyons dans le bonheur ou dans le malheur, nous te cherchons. Surtout quand nous sentons que tu pars un peu plus loin de nous, par permission ou par notre péché, nous te cherchons aussi ; et peut-être avec un peu plus d’anxiété, parce que nous avons besoin de ta présence à notre côté, de ton soutien, de ton guide, de ta vie.
Demande
Que cette prière, Seigneur, soit source de joie pour cette journée. Oui, Seigneur, parce que te connaître un peu plus, le fait d’être en ta présence, en relation avec toi, ne peut qu’être source de joie, une joie douce, et vraie !
Points de réflexion
1.Jésus nous révèle dans ce passage qui il est, qui est son Père et qui nous sommes.
Nous cherchons le Seigneur, parce qu’il nous dit :
« Je suis ». Et en se révélant lui-même il nous dit qui nous sommes.
« Vous, vous êtes d’en bas, moi je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi je ne suis pas de ce monde ».
« En effet, si vous ne croyez pas que moi je suis, vous mourrez dans vos péchés ».
Si nous ne reconnaissons pas Jésus Dieu, nous sommes d’en bas, et nous resterons « en bas », rattachés au monde.
En revanche, si nous le reconnaissons, alors en restant qui nous sommes, petits et pauvres, vivant dans ce monde, nous avons en nous quelque chose « d’en-haut » quelque chose qui n’est pas de ce monde et qui est de Dieu.
Nous vivons donc dans ce monde et, à la fois, comme accrochés à l’autre monde et non pas accrochés de nos mains, mais accrochés par le cœur. Parce que c’est le cœur qui reconnaît son Dieu, et qui le fait présent dans le monde ; ce ne sont ni les mains (la volonté), ni la tête (l’intelligence), c’est le cœur qui aime son Dieu, qui s’unit à lui ou qui l’appelle à venir en soi.
2. Jésus nous parle aussi de son Père.
« Ce que j’ai entendu de lui, je le dis pour le monde », « je ne fais rien de moi-même » et aussi « celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul ».
Son Père l’envoie, lui parle, est avec lui et ne le laisse pas seul.
Et ce Père n’est pas seulement pour lui. C’est un Père pour les hommes, puisque Jésus est envoyé pour nous, nous parle et est avec nous.
Ce Père est aussi notre Père.
Ouvrons nous aussi à lui dans notre vie chrétienne.
Ayons un cœur de fils envers le Père qui veille sur nous, qui nous guide, et qui ne nous laisse pas seuls, nous non plus, même dans les moments de croix.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, nous te cherchons. Et en te cherchant notre regard s’arrête sur la croix. Là, nous voyons ton amour, ton don aux hommes, à moi. Nous voyons aussi cette union au Père à qui tu offres ta vie pour notre rachat, et qui est ta vie dans ces moments de mort. Seigneur, permets-moi d’être accroché à toi, à ta croix, à ton Père. Viens à moi, entre en moi, vis en moi.
Résolution
Transmets à quelqu’un ce que tu as reçu lors de cette prière. Transmets à quelqu’un cette méditation ou une autre.
SOURCE : Catholique.org
Le Salut du Monde
Bonjour Nicolas
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Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mardi 15 Mars 2016
Le Fils de l'homme élevé pour le salut du monde
Evangile selon St Jean 8, 21-30
Jésus disait aux Juifs : « Je m'en vais ; vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché. Là où moi je m'en vais, vous ne pouvez pas y aller. »
Les Juifs disaient : « Veut-il donc se suicider, puisqu'il dit : 'Là où moi je m'en vais, vous ne pouvez pas y aller' ? » Il leur répondit : « Vous, vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. Si, en effet, vous ne croyez pas que moi, JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés. »
Ils lui demandaient : « Qui es-tu donc ? » Jésus leur répondit : « Je n'ai pas cessé de vous le dire. J'ai beaucoup à dire sur vous, et beaucoup à condamner. D'ailleurs celui qui m'a envoyé dit la vérité, et c'est de lui que j'ai entendu ce que je dis pour le monde. »
Ils ne comprirent pas qu'il leur parlait du Père.
Jésus leur déclara : « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS, et que je ne fais rien par moi-même, mais tout ce que je dis, c'est le Père qui me l'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul parce que je fais toujours ce qui lui plaît. »
Sur ces paroles de Jésus, beaucoup crurent en lui.
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« Vous me chercherez ». Oui, Seigneur, nous te cherchons. Que nous soyons dans le bonheur ou dans le malheur, nous te cherchons. Surtout quand nous sentons que tu pars un peu plus loin de nous, par permission ou par notre péché, nous te cherchons aussi ; et peut-être avec un peu plus d’anxiété, parce que nous avons besoin de ta présence à notre côté, de ton soutien, de ton guide, de ta vie.
Demande
Que cette prière, Seigneur, soit source de joie pour cette journée. Oui, Seigneur, parce que te connaître un peu plus, le fait d’être en ta présence, en relation avec toi, ne peut qu’être source de joie, une joie douce, et vraie !
Points de réflexion
1.Jésus nous révèle dans ce passage qui il est, qui est son Père et qui nous sommes.
Nous cherchons le Seigneur, parce qu’il nous dit :
« Je suis ». Et en se révélant lui-même il nous dit qui nous sommes.
« Vous, vous êtes d’en bas, moi je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi je ne suis pas de ce monde ».
« En effet, si vous ne croyez pas que moi je suis, vous mourrez dans vos péchés ».
Si nous ne reconnaissons pas Jésus Dieu, nous sommes d’en bas, et nous resterons « en bas », rattachés au monde.
En revanche, si nous le reconnaissons, alors en restant qui nous sommes, petits et pauvres, vivant dans ce monde, nous avons en nous quelque chose « d’en-haut » quelque chose qui n’est pas de ce monde et qui est de Dieu.
Nous vivons donc dans ce monde et, à la fois, comme accrochés à l’autre monde et non pas accrochés de nos mains, mais accrochés par le cœur. Parce que c’est le cœur qui reconnaît son Dieu, et qui le fait présent dans le monde ; ce ne sont ni les mains (la volonté), ni la tête (l’intelligence), c’est le cœur qui aime son Dieu, qui s’unit à lui ou qui l’appelle à venir en soi.
2. Jésus nous parle aussi de son Père.
« Ce que j’ai entendu de lui, je le dis pour le monde », « je ne fais rien de moi-même » et aussi « celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul ».
Son Père l’envoie, lui parle, est avec lui et ne le laisse pas seul.
Et ce Père n’est pas seulement pour lui. C’est un Père pour les hommes, puisque Jésus est envoyé pour nous, nous parle et est avec nous.
Ce Père est aussi notre Père.
Ouvrons nous aussi à lui dans notre vie chrétienne.
