22 novembre 2016
"Hatchimals": le cadeau de Noël que les parents s'arrachent
Il faut croire que la mode des petites bestioles intelligente est de retour, 10 ans après le succès phénoménal du Tamagotchi. Déjà, le retour de Furby en 2012 avait montré que l'ère de la peluche connectée était arrivée.
Mais cette année, ce sont les Hatchimals qui devraient être le cadeau phare sous le sapin de Noël. Dans les magasins de jouets, ils sont partout, même s'ils ne ressemblent pas à grand chose: un œuf d'une vingtaine de centimètre de haut. Mais si vous le câlinez pendant une petite demi-heure, celui-ci éclot et laisse sa place à une petite peluche, qui ressemble à une sorte de pingouin coloré.
2016 oblige, le petit jouet est interactif: petit à petit, il va apprendre à marcher, à danser, à imiter la voix de l'enfant et à jouer avec lui. Le tout sans avoir besoin d'un smartphone.
La couleur de ses yeux indique ce dont il a besoin et, autre détail qui change tout, au moment de l'achat, impossible de savoir de quelle couleur sera l'Hatchimal une fois éclos.
Bientôt en rupture de stock ?
Une surprise sur laquelle la société Hatchimals a capitalisé grâce à une campagne de publicité orchestrée depuis des mois... sans révéler ce qui se trouve à l'intérieur de l'oeuf. Cette information n'a été communiquée que le 6 octobre, jour de la sortie mondiale de la peluche.
Selon le Guardian, la majorité des revendeurs anglais sont en rupture de stock. Aux États-Unis, certains ont écoulé tous leurs Hatchimals en moins de 24 heures.
On en trouve dans la majorité des magasins de jouets, mais dans certains, la rupture de stock guette. Toys R Us a d'ailleurs annoncé une rupture de stock complète en prévision du temps des Fêtes.
Même si la société a augmenté sa production de 50 %, elle avoue au Guardian avoir sous-estimé la demande mondiale. À tel point qu'elle envoie maintenant ses jouets par avions plutôt que par bateau, pour réapprovisionner plus vite les magasins.
En attendant, les prix flambent déjà sur Internet, que ce soit sur eBay ou chez des petits revendeurs d'Amazon, ou les Hatchimals peuvent dépasser les 280 $.
Huffington Post Québec par Gregory Rozieres
"Hatchimals": le cadeau de Noël que les parents s'arrachent
Il faut croire que la mode des petites bestioles intelligente est de retour, 10 ans après le succès phénoménal du Tamagotchi. Déjà, le retour de Furby en 2012 avait montré que l'ère de la peluche connectée était arrivée.
Mais cette année, ce sont les Hatchimals qui devraient être le cadeau phare sous le sapin de Noël. Dans les magasins de jouets, ils sont partout, même s'ils ne ressemblent pas à grand chose: un œuf d'une vingtaine de centimètre de haut. Mais si vous le câlinez pendant une petite demi-heure, celui-ci éclot et laisse sa place à une petite peluche, qui ressemble à une sorte de pingouin coloré.
2016 oblige, le petit jouet est interactif: petit à petit, il va apprendre à marcher, à danser, à imiter la voix de l'enfant et à jouer avec lui. Le tout sans avoir besoin d'un smartphone.
La couleur de ses yeux indique ce dont il a besoin et, autre détail qui change tout, au moment de l'achat, impossible de savoir de quelle couleur sera l'Hatchimal une fois éclos.
Bientôt en rupture de stock ?
Une surprise sur laquelle la société Hatchimals a capitalisé grâce à une campagne de publicité orchestrée depuis des mois... sans révéler ce qui se trouve à l'intérieur de l'oeuf. Cette information n'a été communiquée que le 6 octobre, jour de la sortie mondiale de la peluche.
Selon le Guardian, la majorité des revendeurs anglais sont en rupture de stock. Aux États-Unis, certains ont écoulé tous leurs Hatchimals en moins de 24 heures.
On en trouve dans la majorité des magasins de jouets, mais dans certains, la rupture de stock guette. Toys R Us a d'ailleurs annoncé une rupture de stock complète en prévision du temps des Fêtes.
Même si la société a augmenté sa production de 50 %, elle avoue au Guardian avoir sous-estimé la demande mondiale. À tel point qu'elle envoie maintenant ses jouets par avions plutôt que par bateau, pour réapprovisionner plus vite les magasins.
En attendant, les prix flambent déjà sur Internet, que ce soit sur eBay ou chez des petits revendeurs d'Amazon, ou les Hatchimals peuvent dépasser les 280 $.
Huffington Post Québec par Gregory Rozieres