Hier une auteure à qui j'avais écrit pour faire l'éloge de son livre m'appelle et me demande des conseils pour son amie de 25 ans, Minna, anorexique .
Elle est dans un état grave et hospitalisée.
J'avais mentionné dans ma lettre en rapport avec le sujet du livre que j'étais une ancienne anorexique guérie et mère de famille. Elle a donc pensé à me demander conseil par rapport à son amie car elle craint pour ses jours.
S'il vous plait priez pour la guérison de Minna !
L'auteure me demande aussi d'appeler Minna un soir ( à l'hosto les anorexiques n'ont droit au téléphone que de 8 à 9 heures les soirs, c'est sévère) pour lui parler car elle trouve que ce que je pense de l'anorexie pourrait l'aider.
Je suis effrayée par cette responsabilité car je ne fais pas de miracle.
Je connais l'anorexie, c'est une bête sauvage difficile, dans 2 tiers des cas impossible à calmer.( un tiers guérit, 10% meurent, le reste se chronicise)
Autant demander de descendre dans l'arène où il ya des lions...ou de cogiter un plan d'évasion de Treblinka.
Je réflechis à ce que je vais dire mais de simples paroles souvent dans ces cas restent sans effet.
Ce qui est sur à 100 % pour moi est que les psys sont complètement à côté de la plaque dans ce domaine et que ma guérison ne leur doit rien.
Je vais sans doute m'appuyer sur Padre Pio, sur ce qu'il dit d ela souffrance.
Elle est dans un état grave et hospitalisée.
J'avais mentionné dans ma lettre en rapport avec le sujet du livre que j'étais une ancienne anorexique guérie et mère de famille. Elle a donc pensé à me demander conseil par rapport à son amie car elle craint pour ses jours.
S'il vous plait priez pour la guérison de Minna !
L'auteure me demande aussi d'appeler Minna un soir ( à l'hosto les anorexiques n'ont droit au téléphone que de 8 à 9 heures les soirs, c'est sévère) pour lui parler car elle trouve que ce que je pense de l'anorexie pourrait l'aider.
Je suis effrayée par cette responsabilité car je ne fais pas de miracle.
Je connais l'anorexie, c'est une bête sauvage difficile, dans 2 tiers des cas impossible à calmer.( un tiers guérit, 10% meurent, le reste se chronicise)
Autant demander de descendre dans l'arène où il ya des lions...ou de cogiter un plan d'évasion de Treblinka.
Je réflechis à ce que je vais dire mais de simples paroles souvent dans ces cas restent sans effet.
Ce qui est sur à 100 % pour moi est que les psys sont complètement à côté de la plaque dans ce domaine et que ma guérison ne leur doit rien.
Je vais sans doute m'appuyer sur Padre Pio, sur ce qu'il dit d ela souffrance.