Ayons un cœur de fils envers le Père qui veille sur nous, qui nous guide, et qui ne nous laisse pas seuls, nous non plus, même dans les moments de croix.
Dialogue avec le Christ
Seigneur, nous te cherchons. Et en te cherchant notre regard s’arrête sur la croix. Là, nous voyons ton amour, ton don aux hommes, à moi. Nous voyons aussi cette union au Père à qui tu offres ta vie pour notre rachat, et qui est ta vie dans ces moments de mort. Seigneur, permets-moi d’être accroché à toi, à ta croix, à ton Père. Viens à moi, entre en moi, vis en moi.
Résolution
Transmets à quelqu’un ce que tu as reçu lors de cette prière. Transmets à quelqu’un cette méditation ou une autre.
SOURCE : Catholique.org
Le Salut du Monde
Invité- Invité
- Message n°144
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonsoir Maud
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Mercredi 16 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
[Livre du Prophète Daniel 3 : 46 à 90 ; entièrement]
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=16/03/2016
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Mercredi 16 Mars 2016
De la férie
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
(Première lecture)
Livre du prophète Daniel 3 : 14 à 20, 91 et 92, 95
« DIEU a envoyé SON ANGE et délivré Ses Serviteurs »
En ces jours-là,
le roi Nabucodonosor parla ainsi :
« Est-il vrai, Sidrac, Misac et Abdénago,
que vous refusez de servir mes dieux
et d’adorer la statue d’or que j’ai fait ériger ?
Êtes-vous prêts, maintenant, à vous prosterner
pour adorer la statue que j’ai faite,
quand vous entendrez le son du cor, de la flûte, de la cithare,
de la harpe, de la lyre, de la cornemuse
et de toutes les sortes d’instruments ?
Si vous n’adorez pas cette statue,
vous serez immédiatement jetés dans la fournaise de feu ardent ;
et quel est le dieu qui vous délivrera de ma main ? »
Sidrac, Misac et Abdénago dirent au roi Nabucodonosor :
« Ce n’est pas à nous de te répondre.
Si notre DIEU, que nous servons, peut nous délivrer,
IL nous délivrera de la fournaise de feu ardent et de ta main, ô roi.
Et même s’IL ne le fait pas,
sois-en bien sûr, ô roi :
nous ne servirons pas tes dieux,
nous n’adorerons pas la statue d’or que tu as érigée. »
Alors Nabucodonosor fut rempli de fureur
contre Sidrac, Misac et Abdénago,
et son visage s’altéra.
Il ordonna de chauffer la fournaise
sept fois plus qu’à l’ordinaire.
Puis il ordonna aux plus vigoureux de ses soldats
de ligoter Sidrac, Misac et Abdénago
et de les jeter dans la fournaise de feu ardent.
Le roi Nabucodonosor les entendit chanter.
Stupéfait, il se leva précipitamment
et dit à ses conseillers :
« Nous avons bien jeté trois hommes, ligotés,
au milieu du feu ? »
Ils répondirent :
« Assurément, ô roi. »
Il reprit :
« Eh bien moi, je vois quatre hommes
qui se promènent librement au milieu du feu,
ils sont parfaitement indemnes,
et le quatrième ressemble à un être divin. »
Et Nabucodonosor s’écria :
« Béni soit le DIEU de Sidrac, Misac et Abdénago,
qui a envoyé SON ANGE et délivré Sses Serviteurs !
Ils ont mis leur confiance en LUI,
et ils ont désobéi à l’ordre du roi ;
ils ont livré leur corps
plutôt que de servir et d’adorer
un autre dieu que leur DIEU. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre du prophète Daniel 3 : 14 à 20, 91 et 92, 95
« DIEU a envoyé SON ANGE et délivré Ses Serviteurs »
En ces jours-là,
le roi Nabucodonosor parla ainsi :
« Est-il vrai, Sidrac, Misac et Abdénago,
que vous refusez de servir mes dieux
et d’adorer la statue d’or que j’ai fait ériger ?
Êtes-vous prêts, maintenant, à vous prosterner
pour adorer la statue que j’ai faite,
quand vous entendrez le son du cor, de la flûte, de la cithare,
de la harpe, de la lyre, de la cornemuse
et de toutes les sortes d’instruments ?
Si vous n’adorez pas cette statue,
vous serez immédiatement jetés dans la fournaise de feu ardent ;
et quel est le dieu qui vous délivrera de ma main ? »
Sidrac, Misac et Abdénago dirent au roi Nabucodonosor :
« Ce n’est pas à nous de te répondre.
Si notre DIEU, que nous servons, peut nous délivrer,
IL nous délivrera de la fournaise de feu ardent et de ta main, ô roi.
Et même s’IL ne le fait pas,
sois-en bien sûr, ô roi :
nous ne servirons pas tes dieux,
nous n’adorerons pas la statue d’or que tu as érigée. »
Alors Nabucodonosor fut rempli de fureur
contre Sidrac, Misac et Abdénago,
et son visage s’altéra.
Il ordonna de chauffer la fournaise
sept fois plus qu’à l’ordinaire.
Puis il ordonna aux plus vigoureux de ses soldats
de ligoter Sidrac, Misac et Abdénago
et de les jeter dans la fournaise de feu ardent.
Le roi Nabucodonosor les entendit chanter.
Stupéfait, il se leva précipitamment
et dit à ses conseillers :
« Nous avons bien jeté trois hommes, ligotés,
au milieu du feu ? »
Ils répondirent :
« Assurément, ô roi. »
Il reprit :
« Eh bien moi, je vois quatre hommes
qui se promènent librement au milieu du feu,
ils sont parfaitement indemnes,
et le quatrième ressemble à un être divin. »
Et Nabucodonosor s’écria :
« Béni soit le DIEU de Sidrac, Misac et Abdénago,
qui a envoyé SON ANGE et délivré Sses Serviteurs !
Ils ont mis leur confiance en LUI,
et ils ont désobéi à l’ordre du roi ;
ils ont livré leur corps
plutôt que de servir et d’adorer
un autre dieu que leur DIEU. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Le cantique des trois amis de Daniel
[Livre du Prophète Daniel 3 : 46 à 90 ; entièrement]
Livre du Prophète Daniel 3 : 52, 53, 54, 55, 56
R/ À TOI, LOUANGE ET GLOIRE ÉTERNELLEMENT !
