Le jeudi de la 2e semaine de Pâques
Livre des Actes des Apôtres 5,27-33.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 3,31-36.
Il n'appartient qu'aux hommes d'accéder, dès leur temps sur la terre, à la vie éternelle. En soi, c'est un bouleversement profond, une remise en question fondamentale ou, encore: un changement subtil mais durable, qui ne porte pas de fruit dans l'instant, mais de façon irrésistible dans la durée.
Bienheureux celles et ceux qui n'opposent pas sagesses et raisonnements humains à l'irruption de la grâce ! Car ceux qui rejettent la possibilité d'une "réhabilitation" de l'âme, d'une guérison durable de celle-ci, ne peuvent qu’encourir le châtiment réservé aux idolâtres. Même les athées militants - s'ils se croient à l'abri de l'amour de Dieu - ne font que susciter, de la part de Dieu, des assauts de l'Amour miséricordieux.
En vérité, contrairement à ce que certains pensent, c'est jusqu'à la dernière minute, l'ultime palpitation du cœur, que l'âme est invitée à croire... En poursuivant sur ce thème, notre prêtre nous a rappelé le cas de Jacques Fesh, auteur du livre de témoignage : "Dans cinq minutes, je verrai Jésus". (*)
Il n'y a pas de prédestination dans la vie des saints : tous ont connu le péché et le doute, mais tous - y compris les simples fidèles se voient proposer des choix qui renouvellent de manière intime et durable la relation au monde et aux hommes. Notre prêtre a évoqué l'une ou l'autre béatitudes qui manifestent que le "labeur de la grâce" se poursuit inlassablement et jusqu'à l'ultime battement des cœurs de chair. Comme à l'inverse : pourquoi les damnés souffrent-ils de si grands tourments ? C'est de pouvoir contempler à perpétuité l'oeuvre de la miséricorde divine... mais sans plus y avoir accès, jamais.
http://boutique.barroux.org/textes-lus/1778-dans-5-heures-je-verrai-jesus-3411369963924.htm[/color]l
Livre des Actes des Apôtres 5,27-33.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 3,31-36.
Il n'appartient qu'aux hommes d'accéder, dès leur temps sur la terre, à la vie éternelle. En soi, c'est un bouleversement profond, une remise en question fondamentale ou, encore: un changement subtil mais durable, qui ne porte pas de fruit dans l'instant, mais de façon irrésistible dans la durée.
Bienheureux celles et ceux qui n'opposent pas sagesses et raisonnements humains à l'irruption de la grâce ! Car ceux qui rejettent la possibilité d'une "réhabilitation" de l'âme, d'une guérison durable de celle-ci, ne peuvent qu’encourir le châtiment réservé aux idolâtres. Même les athées militants - s'ils se croient à l'abri de l'amour de Dieu - ne font que susciter, de la part de Dieu, des assauts de l'Amour miséricordieux.
En vérité, contrairement à ce que certains pensent, c'est jusqu'à la dernière minute, l'ultime palpitation du cœur, que l'âme est invitée à croire... En poursuivant sur ce thème, notre prêtre nous a rappelé le cas de Jacques Fesh, auteur du livre de témoignage : "Dans cinq minutes, je verrai Jésus". (*)
Il n'y a pas de prédestination dans la vie des saints : tous ont connu le péché et le doute, mais tous - y compris les simples fidèles se voient proposer des choix qui renouvellent de manière intime et durable la relation au monde et aux hommes. Notre prêtre a évoqué l'une ou l'autre béatitudes qui manifestent que le "labeur de la grâce" se poursuit inlassablement et jusqu'à l'ultime battement des cœurs de chair. Comme à l'inverse : pourquoi les damnés souffrent-ils de si grands tourments ? C'est de pouvoir contempler à perpétuité l'oeuvre de la miséricorde divine... mais sans plus y avoir accès, jamais.
http://boutique.barroux.org/textes-lus/1778-dans-5-heures-je-verrai-jesus-3411369963924.htm[/color]l