Bonjour mes sœurs et frères en Christ.De puis longtemps, un sujet délicats me dérange; Beaucoup de gens dans cette situations ,ne comprennent pas,car,Dieu est Amour et Jésus accueille Tous Ses frères et sœurs a vivre de cet Amour,l'acceuillir,et pourtant les divorcés remariés trouvent beaucoup de cœurs fermés ,quand ,ils veulent le sacrement du pardon qui leur est également refusé, tout comme "avoir le corps du Christ" en communion, comme Jésus invite tout le monde a Sa table;
Je sais qu'il y a beaucoup de commentaires sur ce sujet ainsi que des textes prouvant que "Tout ce qui a été lié par Dieu ne doit pas ètre délié par l'homme"; mais si la personne divorcée a été maltraitée par son mari,et ne savait pas ce que disait la religion la dessus, doit on aussi la priver de ces si bons moments d'Amour pour la communion?
Je vous poste un texte du pape Benoit sur ce sujet.Croyez-moi,que ces gens souffrent énormément de ne pouvoir partager la communion, et tout ce qu'il faut faire pour annuler ce mariage passé est douloureux et remuent beaucoup de souffrances a la personne concernée.
S'il vous plait, mis a part ce que dit la religion, qu'en pensez-vous,?
"Sur le plan pastoral, a expliqué M. Bartoloni, l'Église peut faire montre de toutes sortes de compréhensions: on fait partie de l'Église, on n'est pas excommunié. Mais on n'a pas le droit de s'approcher de la table de communion".
Pourtant, de l'Autriche et l'Allemagne à la France, des catholiques demandent que les divorcés remariés soient admis à communier.
C'est une revendication récurrente dans les pétitions de "l'Initiative des prêtres" en Autriche ou du mouvement allemand "Nous sommes l'Église", et des prêtres donnent de facto la communion aux divorcés remariés.
Des évêques comme le président de la Conférence épiscopale allemande, Robert Zöllitsch ont jugé qu'une réflexion s'imposait, l'Église ne pouvant pas rester sourde.
Je sais qu'il y a beaucoup de commentaires sur ce sujet ainsi que des textes prouvant que "Tout ce qui a été lié par Dieu ne doit pas ètre délié par l'homme"; mais si la personne divorcée a été maltraitée par son mari,et ne savait pas ce que disait la religion la dessus, doit on aussi la priver de ces si bons moments d'Amour pour la communion?
Je vous poste un texte du pape Benoit sur ce sujet.Croyez-moi,que ces gens souffrent énormément de ne pouvoir partager la communion, et tout ce qu'il faut faire pour annuler ce mariage passé est douloureux et remuent beaucoup de souffrances a la personne concernée.
S'il vous plait, mis a part ce que dit la religion, qu'en pensez-vous,?
La question a été posée, samedi, lors de la "Veillée des témoignages".
Un couple brésilien, Manoel Angelo et Marta Araujo, médecin et psychothérapeute, a demandé :
Un couple brésilien, Manoel Angelo et Marta Araujo, médecin et psychothérapeute, a demandé :
"Saint-Père, des couples remariés voudraient se rapprocher de l'Église, mais se voient refuser les sacrements. Ils se sentent frappés par un jugement irrévocable".
Le pape leur a répondu avec chaleur :
"Le problème des divorcés remariés est une des grandes souffrances de l'Église. Et nous n'avons pas de recettes simples".
"Le problème des divorcés remariés est une des grandes souffrances de l'Église. Et nous n'avons pas de recettes simples".
Il a préconisé "un contact permanent" avec un prêtre, en ajoutant :
"L'Église les aime. Ils ne doivent pas se sentir dehors, même s'ils ne peuvent recevoir l'eucharistie. Ils doivent savoir que, de cette manière aussi, ils vivent pleinement dans l'Église".
Benoît XVI a expliqué que, même sans prendre "corporellement" l'hostie, ils pouvaient vivre la communion "spirituellement" quand ils assistent à la messe.
"L'Église les aime. Ils ne doivent pas se sentir dehors, même s'ils ne peuvent recevoir l'eucharistie. Ils doivent savoir que, de cette manière aussi, ils vivent pleinement dans l'Église".
Benoît XVI a expliqué que, même sans prendre "corporellement" l'hostie, ils pouvaient vivre la communion "spirituellement" quand ils assistent à la messe.
Les divocés remariés ne peuvent pas non plus recevoir l'absolution.
"Je voudrais, a dit aussi Benoît XVI, réserver un mot aux fidèles qui, tout en partageant les enseignements de l'Église sur la famille, sont marqués par des expériences douloureuses d'échec et de séparation".
"Le pape et l'Église vous soutiennent dans votre peine. Je vous encourage à rester unis à vos communautés, tout en souhaitant que les diocèses prennent des initiatives d'accueil et de proximité adéquates", a-t-il ajouté.
"Le pape et l'Église vous soutiennent dans votre peine. Je vous encourage à rester unis à vos communautés, tout en souhaitant que les diocèses prennent des initiatives d'accueil et de proximité adéquates", a-t-il ajouté.
Il faut que cette situation cesse pour qu'il lui soit possible à nouveau de participer à l'eucharistie, qui est dans la tradition catholique le moment le plus sacré de la vie de foi.
"Sur le plan pastoral, a expliqué M. Bartoloni, l'Église peut faire montre de toutes sortes de compréhensions: on fait partie de l'Église, on n'est pas excommunié. Mais on n'a pas le droit de s'approcher de la table de communion".
Pourtant, de l'Autriche et l'Allemagne à la France, des catholiques demandent que les divorcés remariés soient admis à communier.
C'est une revendication récurrente dans les pétitions de "l'Initiative des prêtres" en Autriche ou du mouvement allemand "Nous sommes l'Église", et des prêtres donnent de facto la communion aux divorcés remariés.
Des évêques comme le président de la Conférence épiscopale allemande, Robert Zöllitsch ont jugé qu'une réflexion s'imposait, l'Église ne pouvant pas rester sourde.
Commentaire
Tout en comprenant, au sens intellectuel du terme, la position dogmatique de l'Église, je ne comprends pas, d'un point de vue pastoral, que l'Église ne fasse pas preuve de plus de charité.
Il existe un certain nombre de situations où l'un des membres du couple a pu être abandonné par son conjoint, sans avoir commis de faute.
Je comprends encore moins l'interdiction de recevoir l'absolution. C'est-à-dire que l'on interdit à un chrétien qui le désire avec foi de demander le pardon.
Je comprends encore moins l'interdiction de recevoir l'absolution. C'est-à-dire que l'on interdit à un chrétien qui le désire avec foi de demander le pardon.
Jésus n'est-il pas venu d'abord pour guérir ceux qui étaient malades, non pour les justes, mais pour les pécheurs ?
apeuréeure et fais souffrir car "repoussés par l'invitation de Jésus",ils sont découragés.