Béni sois-TU, SEIGNEUR, DIEU de nos pères :
R/
Béni soit le NOM TRÈS SAINT DE TA GLOIRE :
R/
Béni sois-TU DANS TON SAINT TEMPLE DE GLOIRE :
R/
Béni sois-TU SUR LE TRÔNE DE TON RÈGNE :
R/
Béni sois-TU, TOI qui sondes les abîmes :
R/
TOI qui sièges au-dessus des Kéroubim :
R/
Béni sois-TU au firmament, dans le Ciel
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Béni sois-TU, SEIGNEUR, DIEU de nos pères :
R/
Béni soit le NOM TRÈS SAINT DE TA GLOIRE :
R/
Béni sois-TU DANS TON SAINT TEMPLE DE GLOIRE :
R/
Béni sois-TU SUR LE TRÔNE DE TON RÈGNE :
R/
Béni sois-TU, TOI qui sondes les abîmes :
R/
TOI qui sièges au-dessus des Kéroubim :
R/
Béni sois-TU au firmament, dans le Ciel
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 31 à 42
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ
ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE
dans un cœur bon et généreux,
qui LA retiennent et portent du fruit par leur persévérance.
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ
ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(cf. Lc 8, 15)
« Si le FILS vous rend libres, réellement vous serez libres »
En ce temps-là,
JÉSUS disait à ceux des Juifs qui croyaient en LUI :
« Si vous demeurez fidèles à Ma PAROLE,
vous êtes vraiment Mes Disciples ;
alors vous connaîtrez LA VÉRITÉ,
et LA VÉRITÉ vous rendra libres. »
Ils LUI répliquèrent :
« Nous sommes la descendance d’Abraham,
et nous n’avons jamais été les esclaves de personne.
Comment peux-TU dire :
“Vous deviendrez libres” ? »
JÉSUS leur répondit :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
qui commet le péché
est esclave du péché.
L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ;
le fils, lui, y demeure pour toujours.
Si donc le FILS vous rend libres,
réellement vous serez libres.
Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham,
et pourtant vous cherchez à Me tuer,
parce que Ma PAROLE ne trouve pas sa place en vous.
Je dis ce que Moi, J’ai vu
auprès de MON PÈRE,
et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu
chez votre père. »
Ils LUI répliquèrent :
« Notre père, c’est Abraham. »
JÉSUS leur dit :
« Si vous étiez les enfants d’Abraham,
vous feriez les œuvres d’Abraham.
Mais maintenant, vous cherchez à Me tuer,
Moi, un Homme qui vous ai dit LA VÉRITÉ
que J’ai entendue de DIEU.
Cela, Abraham ne l’a pas fait.
Vous, vous faites les œuvres de votre père. »
Ils LUI dirent :
« Nous ne sommes pas nés de la prostitution !
Nous n’avons qu’un seul PÈRE : c’est DIEU. »
JÉSUS leur dit :
« Si DIEU était votre PÈRE,
vous M’aimeriez,
car Moi, c’est de DIEU QUE JE SUIS SORTI
et que JE VIENS.
Je ne suis pas venu de MOI-MÊME ;
c’est LUI qui M’a envoyé. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ
ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
Heureux ceux qui ont entendu la PAROLE
dans un cœur bon et généreux,
qui LA retiennent et portent du fruit par leur persévérance.
TA PAROLE, SEIGNEUR, EST VÉRITÉ
ET TA LOI, DÉLIVRANCE.
(cf. Lc 8, 15)
« Si le FILS vous rend libres, réellement vous serez libres »
En ce temps-là,
JÉSUS disait à ceux des Juifs qui croyaient en LUI :
« Si vous demeurez fidèles à Ma PAROLE,
vous êtes vraiment Mes Disciples ;
alors vous connaîtrez LA VÉRITÉ,
et LA VÉRITÉ vous rendra libres. »
Ils LUI répliquèrent :
« Nous sommes la descendance d’Abraham,
et nous n’avons jamais été les esclaves de personne.
Comment peux-TU dire :
“Vous deviendrez libres” ? »
JÉSUS leur répondit :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
qui commet le péché
est esclave du péché.
L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ;
le fils, lui, y demeure pour toujours.
Si donc le FILS vous rend libres,
réellement vous serez libres.
Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham,
et pourtant vous cherchez à Me tuer,
parce que Ma PAROLE ne trouve pas sa place en vous.
Je dis ce que Moi, J’ai vu
auprès de MON PÈRE,
et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu
chez votre père. »
Ils LUI répliquèrent :
« Notre père, c’est Abraham. »
JÉSUS leur dit :
« Si vous étiez les enfants d’Abraham,
vous feriez les œuvres d’Abraham.
Mais maintenant, vous cherchez à Me tuer,
Moi, un Homme qui vous ai dit LA VÉRITÉ
que J’ai entendue de DIEU.
Cela, Abraham ne l’a pas fait.
Vous, vous faites les œuvres de votre père. »
Ils LUI dirent :
« Nous ne sommes pas nés de la prostitution !
Nous n’avons qu’un seul PÈRE : c’est DIEU. »
JÉSUS leur dit :
« Si DIEU était votre PÈRE,
vous M’aimeriez,
car Moi, c’est de DIEU QUE JE SUIS SORTI
et que JE VIENS.
Je ne suis pas venu de MOI-MÊME ;
c’est LUI qui M’a envoyé. »
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
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Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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- Message n°146
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mercredi 16 Mars 2016
Vérité et liberté
Evangile selon St Jean 8, 31-42
Jésus disait à ceux des Juifs qui croyaient en lui : « Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; alors vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »
Ils lui répliquèrent :
« Nous sommes la descendance d’Abraham, et nous n’avons jamais été les esclaves de personne. Comment peux-tu dire :
“Vous deviendrez libres” ? »
Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché.
L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils, lui, y demeure pour toujours.
Si donc le Fils vous rend libres, réellement vous serez libres.
Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham, et pourtant vous cherchez à me tuer, parce que ma parole ne trouve pas sa place en vous.
Je dis ce que moi, j’ai vu auprès de mon Père, et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu chez votre père. » Ils lui répliquèrent :
« Notre père, c’est Abraham. » Jésus leur dit : « Si vous étiez les enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham.
Mais maintenant, vous cherchez à me tuer, moi, un homme qui vous ai dit la vérité que j’ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l’a pas fait.
Vous, vous faites les œuvres de votre père. » Ils lui dirent : « Nous ne sommes pas nés de la prostitution ! Nous n’avons qu’un seul Père : c’est Dieu. »
Jésus leur dit : « Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car moi, c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens. Je ne suis pas venu de moi-même ; c’est lui qui m’a envoyé.
Prière d'introduction
Seigneur, apprends-moi à te connaitre. Laisse-moi m’approcher de toi.
Demande
Trouver en Jésus la véritable liberté.
Points de réflexion
1.Ce passage de l’Évangile de Jean nous présente une réflexion approfondie sur le lien entre la vérité et la liberté :
« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres ».
Le thème de la vérité est l’un des thèmes centraux de l’Évangile de Jean.
Jésus se présente en effet lui-même comme la vérité : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14, 6).
2. Notre passage nous explique ce qui est contraire à la liberté :
« Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché »
. Qui veut donc vivre dans la vérité, ne peut donc pas accepter le péché. Cela nous informe sur ce qu’est la nature du péché :
le péché est un mensonge qui conduit à l’esclavage. Le péché est un mensonge car tout notre être, que nous avons reçu de Dieu, est fait pour retourner à Dieu.
Se séparer de Dieu, ce en quoi consiste le péché, c’est donc renier la vérité de sa propre nature et devenir l’esclave du péché.
3. Mais comment connaître la vérité ?
Comment trouver la liberté ?
Jésus nous l’a dit, il est lui-même la vérité.
C’est dans la personne de Jésus que l’homme peut contempler la vérité sur ce qu’il est lui-même véritablement.
Ainsi le chemin de la prière et de la contemplation devient le chemin de l’authentique recherche de la vérité et de la liberté.
Jean-Paul II écrivait ainsi : « Les vrais adorateurs de Dieu doivent l'adorer 'en esprit et en vérité' (Jn 4, 23) : ils deviennent libres par cette adoration. En Jésus-Christ, l'attachement à la vérité et l'adoration de Dieu se présentent comme les racines les plus intimes de la liberté » (Veritatis Splendor 87).
Dialogue avec le Christ
Seigneur, apprends-moi à mieux te connaître. C’est en te connaissant que je pourrai me connaître moi-même. C’est en te regardant que je pourrai voir la vérité sur ce que je suis, sur ce que je suis appelé à être : vivre dans la liberté des enfants de Dieu.
Résolution
Prendre un peu plus de temps de prière pour apprendre à mieux connaître Jésus.
SOURCE : Catholique.org
Notre Père
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
*****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Mercredi 16 Mars 2016
Vérité et liberté
Evangile selon St Jean 8, 31-42
Jésus disait à ceux des Juifs qui croyaient en lui : « Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; alors vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »
Ils lui répliquèrent :
« Nous sommes la descendance d’Abraham, et nous n’avons jamais été les esclaves de personne. Comment peux-tu dire :
“Vous deviendrez libres” ? »
Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché.
L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils, lui, y demeure pour toujours.
Si donc le Fils vous rend libres, réellement vous serez libres.
Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham, et pourtant vous cherchez à me tuer, parce que ma parole ne trouve pas sa place en vous.
Je dis ce que moi, j’ai vu auprès de mon Père, et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu chez votre père. » Ils lui répliquèrent :
« Notre père, c’est Abraham. » Jésus leur dit : « Si vous étiez les enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham.
Mais maintenant, vous cherchez à me tuer, moi, un homme qui vous ai dit la vérité que j’ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l’a pas fait.
Vous, vous faites les œuvres de votre père. » Ils lui dirent : « Nous ne sommes pas nés de la prostitution ! Nous n’avons qu’un seul Père : c’est Dieu. »
Jésus leur dit : « Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car moi, c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens. Je ne suis pas venu de moi-même ; c’est lui qui m’a envoyé.
Prière d'introduction
Seigneur, apprends-moi à te connaitre. Laisse-moi m’approcher de toi.
Demande
Trouver en Jésus la véritable liberté.
Points de réflexion
1.Ce passage de l’Évangile de Jean nous présente une réflexion approfondie sur le lien entre la vérité et la liberté :
« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres ».
Le thème de la vérité est l’un des thèmes centraux de l’Évangile de Jean.
Jésus se présente en effet lui-même comme la vérité : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14, 6).
2. Notre passage nous explique ce qui est contraire à la liberté :
« Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché »
. Qui veut donc vivre dans la vérité, ne peut donc pas accepter le péché. Cela nous informe sur ce qu’est la nature du péché :
le péché est un mensonge qui conduit à l’esclavage. Le péché est un mensonge car tout notre être, que nous avons reçu de Dieu, est fait pour retourner à Dieu.
Se séparer de Dieu, ce en quoi consiste le péché, c’est donc renier la vérité de sa propre nature et devenir l’esclave du péché.
3. Mais comment connaître la vérité ?
Comment trouver la liberté ?
Jésus nous l’a dit, il est lui-même la vérité.
C’est dans la personne de Jésus que l’homme peut contempler la vérité sur ce qu’il est lui-même véritablement.
Ainsi le chemin de la prière et de la contemplation devient le chemin de l’authentique recherche de la vérité et de la liberté.
Jean-Paul II écrivait ainsi : « Les vrais adorateurs de Dieu doivent l'adorer 'en esprit et en vérité' (Jn 4, 23) : ils deviennent libres par cette adoration. En Jésus-Christ, l'attachement à la vérité et l'adoration de Dieu se présentent comme les racines les plus intimes de la liberté » (Veritatis Splendor 87).
Dialogue avec le Christ
Seigneur, apprends-moi à mieux te connaître. C’est en te connaissant que je pourrai me connaître moi-même. C’est en te regardant que je pourrai voir la vérité sur ce que je suis, sur ce que je suis appelé à être : vivre dans la liberté des enfants de Dieu.
Résolution
Prendre un peu plus de temps de prière pour apprendre à mieux connaître Jésus.
SOURCE : Catholique.org
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- Message n°147
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
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Bonsoir à toutes et à tous
Jeudi 17 Mars 2016
Saint Patrice, Évêque
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
[Psaume 104 (105) ; entièrement]
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=17/03/2016
Liens :
http://www.aelf.org/office-messe
http://services.liturgiecatholique.fr/
Amicalement, fraternellement
Nicolas
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Jeudi 17 Mars 2016
Saint Patrice, Évêque
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
(Première lecture)
Livre de la Genèse 17 : 3 à 9
« Tu deviendras le père d’une multitude de nations »
En ces jours-là,
Abram tomba face contre terre
et DIEU lui parla ainsi :
« Moi, voici l’ALLIANCE que Je fais avec toi :
tu deviendras le père d’une multitude de nations.
Tu ne seras plus appelé du nom d’Abram,
ton nom sera Abraham,
car Je fais de toi le père d’une multitude de nations.
Je te ferai porter des fruits à l’infini,
de toi Je ferai des nations,
et des rois sortiront de toi.
J’établirai MON ALLIANCE entre Moi et toi,
et après toi avec ta descendance,
de génération en génération ;
ce sera une ALLIANCE ÉTERNELLE ;
ainsi Je serai ton DIEU
et le DIEU de ta descendance après toi.
À toi et à ta descendance après toi
Je donnerai le pays où tu résides,
tout le pays de Canaan en propriété perpétuelle,
et Je serai leur DIEU. »
DIEU dit à Abraham :
« Toi, tu observeras MON ALLIANCE,
toi et ta descendance après toi,
de génération en génération. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre de la Genèse 17 : 3 à 9
« Tu deviendras le père d’une multitude de nations »
En ces jours-là,
Abram tomba face contre terre
et DIEU lui parla ainsi :
« Moi, voici l’ALLIANCE que Je fais avec toi :
tu deviendras le père d’une multitude de nations.
Tu ne seras plus appelé du nom d’Abram,
ton nom sera Abraham,
car Je fais de toi le père d’une multitude de nations.
Je te ferai porter des fruits à l’infini,
de toi Je ferai des nations,
et des rois sortiront de toi.
J’établirai MON ALLIANCE entre Moi et toi,
et après toi avec ta descendance,
de génération en génération ;
ce sera une ALLIANCE ÉTERNELLE ;
ainsi Je serai ton DIEU
et le DIEU de ta descendance après toi.
À toi et à ta descendance après toi
Je donnerai le pays où tu résides,
tout le pays de Canaan en propriété perpétuelle,
et Je serai leur DIEU. »
DIEU dit à Abraham :
« Toi, tu observeras MON ALLIANCE,
toi et ta descendance après toi,
de génération en génération. »
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Histoire de la FIDÉLITÉ de DIEU
[Psaume 104 (105) ; entièrement]
Psaume 104 (105) : 4 et 5, 6 et 7, 8 et 9
R/ Le SEIGNEUR s’est toujours souvenu de SON ALLIANCE.
Cherchez le SEIGNEUR et SA PUISSANCE,
recherchez sans trêve SA FACE ;
souvenez-vous des MERVEILLES qu’IL a faites,
de SES PRODIGES, des JUGEMENTS qu’IL prononça.
R/
Vous, la race d’Abraham son serviteur,
les fils de Jacob, qu’IL a choisis.
Le SEIGNEUR, c’est LUI notre DIEU :
SES JUGEMENTS font LOI pour l’Univers.
R/
IL s’est toujours souvenu de SON ALLIANCE,
PAROLE édictée pour mille générations :
PROMESSE faite à Abraham,
GARANTIE par serment à Isaac.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Cherchez le SEIGNEUR et SA PUISSANCE,
recherchez sans trêve SA FACE ;
souvenez-vous des MERVEILLES qu’IL a faites,
de SES PRODIGES, des JUGEMENTS qu’IL prononça.
R/
Vous, la race d’Abraham son serviteur,
les fils de Jacob, qu’IL a choisis.
Le SEIGNEUR, c’est LUI notre DIEU :
SES JUGEMENTS font LOI pour l’Univers.
R/
IL s’est toujours souvenu de SON ALLIANCE,
PAROLE édictée pour mille générations :
PROMESSE faite à Abraham,
GARANTIE par serment à Isaac.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 8 : 51 à 59
Acclamation de l’Évangile :
TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT
ET ELLES SONT VIE.
Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur,
mais écoutez la VOIX DU SEIGNEUR.
TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT
ET ELLES SONT VIE.
(cf. Ps 94, 8a.7d)
« Abraham votre père a exulté, sachant qu’il verrait Mon JOUR »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux Juifs :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
si quelqu’un garde Ma PAROLE,
jamais il ne verra la mort. »
Les Juifs LUI dirent :
« Maintenant nous savons bien que TU as un démon.
Abraham est mort, les Prophètes aussi,
et TOI, TU dis :
“Si quelqu’un garde ma parole,
il ne connaîtra jamais la mort.”
Es-TU donc plus grand que notre père Abraham ?
Il est mort, et les Prophètes aussi sont morts.
Pour qui TE prends-TU ? »
JÉSUS répondit :
« Si Je Me glorifie MOI-MÊME,
Ma GLOIRE n’est rien ;
c’est MON PÈRE qui Me glorifie,
LUI dont vous dites : “IL est notre DIEU”,
alors que vous ne LE connaissez pas.
Moi, Je LE connais
et, si Je dis que Je ne LE connais pas,
Je serai comme vous, un menteur.
Mais Je LE connais,
et SA PAROLE, Je LA garde.
Abraham votre père a exulté,
sachant qu’il verrait Mon JOUR.
Il L’a vu, et il s’est réjoui. »
Les Juifs LUI dirent alors :
« TOI qui n’as pas encore cinquante ans,
TU as vu Abraham ! »
JÉSUS leur répondit :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
avant qu’Abraham fût,
Moi, JE SUIS. »
Alors ils ramassèrent des pierres pour les LUI jeter.
Mais JÉSUS, en se cachant,
sortit du Temple.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT
ET ELLES SONT VIE.
Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur,
mais écoutez la VOIX DU SEIGNEUR.
TES PAROLES, SEIGNEUR, SONT ESPRIT
ET ELLES SONT VIE.
(cf. Ps 94, 8a.7d)
« Abraham votre père a exulté, sachant qu’il verrait Mon JOUR »
En ce temps-là,
JÉSUS disait aux Juifs :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
si quelqu’un garde Ma PAROLE,
jamais il ne verra la mort. »
Les Juifs LUI dirent :
« Maintenant nous savons bien que TU as un démon.
Abraham est mort, les Prophètes aussi,
et TOI, TU dis :
“Si quelqu’un garde ma parole,
il ne connaîtra jamais la mort.”
Es-TU donc plus grand que notre père Abraham ?
Il est mort, et les Prophètes aussi sont morts.
Pour qui TE prends-TU ? »
JÉSUS répondit :
« Si Je Me glorifie MOI-MÊME,
Ma GLOIRE n’est rien ;
c’est MON PÈRE qui Me glorifie,
LUI dont vous dites : “IL est notre DIEU”,
alors que vous ne LE connaissez pas.
Moi, Je LE connais
et, si Je dis que Je ne LE connais pas,
Je serai comme vous, un menteur.
Mais Je LE connais,
et SA PAROLE, Je LA garde.
Abraham votre père a exulté,
sachant qu’il verrait Mon JOUR.
Il L’a vu, et il s’est réjoui. »
Les Juifs LUI dirent alors :
« TOI qui n’as pas encore cinquante ans,
TU as vu Abraham ! »
JÉSUS leur répondit :
« AMEN, AMEN, Je vous le dis :
avant qu’Abraham fût,
Moi, JE SUIS. »
Alors ils ramassèrent des pierres pour les LUI jeter.
Mais JÉSUS, en se cachant,
sortit du Temple.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile + commentaire (audio)
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Les services de la liturgie Catholique
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Manuela- Messages : 300
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- Message n°148
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Maud- Messages : 9656
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Localisation : France
Saint intercesseur : Sainte Vierge Marie , Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face , Sainte Thérèse d' Avila
- Message n°149
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonjour et Merci Manuela
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 17 Mars 2016
« Si quelqu’un garde ma parole, il ne connaîtra jamais la mort »
Evangile selon St Jean 8, 51-59
Amen, amen, je vous le dis : si quelqu’un garde ma parole, jamais il ne verra la mort. » Les Juifs lui dirent : « Maintenant nous savons bien que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et toi, tu dis : “Si quelqu’un garde ma parole, il ne connaîtra jamais la mort.”
Es-tu donc plus grand que notre père Abraham ? Il est mort, et les prophètes aussi sont morts. Pour qui te prends-tu ? »
Jésus répondit : « Si je me glorifie moi-même, ma gloire n’est rien ; c’est mon Père qui me glorifie, lui dont vous dites : “Il est notre Dieu”, alors que vous ne le connaissez pas. Moi, je le connais et, si je dis que je ne le connais pas, je serai comme vous, un menteur. Mais je le connais, et sa parole, je la garde.
Abraham votre père a exulté, sachant qu’il verrait mon Jour. Il l’a vu, et il s’est réjoui. » Les Juifs lui dirent alors : « Toi qui n’as pas encore cinquante ans, tu as vu Abraham ! »
Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : avant qu’Abraham fût, moi, JE SUIS. »
Alors ils ramassèrent des pierres pour les lui jeter. Mais Jésus, en se cachant, sortit du Temple.
Prière d'introduction
Jésus, je veux faire de cette méditation un acte d’amour envers toi, une vraie offrande d’amour pour toi. Je veux te réserver ces dix minutes ou cette demi-heure ou cette heure de ma journée, selon mes possibilités, mais je veux te les donner inconditionnellement. Ce temps de prière est tien, dispose de moi comme il te plaira. Conduis-moi sur tes chemins de vie. Guide-moi et apprends-moi à te laisser me guider. Pendant cette méditation, Seigneur, montre-moi ce que tu veux de moi !
Demande
Jésus, donne-moi la grâce de vivre la Semaine Sainte qui arrive en union avec toi.
Points de réflexion
1.« Si quelqu’un garde ma parole, jamais il ne verra la mort ».
Garder la parole du Christ, c’est être proche de lui, unis à lui par la prière et par nos actions.
C’est être unis à celui qui proclame être « le chemin, la vérité, et la vie ».
Et par cette assurance que Jésus nous donne aujourd’hui, que celui qui garde sa parole ne verra pas la mort, il nous rappelle qu’il est la vie. De même que Dieu avait donné le choix aux Israélites dans le désert, entre la vie et la mort, les invitant à être son peuple – à choisir la vie, de même aujourd’hui Jésus nous invite chacun personnellement à le choisir lui par-dessus tout, à choisir la vie.
2. « Maintenant nous savons bien que tu as un démon ».
Mais il est important que nous en soyons convaincus, que jamais nous n’en doutions.
Tout comme les pharisiens se refusaient à croire que Jésus est la vraie vie, nous aussi nous aurons parfois nos difficultés à croire en Jésus.
Les martyrs de vingt siècles de christianisme peuvent en témoigner, aujourd’hui les chrétiens d’Orient sont devant ce choix.
Jésus peut-il vraiment être la vie, quand croire en lui semble signifier, dans la réalité de tous les jours, non pas vivre, mais mourir ?
Les pharisiens savaient bien que s’ils acceptaient Jésus, ils devaient accepter ces enseignements, et même plus, accepter qu’il est le Messie, c’est-à-dire concrètement pour eux, non plus enseigner et diriger le peuple, mais pointer vers le Christ ; non plus attacher des fardeaux pesants, sans les remuer du doigt, mais se convertir et suivre Jésus. Jésus, que veut dire dans ma vie « accepter que tu es la vie » ?
Que faut-il que je change dans ma vie pour choisir la vie de tout mon cœur, pour te suivre toi jusqu’au bout ?
3. C’est à peu de jours de la Semaine Sainte que l’Église nous propose cet Évangile, à peu de jours de ces jours où nous revivrons en communion avec l’Église universelle la Passion et la mort de Jésus.
Mais nous avons cet avantage sur les pharisiens et sur les apôtres, que nous savons déjà que la mort n’aura pas le dernier mot.
Que Jésus ressuscitera. Jésus le leur avait dit, il est la vie.
Nous ne mourrons pas, nous qui gardons sa Parole.
Jusqu’à ce que nous en fassions l’expérience personnelle, il nous faut le croire, dans l’obscurité de la foi, comme Marie a su faire. Ferme et fidèle au pied de la croix le Vendredi Saint, Marie espérait en Dieu et, le Samedi Saint, redonnait courage aux apôtres
.
Dialogue avec le Christ
Jésus, transforme ma vie. Aide-moi à te choisir à chaque instant de ma vie. Aide-moi à te faire confiance et à croire jusqu’au bout, même dans les épreuves, que tu es la vie. Marie, étoile de la mer, guide-moi dans cette vie où la foi est si nécessaire, soutiens notre espérance !
Résolution
Confiant dans sa Parole, vivre ces derniers jours de Carême et la Semaine Sainte en vivant ma vie intimement liée à lui, coûte que coûte. Particulièrement, l’accompagner le Vendredi Saint par une journée de jeûne.
SOURCE : Catholique.org
Jésus est chassé
Bonjour Nicolas
Bonjour à vous tous et tous qui nous lisez
Que cette journée soit bénie et éclairée par la divine Lumière
****
Méditation sur l’ Evangile du Jour : Jeudi 17 Mars 2016
« Si quelqu’un garde ma parole, il ne connaîtra jamais la mort »
Evangile selon St Jean 8, 51-59
Amen, amen, je vous le dis : si quelqu’un garde ma parole, jamais il ne verra la mort. » Les Juifs lui dirent : « Maintenant nous savons bien que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et toi, tu dis : “Si quelqu’un garde ma parole, il ne connaîtra jamais la mort.”
Es-tu donc plus grand que notre père Abraham ? Il est mort, et les prophètes aussi sont morts. Pour qui te prends-tu ? »
Jésus répondit : « Si je me glorifie moi-même, ma gloire n’est rien ; c’est mon Père qui me glorifie, lui dont vous dites : “Il est notre Dieu”, alors que vous ne le connaissez pas. Moi, je le connais et, si je dis que je ne le connais pas, je serai comme vous, un menteur. Mais je le connais, et sa parole, je la garde.
Abraham votre père a exulté, sachant qu’il verrait mon Jour. Il l’a vu, et il s’est réjoui. » Les Juifs lui dirent alors : « Toi qui n’as pas encore cinquante ans, tu as vu Abraham ! »
Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : avant qu’Abraham fût, moi, JE SUIS. »
Alors ils ramassèrent des pierres pour les lui jeter. Mais Jésus, en se cachant, sortit du Temple.
Prière d'introduction
Jésus, je veux faire de cette méditation un acte d’amour envers toi, une vraie offrande d’amour pour toi. Je veux te réserver ces dix minutes ou cette demi-heure ou cette heure de ma journée, selon mes possibilités, mais je veux te les donner inconditionnellement. Ce temps de prière est tien, dispose de moi comme il te plaira. Conduis-moi sur tes chemins de vie. Guide-moi et apprends-moi à te laisser me guider. Pendant cette méditation, Seigneur, montre-moi ce que tu veux de moi !
Demande
Jésus, donne-moi la grâce de vivre la Semaine Sainte qui arrive en union avec toi.
Points de réflexion
1.« Si quelqu’un garde ma parole, jamais il ne verra la mort ».
Garder la parole du Christ, c’est être proche de lui, unis à lui par la prière et par nos actions.
C’est être unis à celui qui proclame être « le chemin, la vérité, et la vie ».
Et par cette assurance que Jésus nous donne aujourd’hui, que celui qui garde sa parole ne verra pas la mort, il nous rappelle qu’il est la vie. De même que Dieu avait donné le choix aux Israélites dans le désert, entre la vie et la mort, les invitant à être son peuple – à choisir la vie, de même aujourd’hui Jésus nous invite chacun personnellement à le choisir lui par-dessus tout, à choisir la vie.
2. « Maintenant nous savons bien que tu as un démon ».
Mais il est important que nous en soyons convaincus, que jamais nous n’en doutions.
Tout comme les pharisiens se refusaient à croire que Jésus est la vraie vie, nous aussi nous aurons parfois nos difficultés à croire en Jésus.
Les martyrs de vingt siècles de christianisme peuvent en témoigner, aujourd’hui les chrétiens d’Orient sont devant ce choix.
Jésus peut-il vraiment être la vie, quand croire en lui semble signifier, dans la réalité de tous les jours, non pas vivre, mais mourir ?
Les pharisiens savaient bien que s’ils acceptaient Jésus, ils devaient accepter ces enseignements, et même plus, accepter qu’il est le Messie, c’est-à-dire concrètement pour eux, non plus enseigner et diriger le peuple, mais pointer vers le Christ ; non plus attacher des fardeaux pesants, sans les remuer du doigt, mais se convertir et suivre Jésus. Jésus, que veut dire dans ma vie « accepter que tu es la vie » ?
Que faut-il que je change dans ma vie pour choisir la vie de tout mon cœur, pour te suivre toi jusqu’au bout ?
3. C’est à peu de jours de la Semaine Sainte que l’Église nous propose cet Évangile, à peu de jours de ces jours où nous revivrons en communion avec l’Église universelle la Passion et la mort de Jésus.
Mais nous avons cet avantage sur les pharisiens et sur les apôtres, que nous savons déjà que la mort n’aura pas le dernier mot.
Que Jésus ressuscitera. Jésus le leur avait dit, il est la vie.
Nous ne mourrons pas, nous qui gardons sa Parole.
Jusqu’à ce que nous en fassions l’expérience personnelle, il nous faut le croire, dans l’obscurité de la foi, comme Marie a su faire. Ferme et fidèle au pied de la croix le Vendredi Saint, Marie espérait en Dieu et, le Samedi Saint, redonnait courage aux apôtres
.
Dialogue avec le Christ
Jésus, transforme ma vie. Aide-moi à te choisir à chaque instant de ma vie. Aide-moi à te faire confiance et à croire jusqu’au bout, même dans les épreuves, que tu es la vie. Marie, étoile de la mer, guide-moi dans cette vie où la foi est si nécessaire, soutiens notre espérance !
Résolution
Confiant dans sa Parole, vivre ces derniers jours de Carême et la Semaine Sainte en vivant ma vie intimement liée à lui, coûte que coûte. Particulièrement, l’accompagner le Vendredi Saint par une journée de jeûne.
SOURCE : Catholique.org
Jésus est chassé
Invité- Invité
- Message n°150
Re: " Méditations sur les textes du Jour "
Bonsoir Maud
Bonsoir Rose v
Bonsoir Thierry
Bonsoir Emmanuel
Bonsoir Manuela
Bonsoir tous artisans de paix
Bonsoir à toutes et à tous
Vendredi 18 Mars 2016
Saint Cyrille, Évêque, Docteur de l'Église
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
Écouté sur :
http://radiofidelite.fr/fr/
Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=18/03/2016
Liens :
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
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Vendredi 18 Mars 2016
Saint Cyrille, Évêque, Docteur de l'Église
5ième semaine du Temps de Carême
(Couleur liturgique : Violet )
Année C
(Première lecture)
Livre du Prophète Jérémie 20 : 10 à 13
« Le SEIGNEUR est avec moi, tel un guerrier redoutable »
Moi, Jérémie,
j’entends les calomnies de la foule :
« Dénoncez-le ! Allons le dénoncer,
celui-là, l’Épouvante-de-tous-côtés. »
Tous mes amis guettent mes faux pas, ils disent :
« Peut-être se laissera-t-il séduire…
Nous réussirons,
et nous prendrons sur lui notre revanche ! »
Mais le SEIGNEUR est avec moi, tel un guerrier redoutable :
mes persécuteurs trébucheront, ils ne réussiront pas.
Leur défaite les couvrira de honte,
d’une confusion éternelle, inoubliable.
SEIGNEUR de l’Univers, TOI qui scrutes l’homme juste,
TOI qui vois les reins et les cœurs,
fais-moi voir la revanche que TU leur infligeras,
car c’est à TOI que j’ai remis ma cause.
Chantez le SEIGNEUR, louez le SEIGNEUR :
IL a délivré le malheureux de la main des méchants.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Livre du Prophète Jérémie 20 : 10 à 13
« Le SEIGNEUR est avec moi, tel un guerrier redoutable »
Moi, Jérémie,
j’entends les calomnies de la foule :
« Dénoncez-le ! Allons le dénoncer,
celui-là, l’Épouvante-de-tous-côtés. »
Tous mes amis guettent mes faux pas, ils disent :
« Peut-être se laissera-t-il séduire…
Nous réussirons,
et nous prendrons sur lui notre revanche ! »
Mais le SEIGNEUR est avec moi, tel un guerrier redoutable :
mes persécuteurs trébucheront, ils ne réussiront pas.
Leur défaite les couvrira de honte,
d’une confusion éternelle, inoubliable.
SEIGNEUR de l’Univers, TOI qui scrutes l’homme juste,
TOI qui vois les reins et les cœurs,
fais-moi voir la revanche que TU leur infligeras,
car c’est à TOI que j’ai remis ma cause.
Chantez le SEIGNEUR, louez le SEIGNEUR :
IL a délivré le malheureux de la main des méchants.
– PAROLE du SEIGNEUR.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Un roi remercie DIEU après la victoire
Du répertoire du chef de chorale. Chant appartenant au recueil de David, le serviteur du SEIGNEUR. David adressa ces paroles au SEIGNEUR quand CELUI-CI l’eut délivré de tous ses ennemis, en particulier de Saül.
[Psaume 17 (18) ; entièrement]
[Psaume 17 (18) ; entièrement]
Psaume 17 (18) : 2 et 3, 4, 5 et 6, 7
R/ Dans mon angoisse, j’appelai le SEIGNEUR ;
IL entend ma voix.
Je t’aime, SEIGNEUR, ma Force :
SEIGNEUR, mon Roc, ma Forteresse,
DIEU mon Libérateur, le Rocher qui m’abrite,
mon Bouclier, mon Fort, mon Arme de Victoire !
R/
Louange à DIEU !
Quand je fais appel au SEIGNEUR,
je suis sauvé de tous mes ennemis.
R/
Les liens de la mort m’entouraient,
le torrent fatal m’emportait ;
des liens infernaux m’étreignaient :
j’étais pris aux pièges de la mort.
R/
Dans mon angoisse, j’appelai le SEIGNEUR ;
vers mon DIEU, je lançai un cri ;
de SON TEMPLE IL entend ma voix :
mon cri parvient à SES OREILLES.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
IL entend ma voix.
Je t’aime, SEIGNEUR, ma Force :
SEIGNEUR, mon Roc, ma Forteresse,
DIEU mon Libérateur, le Rocher qui m’abrite,
mon Bouclier, mon Fort, mon Arme de Victoire !
R/
Louange à DIEU !
Quand je fais appel au SEIGNEUR,
je suis sauvé de tous mes ennemis.
R/
Les liens de la mort m’entouraient,
le torrent fatal m’emportait ;
des liens infernaux m’étreignaient :
j’étais pris aux pièges de la mort.
R/
Dans mon angoisse, j’appelai le SEIGNEUR ;
vers mon DIEU, je lançai un cri ;
de SON TEMPLE IL entend ma voix :
mon cri parvient à SES OREILLES.
R/
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 10 : 31 à 42
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR,
FILS DU DIEU VIVANT !
TES PAROLES, SEIGNEUR, sont ESPRIT et elles sont VIE ;
TU as les PAROLES de la VIE ÉTERNELLE.
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR,
FILS DU DIEU VIVANT !
(cf. Jn 6, 63c.68c)
« Ils cherchaient à L’arrêter, mais IL échappa à leurs mains »
En ce temps-là,
de nouveau, des Juifs prient des pierres
pour lapider JÉSUS.
CELUI-CI reprit la PAROLE :
« J’ai multiplié sous vos yeux les ŒUVRES BONNES
qui viennent du PÈRE.
Pour laquelle de ces ŒUVRES voulez-vous Me lapider ? »
Ils LUI répondirent :
« Ce n’est pas pour une œuvre bonne
que nous voulons TE lapider,
mais c’est pour un blasphème :
TU n’es qu’un homme,
et TU TE fais Dieu. »
JÉSUS leur répliqua :
« N’est-il pas écrit dans votre Loi :
J’ai dit : Vous êtes des dieux ?
Elle les appelle donc des dieux,
ceux à qui la PAROLE de DIEU s’adressait,
et l’Écriture ne peut pas être abolie.
Or, CELUI que le PÈRE a consacré
et envoyé dans le monde,
vous LUI dites : “Tu blasphèmes”,
parce que J’ai dit : “JE SUIS LE FILS DE DIEU”.
Si Je ne fais pas les ŒUVRES de MON PÈRE,
continuez à ne pas Me croire.
Mais si Je Les fais,
même si vous ne Me croyez pas,
croyez les ŒUVRES.
Ainsi vous reconnaîtrez, et de plus en plus,
que le PÈRE est en Moi,
et Moi dans le PÈRE. »
Eux cherchaient de nouveau à L’arrêter,
mais IL échappa à leurs mains.
IL repartit de l’autre côté du Jourdain,
à l’endroit où, au début, Jean baptisait ;
et IL y demeura.
Beaucoup vinrent à LUI en déclarant :
« Jean n’a pas accompli de signe ;
mais tout ce que Jean a dit de CELUI-CI
était VRAI. »
Et là, beaucoup crurent en LUI.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Acclamation de l’Évangile :
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR,
FILS DU DIEU VIVANT !
TES PAROLES, SEIGNEUR, sont ESPRIT et elles sont VIE ;
TU as les PAROLES de la VIE ÉTERNELLE.
GLOIRE À TOI, SEIGNEUR,
FILS DU DIEU VIVANT !
(cf. Jn 6, 63c.68c)
« Ils cherchaient à L’arrêter, mais IL échappa à leurs mains »
En ce temps-là,
de nouveau, des Juifs prient des pierres
pour lapider JÉSUS.
CELUI-CI reprit la PAROLE :
« J’ai multiplié sous vos yeux les ŒUVRES BONNES
qui viennent du PÈRE.
Pour laquelle de ces ŒUVRES voulez-vous Me lapider ? »
Ils LUI répondirent :
« Ce n’est pas pour une œuvre bonne
que nous voulons TE lapider,
mais c’est pour un blasphème :
TU n’es qu’un homme,
et TU TE fais Dieu. »
JÉSUS leur répliqua :
« N’est-il pas écrit dans votre Loi :
J’ai dit : Vous êtes des dieux ?
Elle les appelle donc des dieux,
ceux à qui la PAROLE de DIEU s’adressait,
et l’Écriture ne peut pas être abolie.
Or, CELUI que le PÈRE a consacré
et envoyé dans le monde,
vous LUI dites : “Tu blasphèmes”,
parce que J’ai dit : “JE SUIS LE FILS DE DIEU”.
Si Je ne fais pas les ŒUVRES de MON PÈRE,
continuez à ne pas Me croire.
Mais si Je Les fais,
même si vous ne Me croyez pas,
croyez les ŒUVRES.
Ainsi vous reconnaîtrez, et de plus en plus,
que le PÈRE est en Moi,
et Moi dans le PÈRE. »
Eux cherchaient de nouveau à L’arrêter,
mais IL échappa à leurs mains.
IL repartit de l’autre côté du Jourdain,
à l’endroit où, au début, Jean baptisait ;
et IL y demeura.
Beaucoup vinrent à LUI en déclarant :
« Jean n’a pas accompli de signe ;
mais tout ce que Jean a dit de CELUI-CI
était VRAI. »
Et là, beaucoup crurent en LUI.
– Acclamons la PAROLE de DIEU.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - AELF, Paris
Évangile + commentaire (audio)
Écouté sur :
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Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique
http://www.aelf.org/office-messe?date_my=18/03/2016
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Amicalement, fraternellement
Nicolas